Dominateur face à une équipe très rajeunie de St Étienne, le PSG s'est imposé à l'arraché 1-0 grâce à un coup de coaching de Laurent Blanc...

Sans grande surprise, Paris confisquait le ballon, mais ne parvient pas à bousculer une défense stéphanoise sereine. Décidés à subir et venu pour défendre, suites à de nombreuses absences, les Stéphanois ont tenu en échec lors de la première mi-temps une équipe parisienne décevante offensivement avec un Lucas et Lavezzi loin d'être à leur meilleur niveau. La meilleure occasion est venue de Zlatan Ibrahimovic qui réalise un geste acrobatique, mais le ballon fracasse la transversale de Jessy Moulin, remplaçant de Stéphane Ruffier. C'est vraiment la seule chose à retenir de ses 45 premières minutes de jeu avec éventuellement une frappe lointaine d'Adrien Rabiot.





Au retour des vestiaires, Paris change de visage et accentue le rythme. Malgré cela, les Parisiens continuent à buter face à une grosse défense stéphanoise présente sur toutes les offensives du PSG. Les minutes passent et l'inquiétude gagne le camp parisien. Laurent Blanc décide alors de faire entrer en jeu Angel Di Maria et Edinson Cavani. La rencontre va alors changer complètement de visage. L'Argentin positionné au milieu de terrain permet aux Parisiens de trouver de nombreux espaces, mais les occasions de but ne se concrétisent pas...

On approche alors les dernières minutes de la rencontre et la possibilité de jouer une prolongation commence à se faire ressentir. Mais, sur un caviar d'Angel Di Maria, l'Argentin trouve Edinson Cavani qui ne manque pas l'occasion de crucifier Moulin pour l'ouverture du score (1-0, 86e). El Matador délivre ainsi le Parc des Princes. Le PSG est donc qualifié en quart de finale de sa Coupe de la Ligue contre l'Olympique de Lyon au Parc des Princes, et c'est bien ça l'essentiel ce soir...

Face à Bastia, le PSG avait l'occasion de glaner son premier trophée de la saison. En alignant un onze de départ avec quasiment toutes ses stars, Laurent Blanc a tenu à montrer qu'il accordait de l'importance à cette finale, à quelques jours du choc face au Barça.


Dès l'entame de match, les Corses se montrent rugueux, et Thiago Silva fait les frais des premiers coups des Bastiais. Paris aurait pu bénéficier d'un pénalty pour une main de Danic dans la surface, mais l'arbitre en décide autrement. Ce n'est que partie remise. Après une faute de Squillaci sur Lavezzi qui filait au but, Zlatan Ibrahimovic se charge de transformer la sentence, et donne l'avantage au PSG (1-0, 21e). Sur le coup, le défenseur bastiais est expulsé, et laisse son équipe à dix. La tache devient alors plus facile pour les coéquipiers de Thiago Silva qui doublent la mise par le même Ibrahimovic à quelques minutes de la pause. 2-0 à la mi-temps, face à une équipe réduite à dix, ça sent bon le premier trophée de la saison pour le PSG.





Lavezzi en début de seconde période est tout près du 3-0, mais l'Argentin manque de réussite. Peu après l'heure Blanc semble déjà tourné vers le match de Ligue des Champions, et lance Cavani à la place de Lavezzi. Verratti est tout près d'aggraver la marque, mais Aréola s'interpose à un quart d'heure de la fin. A l'approche des dix dernières minutes, Bastia se jette à l'abordage et se montre dangereux à deux occasions, mais la défense parisienne préserve l'essentiel. Il ne reste que quelques minutes à jouer, mais Cavani qui entend bien profiter de la fête, s'offre un doublé et donne à la victoire parisienne un peu plus d'ampleur.

