(Modifications apportées à Une lune pleine d'étoiles... vers 22 heures le 22 oct)
Bon, j’ai à moitié honte de ce que je vais vous demander, mais je crois qu’il faut que je le fasse.
Les deux articles ci-dessous, les [Poursuites], sont ceux qui me tiennent le plus à cœur ; par conséquent ils sont ceux desquels un retour doit me parvenir pour savoir ou j’en suis.
Les choses sont relativement simples : sans avis sur ces textes, particulièrement le dernier, qui m’apparaît comme une sorte d’aboutissement (¬loin d’être parfait), je me sens un peu perdu, un peu dépossédé, comme si –– sentiment absurde s’il en est –– mon blog ne m’appartenait plus.
Ceci n’est, je ne peux que le concéder, qu’une sorte de Lâchez des comz à peine dissimulé.
Normalement je peux m’en passer, des comz, même si je ne cacherai pas que j’aime toujours avoir des commentaires parce que ça signifie qu’on me lit et qu’on en pense quelque chose ; et étant donné que je passe pas mal de temps à écrire et à m’appliquer, le retour est toujours important pour moi, à tel point que bon il me rassure, et que mauvais il me traumatise jusqu’à m’empêcher de dormir.
Les textes ci-dessous sont capitaux pour moi ; j’y ai mis tout ce que j’ai pu, je me suis mis dedans avec, ils sont pour moi un véritable palier, comme si j’en arrivais grâce à eux à une sorte de finalité, comme s’ils donnaient un sens à tout ce que je fais depuis un an ; j’en ressors un peu paumé et décontenancé, sans réelle idée de ce que je pourrai faire ensuite.
Je ne sais pas quand je réécrirai quelque chose, ni quoi, ni comment. Tout ça est très flou dans l’immédiat ; il me faut un peu de temps pour me remettre en place.
Tant que je n’aurai pas plus de réactions à ces articles, je ne me sentirai pas capable de me relancer ; je n’aurai pas l’impression d’en avoir fini avec eux.
C’est pourquoi à cette heure-ci je ressens un véritable besoin de lire vos réactions.
Je vous prierai donc, de manière très directe, de lire ce qui ce trouve juste en dessous en entier et de m’en donner des nouvelles, même si c’est pour me dire que justement vous n’avez pas lu en entier parce que trop long, parce que chiant, ou même parce que vous ne m’aimez pas —je m’adresse à Thomass.
Je vous remercie d’avance pour votre bonté et même pour votre mauvaiseté.
Et je m’excuse d’en arriver à une forme de prostitution à travers ce billet, qui sera par ailleurs effacé.

tags :
posted the 10/20/2006 at 09:42 PM by
franz