L'Empire aladissien prospérait autrefois sur un certain continent, ayant atteint un développement remarquable grâce à l'alchimie qui tenait les autres nations à distance. Toutefois, il prit fin à la suite d'un cataclysme soudain et mystérieux.
Le temps passa, et plusieurs siècles plus tard, l'alchimie est devenue un art dangereux et destructeur, désormais perçu comme "malfaisant" et "tabou".
À présent, une alchimiste solitaire fait ses premiers pas sur cette terre inconnue et périlleuse. Elle s'appelle Yumia Liessfeldt. Après avoir perdu sa mère dans un accident il y a trois ans, elle a découvert qu'elle était issue d'une longue lignée d'alchimistes, ce qui l'a amenée à ses poser de nombreuses questions.
Persuadée que toutes les réponses qu'elle cherche se trouvent sur ce continent déchu, Yumia commence son voyage pour découvrir son histoire perdue.
Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée est un Action-RPG.
Il s’agit d’un nouvel opus de la célèbre série Atelier, connue pour son mélange unique d’alchimie, d’exploration et de récits centrés sur des héroïnes attachantes.
Dans cet épisode, vous incarnez Yumia Liessfeldt, une jeune alchimiste évoluant dans un monde où l’alchimie, autrefois source de prospérité pour l’Empire aladissien, est désormais taboue et perçue comme maléfique suite à un cataclysme dévastateur.
Accompagnée de ses compagnons, dont Flammi, une assistante d’exploration au caractère bien trempé, Yumia parcourt le continent en ruines d’Aladiss pour percer les mystères liés à la chute de cet empire et à la disparition de sa mère.
Le thème central du jeu tourne autour des souvenirs, explorant comment le passé façonne l’identité et l’avenir des personnages.
Le gameplay repose sur trois piliers principaux : l’exploration, les combats et l’alchimie.
Pour la première fois dans la série, Atelier Yumia propose un monde semi-ouvert, permettant aux joueurs de parcourir librement des régions variées comme des forêts luxuriantes, des ruines anciennes ou des zones industrielles abandonnées.
L’exploration est enrichie par des actions dynamiques, comme grimper, sauter ou utiliser des outils alchimiques pour interagir avec l’environnement.
Les combats se déroulent en temps réel, une évolution par rapport au tour par tour traditionnel de la série, offrant des mécaniques fluides où vous pouvez alterner entre attaques rapprochées et à distance, esquiver, parer et switcher entre personnages.
Les objets créés via l’alchimie jouent un rôle clé, que ce soit pour infliger des dégâts, étourdir les ennemis ou soutenir l’équipe.
L’alchimie reste au cœur de l’expérience, avec un système intuitif mais profond basé sur l’utilisation du mana.
Le Personnage récolte des ressources dans le monde pour synthétiser des objets aux effets variés, utiles autant en combat qu’en exploration.
La personnalisation est également présente, avec la possibilité de construire et décorer une base.
L’ambiance oscille entre une intrigue sérieuse sur les conséquences de l’alchimie et des moments plus légers portés par les interactions entre Yumia et son équipe variée, incluant des figures comme Rutger ou Viktor.
En somme, Atelier Yumia se distingue par son ton plus adulte, son gameplay modernisé et son monde riche en mystères, tout en conservant le charme et la créativité qui font le succès de la franchise Atelier.
Un titre qui pourra séduire autant les fans de longue date que les nouveaux venus !
L’optimisation d’Atelier Yumia est irréprochable.
En mettant tous les réglages au maximum, j’obtiens un 60 FPS constant, sans le moindre micro-freeze ni chute de framerate.
Pas besoin non plus de recourir au FSR ou à une option similaire. D’ailleurs, seule la technologie XeSS est proposée, mais comme je l’ai mentionné, je n’ai même pas eu à l’activer tellement le jeu tourne à la perfection.
Côté maniabilité, il y a toutefois un petit bémol : le joystick droit manque un peu de réactivité. Il faut le pousser assez loin pour que la caméra commence à bouger, et malheureusement, aucune option dans les menus ne permet de corriger ça pour l’instant. Peut-être qu’une future mise à jour viendra régler ce détail.
Graphiquement, hormis les personnages qui restent soignés, les décors ne sont pas particulièrement époustouflants. Ce n’est pas vraiment le point fort de la série Atelier, mais ça mérite d’être signalé pour ceux qui accordent beaucoup d’importance à cet aspect.
Le jeu propose aussi plusieurs niveaux de difficulté, ainsi que le choix entre les voix anglaises et japonaises, un petit plus appréciable pour personnaliser l’expérience.
Pour conclure, c’est le troisième titre de Koei Tecmo que je teste récemment.
Dynasty Warriors Origins était le premier, avec une optimisation exemplaire ; Rise of the Ronin, le deuxième, était assez décevant sur ce plan ; et maintenant Atelier Yumia, le troisième, qui brille par sa fluidité.
Même si ces jeux sont développés par des équipes différentes, ça montre que la qualité technique peut vraiment varier d’un titre à l’autre.
