
« Il n’y a pas de souci au niveau du salaire. Il reste quelques détails à régler. Il y a deux pistes Newcastle et Marseille. Août sera le mois de la vérité ». Interrogé hier du côté du centre d’entraînement de Tola Vologe, Bafetimbi Gomis n’esquivait pas les médias et affirmait donc l’existence de contacts avec deux clubs : Marseille et Newcastle. Mais si l’international tricolore refusait de donner une longueur d’avance à l’une des deux formations, il semble bien que Newcastle soit en pole position sur ce dossier.
En effet, Jean-Michel Aulas a confirmé dans le même temps ou presque l’existence d’un accord entre l’Olympique Lyonnais et les Magpies. Mais alors, pourquoi la transaction n’a pour l’heure toujours pas été officialisée ? Côté rhodanien tout d’abord, on rejette la faute sur la commission revenant à l’agent de l’attaquant, jugé un peu trop gourmand pour le coup. Pourtant, dans l’entourage du joueur, on assure qu’il n’en est rien, et que le buteur s’est même d’ores et déjà mis d’accord avec les Toons sur les bases d’un contrat de quatre ans assorti d’un salaire supérieur à celui qu’il perçoit entre Rhône et Saône.
Mais où peut donc être le problème ? Et bien selon L’Équipe, il faut explorer une troisième voie pour comprendre le souci. En effet, le quotidien rapporte que c’est la question de l’indemnité de solidarité qui bloque pour le moment le transfert. Cette indemnité, de 5%, revient au club formateur du joueur, en l’occurrence à l’AS Saint-Etienne. Lyon doit donc verser ce montant aux Verts, et demande un petit effort supplémentaire à l’écurie anglaise, chose que Newcastle n’est pour le moment pas disposé à faire.
publié le 03/08/2013 à 21:04 par
anakaris
non mais plus sérieusement, les ambitions de Lyon sont revues à la baisse à cause du FPF et il a tout concentrer sur le nouveau stade.
ce FPF oblige les clubs moins fortunés à être moins ambitieux et plus des affaire qui roulent même a moyen régime et doivent seulement rester rentables.
Durant leur égémonie ils avaient le plus gros budget de l1, la plupart des meilleurs joueurs de notre championnat, c'est juste plus le cas aujourd'hui .
et quand je dis "moins" fortunés c'est en comparaison avec des clubs "trés" fortunés que vous connaissez tous désormais.