Une place au Stade de France pour tenter de décrocher une coupe nationale, un des objectifs du club parisien cette année, voilà l'enjeu de cette demi-finale de Coupe de la Ligue face à Lille. Pour cette rencontre, Laurent Blanc avait choisi de mettre son équipe type. Seul Sirigu, remplacé par Douchez en coupes, manquait à l'appel.

Le PSG entame cette rencontre par le bon bout en s'octroyant la possession du ballon, et en se procurant plusieurs occasions. C'est Cavani qui dégaine le premier (4e, puis 15e) sans parvenir à faire mouche. Cavani s'illustre également dans un rôle de passeur pour Lucas, mais Enyeama est attentif (7e). Après une vingtaine de minutes de domination parisienne, les nordistes pointent le bout de leur nez, sans toutefois parvenir à inquiéter Douchez. Cavani, encore lui, bien servi dans la surface, parvient à centrer pour Maxwell qui arrive lancé, et qui ne laisse aucune chance au portier du LOSC. Le PSG mène logiquement 1-0. Derrière, le jeu se durcit, et le ton monte notamment entre Verratti et Balmont, mais Paris rentre au vestiaire avec un avantage logique au tableau d'affichage.





Après la pause, le PSG revient pied au plancher, et Cavani, décidément très en vue, est tout près d'offrir au PSG le but du break (47e). Les hommes de René Girard restent inoffensifs, et se heurtent à une défense parisienne bien organisée et disciplinée. Le PSG gère cette rencontre et cet avantage au score. Les Lillois de leur côté se montrent improductifs en attaque, et ce ne sont pas les changements effectués par René Girard qui changent grand-chose. Au terme d'une rencontre totalement maîtrisée, le PSG, qui n'a jamais été inquiété, se hisse en finale de cette Coupe de la Ligue. Rendez-vous le 11 avril prochain face au vainqueur du duel de mercredi entre Moncao et Bastia.

Après cette semaine éprouvante et vive en émotion partagé par "presque tous"sur Paris suite à la...........



défaite face à Bastia (4-2) en championnat les parisiens voulais retrouvé et continué à vivre une paisible.

Bon c'est bon j'arrête de faire le con.



Comme on s'y attendait, c'est par un chaudron bouillant que sont accueillis les Parisiens. Mais loin d'être impressionnés, les joueurs de Laurent Blanc se montrent entreprenants en début de match, en témoigne ce bon coup franc de Zlatan boxé par Ruffier (8e). Le Suédois, encore lui, est dans tous les bons coups, mais il est pris au piège du hors-jeu à deux reprises. Après une vingtaine de minutes, les Verts sortent la tête de l'eau, et c'est Bayal, sur corner, qui place une bonne tête hors de portée de Douchez, mais Verratti est là pour sauver sur sa ligne. Par la suite, les débats s'équilibrent, sans qu'aucune des deux formations ne parvienne à se créer de réelles opportunités. Malgré une fin de première période engagée, c'est sur un score nul et vierge que se séparent Parisiens et Stéphanois après 45 minutes.



Au retour des vestiaires, Hamouma fait passer un premier frisson aux hommes de Laurent Blanc, mais le coup franc du Stéphanois frôle la cadre. Quelques minutes plus tard, Lucas est tout près d'ouvrir la marque. Bien lancé en profondeur, le Brésilien élimine Ruffier, mais ne parvient pas à redresser son ballon (67e). Qu'à cela ne tienne, quelques minutes plus tard, Ibra se charge de donner l'avantage aux siens, en reprenant de la poitrine un bon centre de Lucas (72e). S'en suivent quelques minutes de flottement, les Stéphanois contestant le fait que le ballon soit entièrement entré dans le but. Le jeu reprend enfin après quelques minutes, et le PSG est tout près du break, mais Matuidi trouve Ruffier sur sa route (79e). Les Verts mettent la pression en fin de rencontre, et c'est Douchez qui sort une énorme parade face à Van Wolfswinkel (86e). Après trois longues minutes d'arrêts de jeu, M. Ennjimi délivre enfin le PSG, qui s'offre une demi-finale de Coupe de la Ligue, et se rassure un peu avant la réception d'Evian dimanche.

