avant propos: si vous avez
moins de 12 ans je vous conseille de passer votre route. Ce chapitre contient un language cru et des descriptions qui pourraient heurter les plus jeunes.
Sinon je vous laisse profiter de ce chapitre de trés haute volée! celui qui m'a demandé le plus de travail!
CHAPITRE 6 : LE PARRAIN
Dans la déclaration des droits de l'homme, l'opression des peuples est considérée comme particulièrement atroce. À Marseille, les révolutionnaires qui lutte contre ce crime sont membres d'une unité d'élite appelée FLDPM. Voici leurs histoires.
" Aux armess!! Aux armesss " 7h 00 du matin, le reveil de Stéphane Zagliati sonna. Rien de mieux qu'un méchant aux armes pour ce mettre de bon pieds.
" - tu te léves déja? lui demanda Cindy.
- Wesh J'ai rencard avec les potos. Ca va j'tais pas trop mit la fiévre cette nuit? demanda Stéphane.
- Ouais tarpin, tu m'as fait mal même, tu n'arrivais pas à t'arreter malgré mes cris.
- Putain mais comprends, rien qu'en sortant du stade j'avais le zgeg en feu jte jure ça m'a jamais fait ça de ma life, cette envie de mettre. Expliqua Stéphane.
- tu devrais allez voir un psy mon coeur, ou un mec qualifiait dans ce domaine, là il est 7h00 du matin, va et laisse moi dormir.
- grosse chi... jla satisfait et jme fais traiter comme ça. Tous des putes ma parole. ça me met la haine ça, putainnnn, et qu'est ce qu'elle me parle comme ça, va voir un psy, va voir un psy, mouais allez grosse chienne!!
Stéphane était de mauvaise humeur du au manque de tact de sa copine, il claqua la porte, descendit les escaliers en sautant, c'etait un jour où il ne fallait pas l'embeter. Soudain son portable sonna.
" - wesh gros c'est Cedric frere. J'ai fait ce que tu m'as dis, j'ai l'adresse du type qu'on recherche.
- fais péter. Dit stéphane.
- Jte sens tendu frére. raconte? demanda cédric
- c'est ma meuf. On s'est disputé. Jlui met la fiévre toute la nuit et elle est pas contente. Se plaint notre héros.
- C'est bon tu t'en bas les couilles. Ca s'arrangera. Bon alors le gadjo qu'on recherche habite les goudes on doit prendre le bus 21, on passe devant la plage où on faisait les soirées, puis on prend un autre putain de bus et on arrive a les goudes frere. Le mec vit dans un cabanon.
- Ok frere. j'appelle le reste de la team et on va trouver le type. On va le faire parler on s'en bat les couilles que c'est parrain machin mafia de zpute nous on est les boss du 13éme.
- t'as raison frere. allez a toute!!
Zagliati ne prit pas le bus. Il fit un footing jusqu'au point de rendez vous. Il se mit torse nue pendant la course. Les passantes mouillées à la vue de ce corps d'athléte bien sculté. Enfaite aussi beau soit tu, Stéphane Zagliati est plus beau que toi.
Zagliati arriva enfin, mais à la différence du mec lambda sa sueur sentait l'axe. Ce qui fait que deux gonzesses se colérent à Stéphane, qui dut les envoyer chier.
" - OOhhh Poto!! vé le Momo, mira Zagliati. s'exclama Pablo.
- héé vasy remet ton tee shirt, qu'est tu nous fais là!! cria Mohamed.
- tu te prends pour Matt Damon? demanda Cédric."
Il y eu un gros silence tout à coup. Mohamed mit un taquet sur la tête de cédric.
" - Qu'est qui dit lui... ricana Pablo.
- frere il était à la tv hier, il etait... dit Cédric.
- ta gueule. Dit Pablo."
- Ici nous c'est Mohamed ali, Maradona, ton gadjo tu te le mets dans le cul. Répondit Mohamed. Bon allez on se casse on prend le bus on va voir parrain."
Enfaite, Stéphane avait chargeait cédric de se renseigner sur un parrain du milieu marseillais: celui ci pourrait leur donner des armes, et des informations sur le milieu du banditisme auxquels aspiraient indirectement nos héros. Cette rencontre s'averait donc cruciale dans l'objectif d'établir ce projet de guerre pour l'indépendance qui tenait tant à Zagliati et ses amis. Les quatres garçons s'intallérent dans le fond du bus.
Pablo se leva et chanta tout en mettant des chants gitans depuis son portable:
"- ALLEZ ! BAILAMOS ! CANTAMOS!! UNNN AMORRRRRRR QUE ME DUEEELLEEE MI CORAZONNNNNN !
- AYI AYI AYII AYII AYIII!!! criérent stéphane, cédric et mohamed depuis le fond du bus.
