Béta
Horreur et stupeur au royaume de Lancre bercé de deux versant des montagnes du bélier depuis des lustres certifié fabrique a sorcières, réduite au nombre de deux le premier couvant n’est en de telle formule plus qualifiée a la prétention de son titre. Privées d’une presque Margaret, Mémé Ciredutemps et sa consœur délicieuse matriarche du clan Ogg se seraient pourtant bien satisfaite de leur « tout a fait » Magrat aujourd’hui sous le joug d’une potion d’amour au bras de son époux le Roi Verence naguère fou a la cour. Orpheline de leur benjamine aussi leur faut-elle prospecter en direction d’Ankh Mopork en quête d’une nouvelle recrue pour compléter de nouveau le trio de sourcières. Candidate repérée de prime jeunesse a se chercher puis se trouver en une autre fantasmée sous la forme de Perdita X. Leréve, Agnés issue de famille Crétinne ne se doute ainsi pas le moins du monde de l’intérêt porté envers sa personne de la part d’une nounou Ogg au faits de ses prouesses magiques, non qu’elle ne soit un jour particulièrement rêvé en une vie de sorcellerie faut-il le préciser. A truster les bancs de l’opéra récemment acquis par un monsieur Baquet fortuné de toute une existence au service de la fromagerie, Perdita s’entend jouer les doublures d’une étrangère. De surcroît dans les standards de beauté visuelle que l’on se fait de l’opéra duquel Perdita échappe a tous critères auprès des voix qui surgissent des coulisses, la ou s’échouent toutes les Agnés du monde. La source d’un mal étranger qui se manifeste aux contours d’un spectre également, source directe d’une série de meurtres inqualifiable dont la résolution ne dépendra que de la bonne coopération d’un couvent voila bientôt de nouveau couvent. La « Mascarade » serait dés lors ce voile qui masque le visage d’un individu qui se meut en une identité factice pour ainsi dire obstruer la relation si étroite entretenue par l’être et le paraître. Le fantôme de l’opéra assassin ou bien artiste , l’un ou l’autre sont causalité du spectacle qui toujours doit continuer. Dix-huitième roman de disque monde, la masquerade ne serait-elle pas plutôt d’user d’un souvenir pour évoquer le présent tel l’ouvrage ouvertement inédit que l’on confondrait avec l’un de ses prédécesseur. Du théatre d’un « Trois Soeurcières » a l’opéra, les Sorcières revisitent un nouvel art d’un air familier certes bienvenu mais également un brin trop aisé pour prétende a la mème excellence recherchée d’antan. Nonobstant l’absence malheureuse de Magrat, l’ajout d’Agnés en remplacement augure cependant d’instants joyeux en compagnie d’une Mémé ainsi que d’une Nounou éternelles maîtresses du divertissement.
posted the 02/19/2013 at 11:48 PM by
sorow