alfoux > blog
    tags : jeux video littérature reflexion contrainte stimulation
    1
    Qui a aimé ?
    pimoody
    publié le 24/06/2012 à 07:33 par alfoux
    commentaires (6)
    zabuza publié le 24/06/2012 à 07:48
    Miyamoto imagine une moustache à son personnage ainsi qu’une salopette rouge pour réussir à donner au bonhomme une identité. Comment faire autrement avec quelques gros pixels enchevêtrés comme matériaux de base ?

    y a une erreur de l'auteur, en fait à la base Mario n'a pas de moustache c'est la pixelisation de sqa bouche qui en fait croire une moustache, d'ailleurs Mario s'appel Jumpman de base. C'est surtout l'imagination du publique à croire qu'il avait une moustache qu'il a évolué dans se sens.

    Sinon je suis d'accord avec l'article la contrainte stimule la création, il n'y a rien d'autre à dire.
    nicolasgourry publié le 24/06/2012 à 08:36
    Je suis nuancé, la dessus. J'écris souvent des choses, comme ça, en observant, mais si je vois que je peine a écrire (il me faut un plaisir sinon, je suis pas bien), parfois le fait de me dire de le terminé peut m'aider a avancer, mais je commence pas par la contrainte, c'est ça ce que je veux dire, je sais pas si je suis clair.
    lolcat publié le 24/06/2012 à 08:50
    non.
    nicolasgourry publié le 24/06/2012 à 08:57
    Lolcat, si tu veux je commence pas par une contrainte je dirais un peu comme Démocrite "tout née du hasard et de la nécessité", donc ça vient comme ça chez moi l'inspiration, en observant, donc sans contrainte, mais parfois si je me disais pas de le finir a un moment donné, je finirai jamais (même si je suis jamais réellement satisfait). ma contrainte, va être plutôt dans la finition du texte par exemple, plus comme un final mais pas comme un début par quoi commencer.
    alfoux publié le 24/06/2012 à 08:59
    Zabuza - Pourtant, ce n'est pas ce que j'ai lu dans le livre l'Histoire de Mario. Il y a eu des changements de couleurs (salopette, etc.) mais toujours une moustache à la base. Je vais regarder cela de plus près.

    Nicolas - Je ne suis pas certain de comprendre pleinement ton commentaire. Je rajoute juste que la contrainte peut conduire au plaisir. Il y a en littérature des groupes et auteurs qui justement s'amusent à créer à partir de contraintes : L'Oulipo, Perec, etc. (du style, écrire un roman sans la lettre "e"). Après, il y a les contraintes qui s'imposent à ça (limitations technologiques, censures idéologiques, contraintes financières...), ce sont des bornes à contourner qui conduisent à des inventons de la part des créateurs.