Le voici, le voilà mon dernier achat, depuis le temps que j'en rêvait : L'iPod Nano (PRODUCT) RED.
Ce baladeur MP3 de 4Go est similaire technologiquement à ses paires. Il se distingue par sa couleur vive et son intérêt humanitaire. Apple reverse en effet 5% des bénéfices effectués sur la vente de ce produit au fond international de lutte contre le SIDA en Afrique. Sur un prix public conseillé de 209 €, le géant américain devrait donc transmettre à la fondation environ 5€ pour chaque iPod.
Par cet acte, Apple rejoint déjà de nombreuses marques d’envergure mondiale investies dans le projet RED, projet lancé par Bono (leader du groupe U2 pour les incultes et fervent combattant des inégalités dans le monde) : American Express et sa carte bancaire (American Express) RED, Motorola et ses RED MOTORAZR et RED MOTOSLVR, Emporio Armani, GAP et Converse.
L’histoire du Haka se confond avec celle des Maoris, ces habitants de Aotearoa, premier nom donné à la Nouvelle-Zélande qu’ont découvert des Polynésiens au XIIe siècle. Ils vivent en tribu et la guerre est une occupation constante chez eux. En 1642, le navigateur hollandais Abel Tasman découvre les côtes de ce pays, mais c’est le fameux James Cook qui en dressera la carte en 1769. Dans les années 1820 débute la colonisation britannique. A l’époque, les Maoris sont environ 200.000 (contre 300.000 aujourd’hui, soit 10% de la population néo-zélandaise). Maori veut dire « gens ordinaires » en opposition à l’étranger colonisateur appelé encore aujourd’hui « pakeha ». Ce sont des marins qui apportent du royaume le fameux ballon ovale. Le premier match de rugby sur cette terre se déroule en 1872 à Wanganui. Signe avant coureur du XXe siècle : un Maori y participe ! Pas étonnant pour un évêque anglican de l’époque qui note dans son petit journal que « le rugby a sublimé les passions guerrières du peuple maori ».
Le Haka - qui veut dire textuellement « danse » - apparaîtrait dans les équipes maories à la fin du XIXe siècle, issu d’un cri de guerre d’un des chefs de tribu de l’île. C’est en 1905 que les Européens découvrent ce qui allait symboliser les All Blacks. Car, quelques années plus tard, les Kiwis - du nom de l’oiseau omniprésent en Nouvelle-Zélande dont la particularité est de ne pas voler - deviennent les All Blacks (« tout en noir »). Tout est parti d’une erreur d’un typographe. Un reporter d’un journal, impressionné par le rugby de ses compatriotes, avait titré son article : « They’re all back » (ce sont tous des arrières, NDLR). Comme le maillot était noir depuis 1893 à l’initiative d’un... Maori, le typo corrigea, et rajouta donc le fameux « l » ! Mais à cette époque, le Haka n’était effectué qu’à l’étranger. « Le Haka, selon Jean-Pierre Bodis, est une offrande aux adversaires. Du style : Nous sommes heureux de combattre contre vous. »
Anecdote :
IL existe en faite 2 version du Haka :
- Le 'Ka mate'
- Le 'Kapa o Pango'
Les All Blacks ne sont pas les seuls a effectuer un Haka avant le début d'un match . On peut compter les Iles Fidjis, le Tonga ...
Les paroles en français du 'Ka mate' :
KA MATE KA MATE
C'est la mort C'est la mort
KA ORA KA ORA
C'est la vie C'est la vie
KA MATE KA MATE
C'est la mort C'est la mort
KA ORA KA ORA
C'est la vie C'est la vie
TENEI TE TANGATA PUHURUHURU
Voici l'homme chevelu
NANA I TIKI MAI WHAKAWHITI TE RA
Qui fait briller à nouveau le soleil pour moi
UPANE UPANE
En haut de l'échelle En haut de l'échelle
UPANE KAUPANE
En haut de l'échelle Tout en haut
WHITI TE RA
Le soleil brille!
Les paroles de 'Kapa o Pango' :
KIA WHAKAWHENUA AU I AHAU!
Let me become one with the land
HI AUE, HI!! KO AOTEAROA E NGUNGURU NEI!
This is our land that rumbles
AU, AU, AUE HA!
And it's my time! It's my moment!
KO KAPA O PANGO E NGUNGURU NEI !
This defines us as the All Blacks
AU, AU, AUE HA!
It's my time! It's my moment!
I AHAHA! KA TU TE IHIIHI
Our dominance
KA TU TE WANAWANA
Our supremacy will triumph
KI RUNGA KI TE RANGI E TU IHO NEI, TU IHO NEI, HI!
And will be placed on high
PONGA RA!
Silver fern!