Après deux défaites consécutives, c'est un PSG revanchard et largement remanié qui se présentait au Stade François Coty d'Ajaccio. La mission : se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue et se rassurer avant le dernier match de l'année face à Montpellier au Parc.


Laurent Blanc a donc décidé de faire tourner son effectif en titularisant des joueurs au faible temps de jeu comme Douchez, Chantôme, Rabiot ou encore Aurier. Une occasion donc de se montrer pour plusieurs éléments. Si les débats sont équilibrés en début de rencontre, c'est le PSG qui se crée la première opportunité par Chantôme, bien servi dans la surface par Rabiot, mais la reprise du gauche du milieu parisien fuit le cadre (13e). Quelques instants plus tard, sur une des rares incursions corses, Aurier accroche Madri à l'entrée de la surface, monsieur Lannoy désigne le point de pénalty. Cavalli ne se fait pas prier pour transformer la sentence (1-0, 27e). Les hommes de Laurent Blanc continuent de maîtriser les débats, mais les contre-attaques corses sont rondement menées, et sont tout près d'aller au bout à deux reprises. Le PSG, sans grande inspiration, rejoint donc les vestiaires menés au score.



Paris est tout près d'égaliser dès le début de la seconde période. C'est le montant du but corse qui repousse le coup franc de Lavezzi, effleuré par Aurier. Mais dans la foulée, l'ACA, toujours aussi dangereux en contre, est tout près de doubler la mise. Enfin, le PSG trouve la faille à la 55e minute. À la suite d'une belle action collective, Lucas sert idéalement Cavani dans la surface, dont le tir croisé trompe Scribe (1-1, 55e). Quelques minutes plus tard, Blanc sort Lavezzi touché, et le remplace par Bahebeck. Coaching gagnant, puisqu'à la 80e minute, l'attaquant parisien dépose un corner sur la tête d'Aurier qui donne l'avantage au PSG (1-2, 80e). Bahebeck, toujours lui, se trouve à point nommé pour reprendre un bon service de Lucas, et offrir le troisième but au PSG (1-3, 84e). L'affaire est pliée. Après avoir été mené, le PSG a su trouver les ressources pour s'imposer en Corse. Paris stoppe donc l'hémorragie et aura sans doute à coeur de finir l'année sur une bonne note au Parc samedi face à Montpellier.

Samedi, le PSG s'est imposé 1-2 sur la pelouse du stade de France en finale de Coupe de la Ligue. Compte rendu de la rencontre.

Compte-rendu de la rencontre

Après l'élimination en Ligue des Champions et le revers subi à Lyon le week-end dernier, les Parisiens étaient attendus ce samedi soir au Stade de France pour la finale de la Coupe de la Ligue. Une réaction de champions était nécessaire, elle s'est produite, presque naturellement, même si le niveau de jeu fut globalement décevant.

Et dès l'entame du match, Edinson Cavani donne l'avantage aux Parisiens, suite à une percée superbe de Maxwell côté gauche et une sortie ratée de Lopes, El Matador pousse le cuir au fond des filets (0-1, 4e). Le match est lancé, et Lyon n'abdique pas. Les Gones se créent deux occasions par l'intermédiaire de Gomis. Cavani montre qu'il a retrouvé la forme, avec une jolie volée de l'extérieur de la surface, mais elle est repoussée par Lopes (14e). 30e minute, tournant du match. Sur une ouverture de Silva pour Lucas, l'arbitre accorde un penalty, alors que la faute est en dehors de la surface, et il n'exclut pas Lopes, une double erreur. Cavani, tranquille, transforme en force (0-2, 32e). Quelques minutes plus tard, Lucas sert parfaitement Cavani qui manque son duel face au portier lyonnais. La balle de match.



