Planète Terre, ma maison, mon foyer
Une anomalie capricieuse dans la mer de l’espace
Planète Terre, es-tu simplement
En train de flotter, tel un nuage de poussière
Un petit globe sur le point d’éclater
Un morceau de métal voué à rouiller
Une particule de matière au cœur d’un vide sans nom
Un vaisseau spatial solitaire, un grand astéroïde
[Es-tu] aussi froide qu’une pierre sans couleur
Qui ne tient qu’à l’aide d’un peu de colle ?
Quelque chose me dit que non
Tu es ma bien-aimée, douce et bleue
Ressens-tu quelque chose, joues-tu
Sur mes émotions les plus profondes
Tu es tendre avec tes brises, caressantes et entières
Vivantes de musique, et qui hantent mon âme.
Dans mes veines j’ai ressenti le mystère
Des couloirs du temps, des livres d’histoire
Les chants des âges de la vie qui résonnent dans mon sang
Ont dansé au rythme de la marée
Tes nuages voilés, tes orages électriques
Ont pris ma propre forme, faisant surgir des tempêtes tumultueuses
J’ai goûté au salé, à l’amer et au sucré
De chaque rencontre, de la passion, de la chaleur
Tes couleurs fougueuses, ton parfum, ta saveur
Ont transporté mes sens au-delà de tout frisson
A travers ta beauté, j’ai compris d’où provenait
La plénitude éternelle de cet instant présent
Planète Terre, es-tu simplement
En train de flotter, tel un nuage de poussière
Un petit globe sur le point d’éclater
Un morceau de métal voué à rouiller
Une particule de matière au cœur d’un vide sans nom
Un vaisseau spatial solitaire, un grand astéroïde
[Es-tu] aussi froide qu’une pierre sans couleur
Qui ne tient qu’à l’aide d’un peu de colle ?
Quelque chose me dit que non
Tu es ma bien-aimée, douce et bleue
Ressens-tu quelque chose, joues-tu
Sur mes émotions les plus profondes
Tu es tendre avec tes brises, caressantes et entières
Vivantes de musique, et qui hantent mon âme.
Planète Terre, douce et bleue
De tout mon cœur, je t’aime
D’ailleurs le prochaine poème de Michael va surprendre
Et la nature est au dessus de l'homme , mais ca beacoup semble l'avoir oublié.