KAPA O PANGO, AUE HI!
All Blacks!
PONGA RA!
Silver fern!
KAPA O PANGO, AUE HI, HA!
All Blacks!
Une Video d'un début de match Nouvelle-Zélande/Tonga :
Le corps de Palouma, l'un des cinq ours slovènes récemment réintroduits dans les Pyrénées françaises, visiblement mort accidentellement, a été découvert vendredi soir près de Loudenvielle (Hautes-Pyrénées), a-t-on appris samedi auprès du ministère de l'Ecologie.
La dépouille de l'ourse - la première relâchée dans les Pyrénées françaises dans le cadre d'un plan de réintroduction -, a été récupérée par la gendarmerie, samedi en milieu d'après-midi.
Le corps du plantigrade a été évacué par hélicoptère et remis à l'équipe de suivi de l'ours, chargée d'effectuer les premières constatations. Il y a des fractures aux différents membres arrière et avant mais, sans une autopsie, nous ne pouvons pas nous prononcer précisément sur les causes de la mort, a indiqué Frédéric Decaluve, l'un des membres de l'équipe de suivi.
L'ourse se trouvait en contrebas d'une barre rocheuse dans un endroit très escarpé, a précisé une porte-parole du ministère de l'Ecologie et du développement durable.
La découverte, faite vendredi soir sur le territoire de la commune de Loudenvielle, a été signalée samedi matin à la gendarmerie de Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne).
Averti par les gendarmes d'Arreau, le maire de Loudenvielle Michel Pélieu a précisé que Palouma, qui avait été lâchée le 25 avril sur la commune de Burgalays (Haute-Garonne), a vraisemblablement dévissé sur une barre dominant le lac de Caillaouas.
Vendredi après-midi, l'équipe de suivi de l'ours, qui était sans nouvelles de Palouma depuis plusieurs jours, avait de nouveau établi un contact par l'intermédiaire du collier-émetteur équipant cette ourse, la localisant sur la commune de Loudenvielle.
Le lâcher de Palouma, l'une des quatre femelles réintroduites - en plus du mâle Balou - devait intervenir sur la commune proche d'Arbas (Haute-Garonne), mais avait dû se dérouler à Burgalays en raison de manifestations hostiles des opposants à ce plan.
- Assurez-vous, en traversant le coin à dresseurs après le pont Pépite au nord d'Azuria, de ne pas combattre un dresseur (de dos sur cette image, le plus proche du héros).
- Assurez-vous de ne pas combattre le dresseur CROUPIER (c'est un vieux monsieur) regardant vers une maison Route 8.
- Il faut avoir la CS02 (VOL) et l'avoir apprise à un Pokémon que vous tiendrez sur vous lors de l'astuce.
- Assurez vous d'avoir un max de bonnes PokéBalls !
L'astuce :
- Maintenant, allez dans la maison devant Croupier (Route 8 ) - que vous ne devez surtout pas avoir battu - qui est en fait le tunnel conduisant à Céladopole.
A l'intérieur de la maison, sauvegardez (c'est plus sûr).
- Sortez de cette maison, faites un pas et appuyez presque en même temps sur Start, de façon à ce que Croupier n'ait pas le temps de vous combattre (note technique : le jeu charge le pas, le Menu Start, puis CROUPIER, donc il est hors-temps pour son défi).
- Faites Vol vers Azuria, puis allez à l'endroit où vous n'avez pas combattu le dresseur
- Eloignez vous de lui (de façon à ce qu'il se déplace pour vous défier, sinon la GameBoy flanche), puis battez-le.
- Une fois cette chose faite, faites Vol vers Lavanville, puis allez sur la Route 8 à pied.
En y entrant, le menu Start s'affiche sans que vous ne l'ayez demandé...
- Faites B, et ... MEW APPARAÎT !
Il est au niveau 7 et n'a que Ecras'Face comme attaque.
Pour le capturer, c'est simple : mitraillez-le de PokéBalls !
Au début de la Coupe du Monde, Thierry Roland, pas très optimiste sur le sort des Bleus a déclaré : « J'ai fait un pari pas très honnête avec Estelle : si la France gagne, je ferais le tour de la Concorde nu. » Sûr à l'époque de la médiocrité française, Thierry Roland doit aujourd'hui se faire du souci, car, nous, on espère bien que la France va gagner et que notre Titi national va courir le 9 juillet autour de l'Obélisque de la Concorde dans le plus simple appareil ... Affaire à suivre ...
Alors voilà tout ceci se serait passé à la mi-temps du match Brésil-Allemagne. Thierry Roland vient d'engueuler Laurent Petit, attaché de presse de TF1 pour ne pas lui avoir obtenu 2 places supplémentaires pour ce match de final de Coupe du Monde 2002.