Au retour des vestiaires, Lacazette réduit l'écart, d'une frappe à ras de terre à l'entrée de la surface qui trompe Douchez (1-2, 55e). Une passivité défensive étonnante et le match tombe dans une morosité béante. Paris gère, se fait quelques petites frayeurs, mais rien pour empêcher le club parisien de soulever ce trophée si attendu cette saison. Laurent Blanc a réussi son pari, réaliser le doublé Coupe/Championnat, même s'il n'est pas (encore) officiel. Mission accomplie pour le Président. Merci !



ps : désolé de posté le lendemain mais comme vous vous en doutez je suis rentré tard du Stade de France et ma nuit aux Champs Elysées.

Après l'élimination en Coupe de France, le PSG n'avait pas le droit à l'erreur dans le dernier carré de la Coupe de la Ligue dans un stade de la Beaujoire chaud bouillant. Dans sa composition d'équipe, Laurent Blanc a apporté trois changements par rapport à Bordeaux, avec les titularisations de Douchez, Digne et Lucas Moura qui avait la lourde charge de remplacer Cavani.

Paris démarre fort la partie avec une première occasion d'Ezequiel Lavezzi (3e), sur un décalage de Blaise Matuidi, mais le cuir tape le poteau droit. Ce fut ensuite un nouveau show Ibrahimovic. Sur un dégagement de Riou, le Nantais glisse et envoie le ballon dans les pieds du Suédois plein axe. Ce dernier reprend alors le cuir du plat du pied gauche et le lobe en pleine lucarne (5e, 1-0). Prenant ainsi le dessus sur son adversaire, le PSG a eu deux balles de break avec Matuidi qui manque sa tête sur un centre de Lucas (24e) et Lavezzi (29e) qui voit son tir côté droit repoussé par Riou. Un arrêt qui a sonné la révolte chez les Canaris. D'une frappe lointaine, Bessat, met en difficulté une première fois la défense parisienne. Puis sur un corner, c'est Djilobobodji (32e) qui a la balle d'égalisation, mais Marco Verratti sauve son équipe sur la ligne de l'épaule. Paris rentre aux vestiaires avec ce léger avantage.



À la reprise, les Nantais reviennent avec de nouvelles intentions et provoquent les Parisiens multipliant les fautes et créant un climat de tension. Les Canaris obtiennent un coup franc dangereux où Djordjevic (68e) manque de peu la lucarne de Douchez. Laurent Blanc tente de redonner du punch à son équipe en faisant entrer Cabaye et Ménez pour Verratti et Lavezzi. Paris n'arrive plus à contrôler et reste à la portée des Nantais. On entre dans le dernier quart d'heure de la partie et la pression des Canaris devient de plus en plus menaçante. Excentré sur la droite N'Koudou va sonner la charge et centrer fort devant le but de Douchez, le cuir arrive dans les pieds de Veigneau esseulé et d'une frappe du gauche il trompe le portier parisien (81e, 1-1).

Alors que l'on pensait que les deux équipes se dirigeaient vers la prolongation, Zlatan Ibrahimovic a profité d'un super centre de Lucas pour boxer le ballon de la tête (90e, 1-2) et envoyé le PSG vers une 5e finale de Coupe de la Ligue au Stade de France le samedi 19 avril face au vainqueur de Lyon-Troyes.



ps : Duhamel ça reste le summum de la nullité dans l'arbitrage, comment ça ce fait qu'il arbitre encore depuis tous de temps. Déjà la faute de Silva sur Djorjevic fallait le vouloir pour ne pas la voir (à quoi ils servent les arbitres de surfaces au faite????) et ensuite le mec met un carton à Maxwell alors que Sissoko fait un geste bien con et dangeureux sur lui. Bref la routine avec ces arbitres même si sur le penalty sont incompétences nous à arrangé bien qu'il l'habitude de nous faire la misère.

