Avec 600 millions de dollars de recette dans le monde (sans compter l’exploitation DVD ou TV) pour un investissement quatre fois moindre, la franchise cinématographique Resident Evil est devenue aussi lucrative que celle sur console.
Pourtant, dieu sait que les gamers auront râlé sur ces films, fustigeant son initiateur Paul W.S. Anderson de ne pas respecter l’esprit de la saga vidéoludique. Mais après tout, comment contenter tout le monde ?
Une question difficile à répondre, surtout quand on se décide à toucher à des jeux cultes depuis bientôt quinze ans. Exit Chris Redfield, le manoir inquiétant, la flippe, le gore crados…
Le réalisateur de Event Horizon et Mortal Kombat créa pour l’occasion une nouvelle héroïne, Alice Prospero, et l’intégra dans une histoire tout à fait inédite. Un choix très mal perçu par la horde de fans intégristes (fanatiques ?) rêvant de voir une version live du tout premier jeu.
Pourtant, cette adaptation se révèle être une alternative intéressante mixant des références geek diverses et variées (pas forcément toutes bien digérées comme Matrix) tout en gardant un pied dans l’univers des jeux Capcom.
La suite de la critique sur le lien en source.
posted the 09/30/2010 at 08:49 PM by
reith
Ce genre de film je pourrai aimer, mais le côté tout propre tout lisse, va s'y que jte lance des regards de braise à la mort moi le noeud, ça je ne peut pas ...