Offert aux 1000 premiers fans ayant inscrit leur exemplaire du collector de Xenoblade Chronicles sur le site officiel de Nintendo, la version française de l’artbook (existant aussi en japonais pour les moins rapides) vient de s’installer dans ma bibliothèque. Après un petit calcul, il semble donc qu’un peu moins de six milliards de personnes n’y ai pas accès, alors autant faire une petite présentation de cet ouvrage en réalité à mi-chemin entre l’artbook et l’encyclopédie.

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Le samedi, les festivals ont une certaine tendance à quitter ce statut pour devenir des jungles dans lequel le visiteur se voit obligé d’évoluer en Rambo. Mais attention, celui du premier film, luttant pour sa survie. Et aujourd’hui, le Paris Games Week, c’était comme être nu dans une jungle, entouré de bacon, au beau milieu des hautes herbes remplies de tigres affamés. L’Entité touristique était d’une masse telle, qu’il était impossible d’approcher le moindre jeu.

En l’occurrence, seules les conférences devenaient intéressantes, puisque la salle dédiée était stratégiquement cachée près de l’espace presse. Pourtant, je n’ai pas eu le courage d’attendre les 5 heures séparant la conférence Sonic Generation de celle d’Assassin’s Creed.

Conférence Sonic Generation et rencontre avec Takashi Iizuka

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(A lire d'urgence, il y a des infos croustillantes sur Sonic Generations comme les personnages jouables)

Fini de jouer. Après une première journée réservée à la presse, le Paris Games Week ouvre enfin ses portes au public, et les conférences peuvent commencer. Fidèle au poste, j’ai profité de cette journée ou la densité de population était encore raisonnable pour essayer de nouvelles choses et approfondir ce qui avait déjà été vu. Une journée à deux faces : d’un côté un grand nombre de soucis techniques et de moments de loose générale, et de l’autre, la façon dont les gens ont réussi à croire que j’étais un bon joueur. Tout un programme.

Arrivé au moment de l’ouverture, il n’y avait bien sur pas grand monde. Encore moins à l’accès presse ou le temps d’attente était une notion inexistante. Mais plutôt que d’en profiter pour aller voir the Old Republic ou Battlefield 3, je suis retourné… sur Zelda : Skyward Sword.

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(Désolé pour l'énorme retard, j'aurais du poster ça hier à minuit. Mais bon, 'ai travaillé jusqu'à vachement tard hier...)

PS: Mon ami me souffle que ce soir, il y aura du lourd. Surtout concernant Sonic Generation dont les développeurs ont caché leur jeu jusqu'à aujourd'hui en annonçant que les autres personnages étaient bel et bien jouables avec quasi un perso à débloquer par monde!

On m’a dit « fait des papiers engagés »…
Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. On aime quelque chose sans que cela soit forcément du goût de tout le monde. Mais parfois, il arrive qu’un jeu fasse l’objet de critiques violentes sans forcément de raisons. C’est un peu ce qui s’est produit avec Prince of Persia 2008, pour lequel certains se sont sentis obligés de crier à l’hérésie envers le jeu d’Ubisoft Montreal. Pourtant, il est bien ce jeu, même très bien. Alors pourquoi tant de haine ?

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"Il y a des jeux qui savent se faire attendre un moment. Starcraft II a mis douze ans avant de voir le jour, Duke Nukem Forever quinze, et la saga Kingdom Hearts chère à son papa Tetsuya Nomura et à Square-Enix ne fait pas exception. Cela fait en effet six longues années que les fans de la série mêlant univers Square et Disney attendent la suite des aventures de Sora, se contenant de spin off et autres retours dans le passé à l’intérêt parfois discutable. Pourtant, il semblerait que l’attente touche bientôt à son terme, les preuves s’accumulant dangereusement et permettant toutes les suppositions. Tout comme pour FF7, faisons ici le bilan des indices disséminés dans le scénario ainsi que les preuves plus matérielles. Mais avant toute chose :

Moi, Ensis, je jure sur la Monado de ne troller à aucun moment sur la politique de Square obligeant à acheter toutes les consoles du monde pour jouer à l’ensemble de la saga, et ce, tout au long de cet article...

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Je ne le dirai jamais assez, Sonic est l’un de mes deux personnages de jeux vidéo préférés avec Link, et à mes yeux le plus grand héros de jeux vidéos de tous les temps. La mascotte de Sega, véritable arme de guerre anti-mario, a permis au constructeur de s’imposer dans un marché dominé jusque-là à 90% par Nintendo. Si le hérisson a pendant un temps perdu de sa superbe en nous offrant des titres moins bons que les premiers sur Megadrive, il a en revanche toujours su nous offrir une bande-son incroyable...

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