Resident Evil, Silent Hill, Hitman... Les jeux-vidéo portés au cinéma sont légion. Mais bien (trop) souvent, le bariolage rebute les gamers. Plutôt qu'une énième critique, je vais tenter de comprendre d'où vient cet amour impossible à l'heure où jeu-vidéo et cinéma n'ont jamais été aussi incestueux.
le jeu vidéo est considéré comme un média destiné aux ados à peine pubères et les licences juteuses se retrouvent avec des réalisateurs aux ambitions simplistes, rien d'autre.
La même chose est dites sur la littérature et le cinéma, ça empêche pas de continuer d’adapter des romans au cinéma. La vie (l'art) est un mélange permanent, après il faut arriver à harmoniser.
Le sujet passionne toujours autant. Je précise simplement qu'il s'agit du texte de Ityfalik, un contributeur du site. Je ne vais donc parler qu'en mon nom.
C'est un sujet vaste, difficile à résumer. Ce texte ne propose que des pistes, pas une réflexion dense. Je réfléchis moi-même à l'idée d'articles sur le sujet. En fait, je pense que le cinéma peut s'inspirer du jeu vidéo pour faire de bons films. Je dis "s'inspirer" et non "adapter". Par exemple, Existenz de Cronenberg reste un bon film, s'inspirant des jeux vidéo pour ses thématiques, son esthétique. Il n'adapte pas Mario, il puise dans ce média si particulier. De même, moins connu, Level Five de Chris Maker, propose au spectateur un documentaire jouant sur la réalité/fiction en se basant sur un (faux) jeu vidéo pour sa narration, sa réflexion...personne n'en parle mais c'est peut-être par là qu'il faut voir.
http://www.gameshake.fr/?p=353
Bien mieux écrit et plus représentative de la chose
C'est un sujet vaste, difficile à résumer. Ce texte ne propose que des pistes, pas une réflexion dense. Je réfléchis moi-même à l'idée d'articles sur le sujet. En fait, je pense que le cinéma peut s'inspirer du jeu vidéo pour faire de bons films. Je dis "s'inspirer" et non "adapter". Par exemple, Existenz de Cronenberg reste un bon film, s'inspirant des jeux vidéo pour ses thématiques, son esthétique. Il n'adapte pas Mario, il puise dans ce média si particulier. De même, moins connu, Level Five de Chris Maker, propose au spectateur un documentaire jouant sur la réalité/fiction en se basant sur un (faux) jeu vidéo pour sa narration, sa réflexion...personne n'en parle mais c'est peut-être par là qu'il faut voir.