Ligue 1
Alors que le PSG a miraculeusement réussi à se sauver de la relégation la saison passée, beaucoup d'interrogations se posent quand à l'année prochaine. En effet, peu de changements jusqu'à maintenant:
- un nouveau président qui ne comprend rien au foot en la personne de Jacques Villeneuve
- beaucoup de noms prestigieux qui circulent mais aucune signature (Thuram, Makélélé, Briand, Trezeguet)
- Pauleta qui part, Hoarau qui débarque, n'est-ce pas un peu léger?
- Le Guen maintenu dans ses fonction malgrès les mauvais résultats et ses mauvais choix tactiques.
Pensez vous que le PSG se dirige vers une énième saison sans panache, ou que tout le monde va se reveiller et que le PSG va retrouver une place qui corresponde plus à son standing?
publié le 02/07/2008 à 11:47 par
rashka59
Ligue 1
Le contrat est rompu. Le chèque d'indemnité, désormais signé. Mais l'homme demeure libre de s'exprimer. Alain Perrin dit tout, mercredi, dans L'Equipe, des difficultés qu'il a rencontrées pour exercer cette saison à Lyon aux côtés d'un staff technique qui ne voulait pas de lui.
Le préparateur physique Robert Duverne «ne fonctionnait que dans l'agressivité», dit l'homme qui a mené le club au doublé Championnat - Coupe. «Il m'était impossible de m'intéresser à ses méthodes, à son travail, raconte Perrin. (...) Bats, Duverne, un peu moins Génésio, avaient leur mode de fonctionnement. La légitimité de leur parcours semblait leur permettre de me dire non. Mais, après quinze jours de vie commune avec eux, je me demandais si, à leurs yeux, j'avais déjà entraîné une équipe.»
Il rend dans la foulée un hommage appuyé à Christophe Galtier, l'adjoint avec lequel il était arrivé. «Il était dans un bureau de quatre personnes. Aucune des trois autres ne lui adressait la parole, parfois pendant deux heures.» Avec les joueurs, peut-être car les membres du staff agissaient en «taupes», le travail était devenu aussi difficile. «Je me concentrais uniquement sur la tactique et la technique. Mais, là aussi, c'était compliqué. Il y avait un refus systématique des choses nouvelles.» Son but a très vite été d'obtenir «la paix sociale, pour fonctionner a minima.»
Alain Perrin, dans cette longue confession, se dit «frustré de ne pas travailler» et assure n'avoir aucun contact. «Je n'ai pas apprécié la façon dont on a dénigré le travail que j'ai pu faire».
publié le 02/07/2008 à 07:28 par
itamariisback