Jean-Marie Le Pen a été reçu par le Président de la République pour une consultation sur le traité européen simplifié.

Le Figaro vient enfin d’officialiser le départ de son directeur, Nicolas Beytout, en publiant une dépêche AFP sur son site. Réunie cet après-midi en AG, la rédaction du journal a fait part de son inquiétude quant à son indépendance, elle craint des pressions de son principal actionnaire, Serge Dassault. La rédaction espère que le contrat d’Etienne Mougeotte comportera une clause garantissant l’indépendance du journal.

La France recevait le Maroc pour un match amical de football au stade de France. Et que s'est-il passé, hormis le résultat nul final? Les tribunes étaient rouges de drapeaux marocains. On a même vu un drapeau algérien. La Marseillaise fut sifflée, les joueurs français conspués, sifflés par le public pendant tout le match dès qu'un d'entre eux avait le ballon, des commentateurs qui ne relevaient aucune de ces manifestations scandaleuses sauf les sifflets pendant l'hymne national, voire même semblaient se réjouir de cette ferveur, etc.
Une ambiance exécrable, anti-française, haineuse, qui n'avait rien à voir avec la simple passion de supporteurs. Le tout, dans le stade de France qui se voulait, à son inauguration en 1998, le fleuron du sport français et la vitrine d'une certaine France.
Qui relèvera? Qui réagira? Sans doute personne. Voilà le deuxième scandale, peut-être pire encore.

Dans le cadre de l’anniversaire des attentats du 11 septembre des députés européens avaient organisés une manifestation à Bruxelles pour dénoncer l’islamisation de L’Europe.

Curieusement cette manifestation a permis de démontrer que son objet de préoccupation était bien réel puisque des contre-manifestants musulmans étaient venus avec des pancartes portant l’inscription « L’islam vaincra ».

La police s’est saisis avec violence des parlementaires mais n’a rien fait aux contre-manifestants. Elle a juste empêché la presse de filmer les pancartes, histoire de ne pas effrayer les Européens.

En France aucune information ni image, de peur que cela réveille les consciences.

Français dormez bien.

...à la tête du FN !


- 1) LA NOTORIETE



Pour être présidentiable, il faut avoir une certaine notoriété personnelle : Marine porte un nom connu par 100 pour 100 des Français et même dans le monde entier, Marine s’est fait un prénom (dire « je vote pour Marine » suffit), Marine a un visage connu de tous.



- 2) LES 500 SIGNATURES



Pour être présidentiable, il faut passer l’épreuve administrative des 500 signatures de maires. Dans notre famille politique, seule Marine a l’espoir de les recueillir. D’ailleurs, selon un sondage IFOP pour le magazine « Valeurs actuelles » du 16 novembre, 81% des électeurs du FN souhaitent qu’elle remplace son père à la tête du Front.



- 3) LE RENOUVEAU



Il nous faut mettre en piste un leader jeune : dans 20 ans, Marine n’aura pas 60 ans. A l’image du parti flamand qui a misé avec succès sur des porte-drapeaux très jeunes, il nous faut miser sur les jeunes talents de la famille nationale. Toutes les études montre que l’électorat (y compris le nôtre) aspire à un renouvellement, à un rajeunissement et à une féminisation : présenter un homme, en 2012, d’âge mur constituerait très certainement une erreur de casting.





- 4) LE SUCCES ELECTORAL



Marine fait gagner. Seul 2ème tour de toute la France et un score de 42% au second tour, elle a montré qu’elle sait rassembler notre électorat et élargir l’assise électorale en conquérant de nouveaux électeurs au deuxième tour. Les élections partielles dans lesquelles les candidats FN ont associé son nom ont montré le caractère électoralement entraînant de son image.Il est évident que le leader de notre famille politique doit porter l’espoir l’une victoire de notre camp. Or, lors de la législative d’ Hénin Beaumont, le résultat de Marine a été parlant.





- 5) LA RIGUEUR IDEOLOGIQUE



Marine défend strictement la ligne politique du Front national : ses prestations médiatiques comme ses documents de campagnes, consultables sur internet ,suffisent à démonter que Marine obtient des succès électoraux ou une notoriété personnelle sans aucun reniement idéologique. Il n’y a pas de ligne Marine le Pen, il y a tout au plus un style Marine Le Pen qui repose sur une présentation souriante et décontractée du programme du FN. Elle a également montré qu’elle se refusait à tout arrangement politiciens de couloirs et de salon.





