A vouloir regarder toutes les productions filmiques se rapprochant peu ou prou du jeu vidéo, je m’inflige fatalement quelques ratés. C’est le cas de cette punition consentie portant le doux nom d’Ultimate Game. Insupportable navet, tirant fébrilement vers le nanar, cette nouvelle tentative du cinéma lorgnant vers le média interactif n’arrive jamais à séduire. Au contraire, elle surenchérit et tombe bien souvent dans le grossier.
Neveldine brothers