- MUJER VEN VEN VEN!!! AYYYIIIIII!!! "
Notre bande s'etait levée et tapait dans les mains pendant que pablo chantait et dansait au milieu du bus. Les gens étaient génés, ils regardaient ailleurs, certains soupiraient: le petit spectacle de nos amis ne plaisaient pas à tout le monde.
" -QuIEROOOOOOOO BESOS DE TII AMORRRRRRRRR. Chantait Pablo.
- AYII AYIII AYIII AYIIIII!!!!! "
Nos héros tapaient sur les vitres à present. Ils mettaient le feu dans le bus: quelle ambiance de feu ils mettaient!
" - AYIIIIII AYIIIIIII AYI AYIIIIIIII AYIIIIIII "
- Excusez-moi vous pouvez vous taire s'il vous plait? dit un homme d'un air agacé. "
- Qu'es-ce t'as ? Demanda Pablo en laissant la musique.
- Tu as pas des écouteurs? comme ça tu mets ta musique dans tes oreilles et tu peux chanter dans ta tête non? Le respect mon ami. Dit l'homme.
- Les gars venaient. Apella Pablo."
Mohamed se leva, Stéphane et Cédric restèrent assis quant à eux. Ben Sayad rejoigna Pablo et tous les deux s'avancérent vers l'homme qui était assis juste devant. Pablo reprit la parole:
" - Ton respect, mais jlui pice dans son cul, ok?
- Mais oui, mais oui... Dit l'homme.
- il dit oui en plus. Remarqua Mohamed.
- tu crois qu'on rigole avec toi? vasy tu nous prends pour qui? demanda Pablo.
- Pour des petites racailles qui se croivent tous permis. Réponda l'homme.
- Vasy, vasy, tu cherches l'embrouille? demanda Pablo. "
Pablo mit un taquet sur la tête de l'homme, celui se leva et empoigna el gitano à son tee-shirt. Mais Mohamed lui mit un coup de poing dans le ventre qui le fit rasseoir sur son siége aussi-tôt. Les gens restaient assis sans rien dire mais on sentait qu'il avait peur. Mohamed s'enerva:
- Wallah sur le corps d'une femme, j'nique ta mére la pute.
- Laisse le moi frere. Jvais lui niquer sa race. Dit Pablo."
Pablo frappa plusieurs fois l'homme qui s'etait recroqvillé. Aprés quelques coups une femme qui était à coté décida de tempérer et dit à pablo de le laisser. Pablo le frappa une derniére fois tout en l'insultant puis le lâcha. L'homme se leva aussi sec et cria au chauffeur de s'arreter.
" - Vasy c'est ça casse toi gros pédé. T'as vu quand on veut jouer au caïde avec moi ce qui se passe. Mais t'as de la chance que jte laisse partir en temps normal jt'aurais fait avaler tes dents. Dit Pablo Suarez.
- putaainnn, pourquoi t'as fait çaa?! dit l'homme en pleurant.
- Nardinamouk Oueld El Kahba. Lui dit Mohamed. "
Le bus s'arretta et la porte s'ouvrit mais au moment de descendre un jeune garçon cracha sur l'homme. Il lui mit un gros mollard bien vert au milieu du front. Nos héros éclatérent de rire. L'homme une fois descendu du bus disparut en courant.
" - Uuuhhh c'est un diable il lui a mit un gros mollard sur sa gueule. Rigola stéphane Zagliati qui avait rejoint Mohamed et Pablo.
- C'est bien minot! comment tu t'appelles? Demanda Cédric.
- Malik. Répondit le jeune qui avait craché.
- C'est bien mon pote! t'es un vrai toi. T'as quel âge? demanda Pablo.
- Treize ans, enfin jvais bientot avoir Quatorze.
- T'es pas à l'école? demanda Stéphane.
- Naa, j'men bat les couilles de l'ecole ça sert à rien, genre le mec il m'a sortit moliére la derniere fois. Je prefere allez à la plage, y'a des gonzesses en maillot labas. Répondit Malik.
- Il me plait ce minot. Dit Stéphane. Malik qu'est ce que tu dirais si tu venais avec nous voir un parrain de la mafia?
- C'est quoi? demanda malik.
- Tu connais GTA? interrogea cédric.
- Ben oui mafoi je l'ai sur la Playstation 3. Répondit Malik.
- Ben là c'est un mec comme genre dans GTA, c'est un gadjo qui fait des traffics d'armes , de putes ce genre de truc. Dit Mohamed.
- Ohh tarpin bien!!! on va le voir maintenant? demanda Malik.
- Wesh poto. Répondit Stéphane.