Le Paris Saint-Germain s’est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue en battant Bordeaux au stade Chaban-Delmas, grâce à des buts de Pastore, Rabiot et Matuidi (1-3). Une troisième victoire en trois matches en 2014 pour les Parisiens, qui démarrent idéalement cette nouvelle année.

Une victoire en Coupe de France face à Brest, une autre en championnat à Ajaccio, le Paris Saint-Germain pouvait commencer l’année en toute beauté en s’offrant un nouveau succès dans une autre compétition, la Coupe de la Ligue. Pour battre des Girondins de Bordeaux bien décidés à créer l’exploit, Laurent Blanc décidait d’aligner une équipe compétitive malgré les déplacements et l’enchaînement des matches. Ibrahimovic et Thiago Silva, pourtant à Zurich lundi soir pour la cérémonie de remise du Ballon d’Or, étaient donc titulaires.

La rencontre démarrait d’une manière peu rythmée, entre deux équipes en pleine phase d’observation. Beaucoup d’imprécisions, des mauvais choix des deux côtés, et donc très peu d’occasions à se mettre sous la dent. Pour preuve, il fallait tout simplement attendre les dernières minutes de cette seconde période pour voir une vraie offensive. Après un coup franc sur le poteau d’Ibrahimovic, le PSG allait réussir à faire la différence. Ibrahimovic décalait Lucas dans la surface, le Brésilien se débarrassait d’Orban pour servir Pastore au point de penalty. Sans contrôle, El Flaco plaçait un plat du pied hors de portée de Carrasso pour ouvrir le score (0-1, 45e+1) ! Un premier but parfaitement amené, juste avant la pause, qui permettait aux Parisiens de faire oublier une première période assez indigeste au niveau du jeu.



A la mi-temps, Laurent Blanc décidait de remplacer Ibrahimovic par Cavani. Mais malheureusement, les champions de France démarraient très mal cette seconde période. Suite à un ballon perdu par Rabiot, mis dans une mauvaise situation par Verratti, Poko récupérait le ballon et trompait Sirigu d’une frappe sous la barre (1-1, 48e). Une grossière erreur du milieu de terrain parisien qui permettait aux Bordelais, pourtant très discrets depuis le début de la rencontre, de revenir au score. Il fallait ensuite attendre la demi-heure de jeu pour observer une réelle réaction parisienne. Suite à un tir de Ménez repoussé par Carrasso, Marquinhos était à deux doigts de reprendre le ballon sur la ligne de but mais les défenseurs et le portier bordelais empêchaient le défenseur brésilien d’inscrire le second but parisien (62e). Le rythme s’accélérait ensuite entre deux équipes bien décidés à prendre l’avantage mais les Parisiens, pourtant mal embarqués, prenaient toutefois le dessus. Après un ballon bien récupéré au milieu de terrain, Pastore servait superbement Rabiot dans la surface. Le jeune joueur parisien se rattrapait de son erreur sur le but bordelais et donnait l’avantage à son équipe d’un tir du gauche parfaitement placé (1-2, 85e) ! Dans la douleur, les Franciliens prenaient donc une grosse option sur la qualification, d’autant plus que les Bordelais étaient incapables de conserver le ballon et de s’approcher des buts de Sirigu. Le PSG en profitait donc pour inscrire le but du KO par l’intermédiaire de Matuidi, lorsque l’international français était servi par Pastore et profitait du placement de Cavani pour tromper Carrasso (1-3, 89e) ! Un but qui donnait définitivement la victoire aux champions de France.

Dans la douleur et au terme d’un match compliqué, le PSG s’est offert une troisième victoire en 2014 et rejoint le dernier carré de la Coupe de la Ligue. Une très belle opération pour les hommes de Laurent Blanc, qui vont pouvoir aborde sereinement la réception du FC Nantes, prévu dimanche soir.

