Les maisons d’édition internationales semblent s’être données le mot pour stopper l’expansion du scantrad cette semaine. À la vue de l’actualité croissante sur ce phénomène, un petit récapitulatif est de rigueur.
Dans le numéro 20 du Weekly Shonen Jump (sorti ce lundi au Japon), la maison d’édition japonaise Shueisha avait demandé l’arrêt immédiat des scans de son magazine sur le web. Suite à cela, les deux plus gros sites en cause ont fermé leurs portes, ou tout du moins leur section scan. En parallèle, Google a reçu une plainte à propos d’un site proposant du scantrad de dojinshi, et a stoppé son référencement. Enfin, le scantrad est mentionné comme l’une des causes de la baisse des ventes de manga en Amérique du Nord. Maintenant, c’est au tour de Yen Press (Kurokami, Soul Eater, Spice and Wolf, Darker Than Black, Jack Frost, la mélancolie d’Haruhi Suzumiya,…), maison d’édition américaine du groupe Hachette, de faire respecter ses droits...
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posted the 04/25/2010 at 03:50 PM by
reith