Cependant, plusieurs personnes sur Steam se plaignent de problèmes d'optimisation, mais dans mon cas, il n'y a aucun problèmes.
home page | 
news | 
blogs | 
videos | 
reviews | 
previews | 
features | 
Facebook
profile
tags : rpg action aventure koei gust atelier action rpg koei tecmo atelier yumia atelier yumia : l’alchimiste des souvenirs et la terre rêvée l’alchimiste des souvenirs la terre rêvée atelier yumia l’alchimiste des souvenirs et la terre rêvée yumia 
comments (3)
Il s’agit d’un nouvel opus de la célèbre série Atelier, connue pour son mélange unique d’alchimie, d’exploration et de récits centrés sur des héroïnes attachantes.
Dans cet épisode, vous incarnez Yumia Liessfeldt, une jeune alchimiste évoluant dans un monde où l’alchimie, autrefois source de prospérité pour l’Empire aladissien, est désormais taboue et perçue comme maléfique suite à un cataclysme dévastateur.
Accompagnée de ses compagnons, dont Flammi, une assistante d’exploration au caractère bien trempé, Yumia parcourt le continent en ruines d’Aladiss pour percer les mystères liés à la chute de cet empire et à la disparition de sa mère.
Le thème central du jeu tourne autour des souvenirs, explorant comment le passé façonne l’identité et l’avenir des personnages.
Le gameplay repose sur trois piliers principaux : l’exploration, les combats et l’alchimie.
Pour la première fois dans la série, Atelier Yumia propose un monde semi-ouvert, permettant aux joueurs de parcourir librement des régions variées comme des forêts luxuriantes, des ruines anciennes ou des zones industrielles abandonnées.
L’exploration est enrichie par des actions dynamiques, comme grimper, sauter ou utiliser des outils alchimiques pour interagir avec l’environnement.
Les combats se déroulent en temps réel, une évolution par rapport au tour par tour traditionnel de la série, offrant des mécaniques fluides où vous pouvez alterner entre attaques rapprochées et à distance, esquiver, parer et switcher entre personnages.
Les objets créés via l’alchimie jouent un rôle clé, que ce soit pour infliger des dégâts, étourdir les ennemis ou soutenir l’équipe.
L’alchimie reste au cœur de l’expérience, avec un système intuitif mais profond basé sur l’utilisation du mana.
Le Personnage récolte des ressources dans le monde pour synthétiser des objets aux effets variés, utiles autant en combat qu’en exploration.
La personnalisation est également présente, avec la possibilité de construire et décorer une base.
L’ambiance oscille entre une intrigue sérieuse sur les conséquences de l’alchimie et des moments plus légers portés par les interactions entre Yumia et son équipe variée, incluant des figures comme Rutger ou Viktor.
En somme, Atelier Yumia se distingue par son ton plus adulte, son gameplay modernisé et son monde riche en mystères, tout en conservant le charme et la créativité qui font le succès de la franchise Atelier.
Un titre qui pourra séduire autant les fans de longue date que les nouveaux venus !
L’optimisation d’Atelier Yumia est irréprochable.
En mettant tous les réglages au maximum, j’obtiens un 60 FPS constant, sans le moindre micro-freeze ni chute de framerate.
Pas besoin non plus de recourir au FSR ou à une option similaire. D’ailleurs, seule la technologie XeSS est proposée, mais comme je l’ai mentionné, je n’ai même pas eu à l’activer tellement le jeu tourne à la perfection.
Côté maniabilité, il y a toutefois un petit bémol : le joystick droit manque un peu de réactivité. Il faut le pousser assez loin pour que la caméra commence à bouger, et malheureusement, aucune option dans les menus ne permet de corriger ça pour l’instant. Peut-être qu’une future mise à jour viendra régler ce détail.
Graphiquement, hormis les personnages qui restent soignés, les décors ne sont pas particulièrement époustouflants. Ce n’est pas vraiment le point fort de la série Atelier, mais ça mérite d’être signalé pour ceux qui accordent beaucoup d’importance à cet aspect.
Le jeu propose aussi plusieurs niveaux de difficulté, ainsi que le choix entre les voix anglaises et japonaises, un petit plus appréciable pour personnaliser l’expérience.
Pour conclure, c’est le troisième titre de Koei Tecmo que je teste récemment.
Dynasty Warriors Origins était le premier, avec une optimisation exemplaire ; Rise of the Ronin, le deuxième, était assez décevant sur ce plan ; et maintenant Atelier Yumia, le troisième, qui brille par sa fluidité.
Même si ces jeux sont développés par des équipes différentes, ça montre que la qualité technique peut vraiment varier d’un titre à l’autre.
Cependant, plusieurs personnes sur Steam se plaignent de problèmes d'optimisation, mais dans mon cas, il n'y a aucun problèmes.
perso pas de soucis sur PS5, je touche a peine le stick et la camera tourne
Ils ont du merder avec la version PC sur ce point.