Chapitre tout public Hier, j'ai certainement abusé niveau violence. Ce n'était pas drôle. Alors j'ai fait un troisieme chapitre plus dans la direction du premier avec un certain humour. Mais ça reste assez vulgaire alors les grincheux ne venez pas. Les autres lisez!! car c'est un chapitre de ouf qui défonce sa mémé la parkisonienne!!!
CHAPITRE 3: LE GRAND MATCH OM/PSG
Trois voitures de police arrivèrent au niveau de stéphane et de ses amis. Les Policiers descendirent et pointèrent leurs flingues en direction des 3 marseillais. Mais Pourquoi ne faisaient-ils pas la même chose aux parisiens? au contraire les pompiers venus avec eux prirent directement en charge les parisiens et celui qui semblait être le chef leur fit un grand sourire, il était petit chauve gros et gras .
" - Bonjour je suis le comissaire georges bidet je vais vous tirer d'affaire les Gars. Dit celui ci au grand étonnement de tout le monde.
- Oh toi là, regarde mon pote est mort à cause d'eux et tu les traite comme des champions. C'est eux qui nous ont frappés et tout... Raconta cédric.
- Cela m'est égal. Mais vous avez de vrais geules de sale voyous marseillais. Et puis... les parisiens ne feraient pas de mal aux chiens.
"
- ta gueule salee batardd!!! cria mohamed.
- frére, c'est un keuf doucement. Dis cédric
- Jmen bas les couilles pour qui il se prend le gros? demanda Mohamed.
- Ohh voila donc qui confirme mes pensées. Ces petites fiottes sont responsables de tout ce bordel, et puis j'ai eu le témoignage d'un homme, un certain eustache le bourré, que vous avez sauvagement tabassé. Dit le chef dans un accent trés parisien.
- l'enculé... murmura stéphane.
- bon allez les gars débarrassez moi le plancher de ces sous merde. Dit Georges Bidet au reste de la police.
Par contre, vous les parisiens je suis désolé mais, les formalités m'obligent à vous emmener au comissariat mais ne vous inquiétez pas mes amis, vous n'allez avoir aucun probléme."
Tout à coup une femme marcha en direction de Stéphane zagliati, c'était clairement une bombe sexuelle. Elle était brune et portait des hauts-talons. Elle était habillé d'une mini-jupe qui permettait de voir ses belles jambes et d'un tee-shirt guess noir. A son bras elle tenait un sac Zara.
" - Mais qui est cette belle femme qui s'approche de moi? demanda georges bidet.
- Hé frére c'est cindy! dit mohamed."
La jeune femme, prit la tête de stéphane et l'embrassa longtemps. Enfaites ils se furèrent. Leurs deux langues se touchèrent, se fricotèrent et tournèrent ensemble.
" - Quoiiii?? s'écria le chef de police parisien.
- Tu es belle ma meuf. Lui dit stéphane.
- Toi aussi mon homme. Répondit cindy. Je suis venue te dire que mon frère t'attends pour le match. Mais?? c'est quoi tout ces flics?
- T'inquiete bébé. Je gère. Dis à Pablo que j'arrive dans 1h, mais faut que je vois mon couz. Répondit Stéphane.
Enfaites Cindy Suarez est la copine de stéphane, elle a 18 ans. Stéphane est également pote avec son frére: Pablo Suarez. Les deux sont des gitans espagnols.
" - Bon allez, lâche cette femme un peu où je t'arréte pour voyeurisme publique. Cria le parisien qui poussa cindy sur le coté.
- Tu retouches ma meuf, je te casse les dents flic ou pas flic, tu piges? Cria stéphane.
- Oh tu veux jouer au malin avec moi. Répondit le parisien qui sortit une matraque. "
Mais au moment où le policier allait frapper stéphane, une main saisit la matraque et poussa le chef policier.
" - Ici l'inspecteur Fernandez, Bidet vous étes en état d'arrestation pour abus sexuel sur vos subordonnés. Votre plaque doit être rendus. Vous allez être incarcéré chez vous dans une prison à Paris.
- Jsavais qu'il était pas net le gros porc. s'exclama cédric Olmeto.
- Bon vous les parisiens rendez vous dans mon commissariat, vous les marseillais vous étes libérés sur le champ. Les passants m'ont expliqués votre acte héroïque, je tenais donc à vous féliciter. Allez bon vent!
"
Les policiers menotérrent les parisiens qui criaient à l'injustice. Etait-il trop difficile pour eux de reconnaitre leur tort? manifestement oui. Stéphane appella son pote Pablo.
la rue saint férreol
" - Ouais frère c'est steph, c'est pour te dire RDV dans 2h devant le stade, le temps que jvois mon couz pour qu'il me file trois abo pour le match ce soir.
