Après deux défaites consécutives, c'est un PSG revanchard et largement remanié qui se présentait au Stade François Coty d'Ajaccio. La mission : se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue et se rassurer avant le dernier match de l'année face à Montpellier au Parc.
Laurent Blanc a donc décidé de faire tourner son effectif en titularisant des joueurs au faible temps de jeu comme Douchez, Chantôme, Rabiot ou encore Aurier. Une occasion donc de se montrer pour plusieurs éléments. Si les débats sont équilibrés en début de rencontre, c'est le PSG qui se crée la première opportunité par Chantôme, bien servi dans la surface par Rabiot, mais la reprise du gauche du milieu parisien fuit le cadre (13e). Quelques instants plus tard, sur une des rares incursions corses, Aurier accroche Madri à l'entrée de la surface, monsieur Lannoy désigne le point de pénalty. Cavalli ne se fait pas prier pour transformer la sentence (1-0, 27e). Les hommes de Laurent Blanc continuent de maîtriser les débats, mais les contre-attaques corses sont rondement menées, et sont tout près d'aller au bout à deux reprises. Le PSG, sans grande inspiration, rejoint donc les vestiaires menés au score.

Paris est tout près d'égaliser dès le début de la seconde période. C'est le montant du but corse qui repousse le coup franc de Lavezzi, effleuré par Aurier. Mais dans la foulée, l'ACA, toujours aussi dangereux en contre, est tout près de doubler la mise. Enfin, le PSG trouve la faille à la 55e minute. À la suite d'une belle action collective, Lucas sert idéalement Cavani dans la surface, dont le tir croisé trompe Scribe (1-1, 55e). Quelques minutes plus tard, Blanc sort Lavezzi touché, et le remplace par Bahebeck. Coaching gagnant, puisqu'à la 80e minute, l'attaquant parisien dépose un corner sur la tête d'Aurier qui donne l'avantage au PSG (1-2, 80e). Bahebeck, toujours lui, se trouve à point nommé pour reprendre un bon service de Lucas, et offrir le troisième but au PSG (1-3, 84e). L'affaire est pliée. Après avoir été mené, le PSG a su trouver les ressources pour s'imposer en Corse. Paris stoppe donc l'hémorragie et aura sans doute à coeur de finir l'année sur une bonne note au Parc samedi face à Montpellier.
edea79 c'est un peu le problème avec Laurent Blanc tu sais qu'il n'aura pas les couilles de faire de si gros changement. Moi perso c'est David Luiz que je mettrais à la place de Motta qui est vraiment moyen depuis le début et ça permettrai de mettre Marquinhos en défense car de tous nos défenseurs c'est bien lui le meilleurs.
captainjuu un triplé je signe tous de suite, la LDC on sait très bien que ce ne sera pas pour tous de suite.
Ajaccio n'a pas été si dangereux que ça , Paris est monté en régime au fur et à mesure du match ...
Pour finir les objectifs fixés en début de saison par Nasser Al-Khelaïfi:
-championnat , 1/2 finales de C1 (après ça dépend de l'adversaire et du déroulement des matchs) et pour finir la Coupe de France.
Arrêtez svp de vous faire gangrener l'esprit par cette presse de merde qui veut une chose , qu'il y'ait la crise pour faire monter ses tirages ... On est moins bien oui , mais il ne faut pas tout brûler non plus
Les médias ont collé à Paris une étiquette de riche, de géant atypique et impitoyable qui se "DOIT", au vu de ses moyens et ses joueurs, de rouler sur le championnat de France sans partage. En gros ce qu'on veut voir c'est un PSG qui colle un 4 ou 5-0 au moins une fois par mois, c'est loin d'être le cas ces derniers temps et du coup les médias s'en donnent à coeur joie. Donne des miettes à ces types, ils t'en font tout un couscous !
Le Paris d'Ancelotti ou celui de Blanc l'année dernière roulait sur ses adversaires directs et ça leur donnait un air invincible. Cette année, le jeu produit est relativement "normal" mais si Lille produirait leur jeu on crierait au génie et à la rennaissance Lilloise. C'est comme ça y'a une échelle d'appréciation bien spécifique pour le Paris Saint-Germain, et elle est extrêmement exigeante. Les médias veulent que Paris gagne mais en bousillant tout le monde, sinon peu importe les trois points, pour eux c'est intolérable
Vu le niveau de jeu que propose actuellement mon équipe, pas sûr que vous soyez très effrayer non plus