- Trop méchanttt!!!! s'enthousiasma le jeune Malik. Ohh mais attends je te connais toi, putain t'es Stephane Zagliati le joueur de l'om
- et ouais poto. "
les goudes
Nos héros descendirent du bus au terminus et prirent un autre bus plus petit qui les emmena jusqu'au quartier des goudes. Le quartier des goudes est le quartier le plus au sud de Marseille. Il se situe dans les calanques. Les touristes que contenait le mini bus furent époustouflés par la beauté des lieux, chose normal car les calanques de Marseille/Cassis sont l'endroit le plus beau d'europe. Le bus serpenta sur la route qui longeait la côte puis arriva dans le petit quartier des goudes, habités majoriterement par des pécheurs. Notre Bande d'amis descendit du bus et chercha la maison de l'homme qu'ils voulaient trouver. Stéphane Zagliati qui ne voulait pas tourner en rond 107 ans rentra dans un café et demanda:
"
- Roberto di Orilla quelqu'un connait ce mec?
- qui ça minot? Demanda le barman.
- Roberto di Orilla ouvre tes oreilles. Lui dit Stéphane.
- Ca va t'engatse pas mec. Biensur que je le connais c'est le gérant du café.
- Va le chercher. Demanda Cédric qui était rentré dans le café.
- Bah il est pas là pour le moment. Expliqua le barman.
- Mon cul il est pas là aussi? allez fais ce qu'on te dit. "
Le barman a qui cette petite plaisenterie ne plaisait pas, sortit un pistolet et le chargea. Il pointa l'arme sur Stéphane.
" - Minot j'te conseille de fermer ta gueule, tu sais pas à qui t'as affaire, ça serait bête que cette histoire se termine avec une balle dans ta tête non?
- Ouais, ça serait bête. Répondit Stéphane.
- Bon alors maintenant tu vas me faire le plaisir de foutre le camp d'ici sinon on sait tous les deux ce qui t'arrives hein!
- Ouah putain c'est un vrai? demanda Malik.
- Oui et jvais faire sauter la tête de ton pote si il sort pas son cul d'ici. Répondit le barman.
- Ca va doucement avec mon pote. Laisse nous voir ton patron et tout se passera bien pour tout le monde. Dit Mohamed.
- Et qu'est ce qui vous fait croire que jvais vous laisser aller le voir?
- Parceque t'es le gentil toutou de ton patron. Répondit Mohamed.
- Bon allez, du moment que vous emmener votre cul ailleurs. C'est à l'étage.
Nos cinq garçons montèrent un escalier en colimaçon et débouchèrent sur un vaste salon. Malik fut impressioné par la taille de l'ecran plat, et les tableaux de plusieurs hommes accrochés sur les murs. Nos héros appelèrent Roberto mais il n'y eu pas de réponse.
" - Tant il est pas là? non? dit Cédric.
- chut écoute frére j'entends quelque chose frére. Dit Stéphane.
- c'est la voix d'une gonzesse. Remarqua Malik.
- Ohh putain ta gueule regardez sur le balcon!! dit Pablo.
- Ouahh enormee! dit Malik.
"
Quelle surprise se passait sous les yeux de nos amis! une femme etait en pleine fellation sur un homme face à la mer sur le balcon. La femme poussait des gémissements de plaisir. Stéphane , Malik, Cédric , Mohamed et Pablo regardérent en rigolant un instant puis intérrompurent les deux en pleine action. L'homme poussa la femme et sortit un Gun qu'il pointa directement sur nos héros.
" - Qu... qui étes vous putain? Bon... j'en ai rien a foutre au juste, vous m'avez dérangé dans ma pause de la matinée,et ça c'est pas pardonable.
- Scuzy mec, on l'a pas fait exprés on s'avait pas que t'etais là entrain de te faire astiquer la bite. Répondit Stéphane.
- Tu te fous de ma gueule, parceque on t'as invité ici? qu'est ce que vous branlez ici dans ma maison? Demanda l'homme.
- On cherche un mec. Expliqua Pablo.
- C'est pas ici que tu le trouveras. Mais tu me trouveras si tu restes ici plus longtemps. Dit l'homme d'un ton ferme.
- T'es roberto di orilla? demanda Mohamed.
- Comment tu sais mon nom? interrogea Roberto.
- au moins on sait que c'est lui. Déduit Malik.
L'homme était habillé d'un jean et d'une chemise bleu foncée déboutonnées qui laissait entrevoir les poils noirs de son torse . Ses cheveux étaient bruns coiffés en arriére. Ce mec avait quelque chose d'al pacino dans son visage. En tout cas il devait avoir des femmes à la pelle.
- Mec, on a traversé tout marseille pour venir te voir on a des choses à se dire, plutot nous qui avons quelques questions à te poser...expliqua Stéphane.