- de acuerdo gros. Y'a qui qui vient? toi et moi?
- Ben jviens avec ma meuf ta soeur. On se fait un truc à Trois.
- Ok ça roule gros, en ganay?.
- Non, virage depé. Aufaite... frère, ils ont eu Youssouf.
- Ah mierda...
- aufaite prépare quelques cocktails molotov au cas ou.
- ok à toute gros. Répondit Pablo Suarez. " Bip.
Stéphane dit aurevoir à ses potes, et partit avec Cindy voir son cousin qui lui donna les abonnements pour pénétrer dans le virage nord. Les 3 amis prirent le métro jusqu'à sainte marguerite dromel, puis marchèrent en direction du stade vélodrome.
Stéphane s'était changé il portait à présent un maillot de l'om floqué à son nom.
Pablo Suarez avait gardé ses habits de gitans il portait simplement une écharpe om autour du cou.
" - Mira, Los CRS de la partida son, ya, !! s'écria Pablo qui parlait souvent en espagnol.
- wesh, le poto à mon homme s'est fait crever par des parisiens, c'est sans doute pour ça. dit Cindy.
- Oh!! Que PUTA MADRE!! s'écria pablo. "
En effet les CRS formait littérallement un mur entre supporter marseillais et parisien. Chacun des deux camps chargeait les CRS pour créer une bréche et aller massacrer l'autre camp. Mais les CRS bien que prit en sandwich résistait aux multiples assauts.
" - Quiero matar parisionos, VAMOS !!!! cria pablo avec sa voix grave.
- Non tu restes ici idiot, la derniére fois dans quel état es-tu rentré?? lui fit remarquer ça soeur.
- Allez bougez vous le cul putain, je veux rentrer dans le stade. S'énérva Stéphane. "
Les 3 rentrèrent enfin dans un Vélodrome en fusion. Le stade était comble, et il y avait vraiment une grosse ambiance.
" Paris Paris on t'encule !! Paris Paris on t'encule " criait en choeur les supporters.
Le speaker annonça l'entrée des deux équipes. Soudain un gros aux armes résonna, le virage sud répondait au virage nord :
AUXX ARRRMESSSS!!! AUXXXXX ARMMESSSSSSS!!! NOUSSS SOMMES LES MARSEILLAIS!!! NOUS SOMMES LES MARSEILLAISS!!!! ET NOUS ALLONS GAGNER ET NOUS ALLONS GAGNER!!!!! ALLEZZ L'OMMM!!! ALLEZ L'OMMM ohhh OHHHHHHHH ohhhhhhhhhhh!!!!!!!!!
" -Il y a vraiment Une PUTAIN D'AMBIANCE DE SA MERE LA CHAOUI!!! cria stéphane à pablo.
- Si Si Muchisimo!! Es una ambianca De PUTA QUE SE TOMA UN SEXO MUY DURO EN LA CONCHA!!!! cria pablo. "
Alors que le match avait commencé, les supporters entonnaient de nouveaux chants comme: " allez l'om allez du virage depé s'élévera la ferveur du peuple Marseillais, allez l'om allez "
ou: " Tous pour la victoire ensemble il faut chanter, nous le virage nord unissons nos efforts, combattre pour l'om à la vie à la mort, combattre pour l'om à la vie à la mort " .
Qui va gagner? que va t-il se passer? vous le saurez dans le prochain épisode de : en route vers l'indépendance de Marseille!!!
Je suis Marignanais et je fais mes etudes à Marseille, du coup ce que tu dis ça me parle.
Cependant ta façon d'ecrire c'est un peu de la daube.
Je vais te donner quelque conseille, prend les ou pas je m'en fou: déjà tes héros doivent être charismatique et agir de façon coherente. là c'est juste des cliché gerbant pas du tout representatif ( j'ai beaucoup de potes de quartier, et y'as que les kéké qui s'exprime comme ça, pas tout le monde. ), et surtout ils sont con comme des balais. Youssouf est mort et on s'en branle... Rien que là tu perd le peu de credibilité de ton histoire.
Ton histoire justement peut être pas mal, car le spitch de départ est pas dégueulasse: "Une bande de pote omnibulés pas leurs ville et leurs patrimoines qui veulent l'indépendance de leurs cité". C'est grave possible mais tu ecris ça a sa forme la plus simple et on y croit pas du tout, et les valeurs que tu defends deviennent juste risible.
C'est con.
Mais franchement, prend du recule, car prendre du recule c'est prendre de l'élan et là il te faut un saut de géant pour arriver à en faire quelque chose de ton histoire.
Là ça craint et ça me fait honte de dire que Marseille c'est cool, ce que je pense, mais là, c'est tout se que je n'aime pas que tu decris.