Il faut avouer que l’on espérait plus voir le studio
Gonzo nous ébahir. Si les diverses adaptations sont généralement réalisées avec soin, dès qu’un concept de série sort de la cervelle d’un ou plusieurs scénaristes, c’est le vide intersidéral. Mais ça, on ne cesse de le répéter.
C’est là que
Blassreiter (24 épisodes – 200
vient surprendre son monde alors que personne ne misait un copeck dessus.
Pourtant, il suffisait de regarder le staff impliqué pour se dire que cet animé de 24 épisodes ne pouvait pas être un ratage. Après
Gantz en 2004,
Ichiro Itano, ex-animateur de génie passé depuis à la réalisation, trouve ici son nouveau terrain d’expérimentation visuel.
Attendez-vous à une utilisation accrue de la 3D. Pas juste pour décorer mais vraiment comme un choix artistique au service de la mise en scène. Et quand en plus, l’histoire réserve de sacrées surprises, difficile de ne pas sortir emballer par une telle réussite !
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