- 6) Une image RASSURANTE



Marine rassure : l’image d’une femme contient les campagne de diabolisation rappelons nous qu’au FN, les femmes ont souvent été électoralement plus rassembleuses que les hommes : dans les législatives, seules des femmes l’ont emporté au scrutin majoritaire (Yann Piat / Marie France Stirbois)





- 7) L’UNION MILITANTE AUTOUR DU COMPROMIS NATIONAL



Marine a montré sur le terrain son esprit de rassemblement : lors de la campagne d’Hénin Beaumont, Marine Le Pen a, dans l’action, rassembler des militants patriote venus de toutes les formations : FN/ExFN indépendants/MNR/MPF/ et même PS et UDF. Pour elle l’Union patriotique ne peut-être une combinaison d’état major pour servir les ambition de quelques uns mais, à la base, par l’union des militants dans l’action.

La campagne est, à cet égard, une belle illustration du compromis nationaliste dans une magie militante retrouvée.



- LES ACTIONS MILITANTES ET L’ IMPLANTATION



Marine développe une conception du parti fondé sur le militantisme de terrain : Marine se définit comme d’abord et avant tout comme une militante de la cause nationale. Elle a montré qu’elle y consacre tout son temps et toute son énergie, au détriment de sa vie personnelle: cela l’amène à se déplacer pour soutenir sur le marché ou au port à porte des candidats du FN dans les cantons les plus reculés.



- 9) UNE VISION A LONG TERME DE PRISE DE POUVOIR



Marine propose une vraie stratégie de conquête du pouvoir : dans des interventions récentes internes, Marine a pu développer sa vision du parti qu’elle définit comme « une organisation militante structurée et fraternelle poursuivant comme objectif la conquête du pouvoir ». Elle a également fixé des objectifs à moyens et longs termes en assignant au parti trois priorités : recruter, former, implanter avec en ligne de mire la présidentielle de 2012 .

Jean-Marie Le Pen Président
Louis Aliot Secrétaire général
Jean-Pierre Reveau Trésorier national
Marine Le Pen Vice-président exécutif
Bruno Gollnisch Vice-président exécutif
Roger Holeindre Vice-président
Alain Jamet Vice-président
Jean-Claude Martinez Vice-président
Wallerand de Saint-Just Vice-président

Le parti d’un ex-chef de la guérilla séparatiste albanaise (UCK), prônant une indépendance rapide du Kosovo, a remporté les élections kosovares avant une négociation cruciale sur le statut définitif de la province serbe administrée par l’ONU. Hashim Thaci, leader du Parti démocratique du Kosovo (PDK), a proclamé la victoire de sa formation au siège de son parti devant plusieurs milliers de partisans enthousiastes.



“Je remercie tous ceux qui ont aidé à notre victoire et à la victoire du Kosovo”, a dit M. Thaci. “Le temps a changé ce soir pour le Kosovo. Une nouvelle ère commence. Les citoyens du Kosovo ont envoyé au monde le message que c’est un pays démocratique prêt à rejoindre la famille européenne”. “Je félicite les citoyens du Kosovo pour cette grande victoire démocratique en vue de notre avenir dans la famille européenne et l’intégration aux structures euro-atlantiques”, a déclaré M. Thaci après avoir voté.

“Pour qui j’ai voté n’est pas important. J’ai voté pour l’indépendance. C’est le sentiment de tous les Kosovars. Le nouveau Parlement quel qu’il soit agira pour l’indépendance”, a déclaré Nerxhivane Dauti, un professeur au chômage, âgé de 32 ans.

Les quelque 100.000 Serbes restés au Kosovo après la guerre ont massivement boycotté le scrutin de samedi répondant à un appel de Belgrade à ne pas voter. “Les Serbes n’ont pas voté pour ne pas légitimer des élections organisées pas des institutions (kosovares albanaises) provisoires”, a dit un porte-parole du parti du Premier ministre serbe Vojislav Kostunica.

Les résultats viennent de tomber:

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Un sondage TNS Sofres pour France 24 compare les opinions des habitants de 5 pays européens sur la question de l’immigration. La conclusion en est que les considérations nationales semblent façonner encore en grande partie les représentations et les jugements sur cette thématique.

25 % des Français et 27 % des Allemands considèrent que l’immigration est une chance et non une menace. Néanmoins, dans ces deux pays, la moitié de la population ne se prononce pas sur cette question. Pour la majorité des Européens interrogés (55 % des Français, contre 51 % des Espagnols et 61 % des Allemands), la plupart des immigrés ont des difficultés d’intégration et ce sont avant tout les personnes d’origine étrangère qui ne se donnent pas les moyens de s’intégrer (52 % des Français, contre 69 % des Allemands).

Les opportunités liées à l’immigration sont avant tout de nature économique pour les Espagnols (79 %) et les Italiens (68 %) et de nature culturelle pour les Français (62 %), les Britanniques (77 %) et les Allemands (83 %).

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