L’objet de cet article est de réfléchir à la façon dont les jeux vidéo amènent le joueur à progresser et à s’améliorer, bien souvent dans la douleur. J’ai choisi un titre quelque peu polémique, qui met tout de suite en avant le problème qui se pose dans le jeu vidéo : le manque de diversité dans le mode d’apprentissage proposé, et une construction didactique basée sur la frustration et la punition.
L'article est vraiment très intéressant et soulève effectivement des questions importantes sur les habitudes des joueurs ! C'est du bon boulot j'aime beaucoup !!!
+1 je poste rarement mais te félicite pour ton article intéressant. Sinon juste histoire de, contra 1er du nom est une promenade de santé par rapport à Super contra ! Ce denier est une véritable torture, je n'ai jamais dépassé le 4e stage lol. ^^
Ce qui est drôle aussi, c'est que beaucoup de joueurs aiment soit disant la difficultés, mais combien courrent après les actions replay et les astuces et soluce. Le jeu est un loisir pour moi, c'est un plaisir.
cela me fait penser aux différents paramètres imbriqués qui influent sur une telle tendance . Le jeu par nature implique une certaine dose de confrontation(s) et souvent de combat(s) dans une course à la gagne , cela s'appelle aussi une compétition . Celle-ci vise à se dépasser , dépasser les autres. Selon les mécanismes basiques mis en œuvre dans les premier jeux , le plus simple était d'accentuer les difficultés par des facteurs facilement modulables : la vitesses d’exécution , le nombre " d'ennemi" , la durabilité de ceux-ci . Méthode efficace plus facilement réalisable que de mettre en place des paramètres plus complexes d'évolution dans des jeux eux-même très basiques. Méthode efficace donc , mais frustrante en effet pour la plupart des gens . C'est pourquoi , principalement des jeunes ( soif de perfectionnement et d'accomplissement sous forme intensive et exigeante, qui structure , encadre) , et de genre masculin ( culture ancestrale , innée et acquise de la préparation au combat , à l'endurcissement) ...De fait , dans le fil continu de l'évolution du jeu vidéo , les joueurs privilégiés du départ on gardé un place importante chez les clients des créateurs , d'où le fort "accent" que cela donne à la majorité des productions , et logiquement à l'image que les non-joueurs s'en font ...
Je vous remercie pour vos commentaires, merci surtout à Etrigane qui est l'auteur de cet article, un collaborateur de levelfive.fr. J'écris beaucoup pour le site mais ce coup-ci, ce n'était pas moi. Bref, encore merci à vous tous de nous lire, toujours très motivant.