- D'habitude c'est moi qui pose les questions. Bon asseyez vous jvais chercher un poquito d'alcool. Tequila? vodka? whisky? Mais... Sachez quand même un truc. Dit Roberto en allumant un gros cigare cubain. Si j'estime à la fin que vous m'avez dérangé pour rien, chacun d'entre vous même toi le gosse repart avec un gros trou au milieu de la tête capito?
- Ok mon pote mais t'inquiéte on va parler. Dit Cédric.
- On sait que t'es un du milieu, mon couz à son meilleur pote qui taffait sous les ordres d'un de tes hommes, il m'a raconté tout ce que t'as fait dans ta carrière et franchement mec sache que t'es un vrai homme on t'admire. Dit Stéphane.
- Tu me suces ou quoi? Allez pas de langue de bois avec moi. Demanda roberto di orilla.
- Mec, on a à te parler d'un plan. On est des révolutionnaires, on a un projet apporter l'indépendance à marseille puis à l'occitanie, avec tes contacts, ton influence dans le milieu jpense que tu pourrais nous aider. Dit Pablo.
- Attends... De un j'en ai rien a fouttre de l'indépendance ça nuit à mon business et de deux qu'est qui ferais que j'aiderais des racailles de bas étage comme vous, vous prétendez être des hommes mais vous baisez encore comme des tapettes, jparis que certain d'entre vous n'ont que la masturbation pour se satisfaire. Moi dans mon entourage je veux des hommes qui en ont dans le pantalon pas des lavettes comme vous.
- Oula mec. C'est parceque tu nous connais pas que tu parles comme ça, dans tout ce qui est traffic en tout genre on en connait assez. Dit Stéphane
- Ouais mais jvais être franc avec toi. Dit roberto en pointa son cigare en direction de stéphane. Je te sens pas mon pote.
- Tu sens ton cul. Rétorqua Stéphane.
- tu sais des gars comme toi j'en ai connu des centaines dans ma vie, des mecs qui débarquent de nulle part et osent ouvrir leurs gueule alors que tout le monde se fou royalement d'eux. Dit Roberto en prennant une longue inspiration dans son cigare. Mais à chaque fois c'est la même chose, ils ont fermés leurs gueules pour un assez long moment. "
Roberto ressortit son flingue le chargea et pointa l'arme sur Stéphane.
- Comprends juste que je suis une personne trés occupé et trés demandé, alors parfois je dois rompre les négociations prématurement. Raconta Roberto di Orilla.
- Si tu tires, mes potes se jetteront sur toi avant que tu puisses recharger ton Gun alors n'essaye pas. Dit Stéphane.
- J'ai dix hommes armés en bas l'ami. Répondit Roberto.
- Tu cherches à faire monter la pression, mais si tu tires tout le monde crévera.
- Oh mais ça, j'ai l'habitude. Dit Roberto en posant son doigt sur la gachette.
Notre bande d'amis est en trés mauvaise posture, ils ne s'atendaient surement pas à ce que le parrain soit aussi refractaire. Leurs vies est clairement menacée. Et la mort de stéphane mettrait un terme définitif au projet d'indépendance de L'occitanie. Que va t-il se passer?? vous le saurez au chapitre prochain!
..... ah ouais on voit direct que ça t'a demandé du boulot d'écrire ça...
et les anti-héros ont toujours un truc qui font qu'on les aime, là y a 0, nada, on peut que les mépriser, des gros con fini.
m'enfin continue à "écrire" je rigole toujours un bon coup comme ça. comme le dit yamine, tu es une légende vivante et tes articles sont culte, d'une certaine manière, huhu
Tu as probablement cette impression parce que les héros dans la vrai littérature ne joue pas aux foot
Pourquoi ça ne me surprend pas ? Bref, t'était drôle au début mais là tu devient carrément lourd...
tout ce qui n'est pas dans ta description est une lopette pour toi? mwarf c'est très arrêté comme idée, et c'est même très drôle.
Et à part un stephen king, "le château de ma mère" et "vendredi ou la vie sauvage", vu que les seuls livres que tu es jamais ouvert de ta vie c'était les livres pour l'école, quest-ce que tu as lu ?
Si tu considères la branlette comme un sport alors oui je suis un grand sportif
ca fais de moi un putain de mec viril nan? ha mais nooon je joue pas au foot donc ca va pas,
Les tops des ventes de musique 'est de la merde.
Les tops des ventes de films, c'est de la merde.
Ce , n'est pas parce que les top c'est de la merde qu'il n'y a que de la merde...
C'est l'hôpital qui se fout de la charité. Si tu considère ce que tu écrit comme de la littérature, je suis bien content d'être un abruti lisant de la merde.
Je sors dans la rue, je prend des notes, je lis un Olive et Tom et hop, je te fais la même.