Excellente cette chronique. RDR est mon jeu favori de cette génération de par son scénario aux multiple facettes, très peu de sites parle de ce scénario de haute volée. En tout cas bravo de ne pas tomber dans la facilité dans tes chroniques (tu parle plus du fond que de la forme et c'est rare ).

Moi, RDR m'a ému, il n'y a pas de moment épique certes, seulement quand on fait corps avec marston les scène prennent une tout autre ampleur, c'est peut être bête la manière dont je vais l'expliquer mais en ne faisant qu'un avec le personnage on ressent toute l'intensité des scènes ( qui suivent pourtant un schéma ludique banal à base d'artifice typique des TPS ) mais par exemple lors de la prise de la capitale mexicaine, j'ai ressentit un petit quelque chose en me disant que ce combat n'était certes pas le mien mais que je contribuer à quelque chose de grand qui me dépasse complètement, en l'occurence une révolution qui allait changer la vie des chicanos mais qui allait completement être inutile à ma quête principale ( je parle comme si j'étais marston lol ).

Pareille contre Outch ( l'ancien ami de John, avec les indiens là pas sûr du nom), le combat n'est pas fantastique mais quand tu te dis que c'est ton ancien pote, que tu l'a pas vu depuis des plombes et que tu viens uniquement pour le tuer, ça fait zarb' même si tu es étranger à la situation. Ca ne te titille pas la rétine mais ça te prend au trippe.
Jamais un jeu ne m'avait fait ça.
(dommage que tu ne sois pas plus présent sur GK, ça aurait était interessant de débattre )