Accroché à quatre reprises par les Verts depuis l'arrivée des Qataris, le PSG voulait inverser la tendance et sortir le tenant du titre. Pour cette rencontre, Laurent Blanc a réalisé un mini turnover en raison des nombreuses absences comme Zlatan Ibrahimovic, Maxwell ou encore Alex. Nicolas Douchez jouait son premier match officiel avec le PSG.


Edinson Cavani est le premier parisien à se mettre en lumière obligeant Stéphane Ruffier à un premier arrêt (8e). L'Uruguayen est ensuite tout près d'ouvrir le score, mais voit son ballon passé tout près du poteau gauche stéphanois. Thiago Silva se montre ensuite dangereux sur un coup franc de Thiago Motta sans réussite (15e). Après ce bon début de match, les verts tentent de réagir, mais ne se montrent pas efficaces. Paris va valider cette bonne entame avec une ouverture du score signée Cavani. Présent dans la surface, Marco Verratti dribble plusieurs Stéphanois avant de glisser un caviar à l'Uruguayen qui crochète Stéphane Ruffier et glisse le cuir dans le but vide (1-0, 25e). Lucas est ensuite tout près d'offrir le break à son équipe après une accélération sur la droite, mais le portier des verts est à la parade (30e). Après ce coup sur la tête, St Étienne tente une réaction avec une frappe de Franck Tabanou stoppé par Douchez. On approche alors la mi-temps et le PSG s'offre une nouvelle balle de break avec Lavezzi, sur un centre de Cavani, mais Ruffier est une nouvelle fois décisif. Paris rentre alors aux vestiaires avec cet avantage de 1-0.



À la reprise, c'est une nouvelle fois Lucas qui s'illustre avec un coup franc qui rase le montant droit stéphanois (46e) et une frappe côté droit déviée par Stéphane Ruffier (49e). Le Parc des Princes va ensuite trembler quelques minutes en voyant Edinson Cavani se plaignant du pied gauche (57e), suite à un mauvais appui. C'est une simple alerte pour l'avant centre du PSG. Laurent Blanc procède ensuite à des changements avec les entrées en jeu de Javier Pastore, Blaise Matuidi et Jérémy Ménez. Une entrée remarquée pour El Flaco qui glisse un ballon à Cavani qui voit sa frappe croisée raser le poteau gauche (74e). Encore une occasion manquée qui coûte cher au PSG puisque les Stéphanois réussissent à égaliser dans la foulée grâce à Mevlut Erding qui trompe Douchez d'un plat du pied droit (1-1, 78e). Un coup dur pour le PSG qui maitrisait jusqu'ici son sujet. Après avoir accusé le coup, Paris se procure une grosse occasion sur un centre de Van der Wiel pour Blaise Matuidi mais le milieu de terrain parisien voit son ballon retiré in extremis par Bayal (87e). Même occassion pour Jérémy Ménez tout près d'offrir la victoire à son équipe avant de voir le cuir repoussé sur le fil par François Clerc (90e+4). Les deux équipes vont jouer les prolongations.

Paris est tout proche de reprendre l'avantage avec une frappe de Javier Pastore, mais sa frappe n'est pas cadrée (92e). Les deux équipes peinent physiquement et Paris bute sur une défense stéphanoise conquérante. Les Parisiens y croient et multiplient les occasions face à des Stéphanois qui ne veulent pas prendre de but. On se dirige tout droit vers la séance des tirs au but quand Marco Verratti décale Jérémy Ménez dans la surface, ce dernier centre ras de terre et trouve Edinson Cavani qui tacle le ballon et qualifie le PSG (2-1) pour les quarts de finale. Le Parc des Princes peut exploser de joie. Ce PSG est vraiment très fort cette saison !

Le placement de Cavani hier sur le terrain.




ps : désolé de posté seulement le lendemain mais ayant vu le match au Parc hier je ne trouvais pas malin de posté l'article à mon retour vers 3h du matin.