*AVANT TOUTE CHOSE :
Si le sujet ne vous plait pas, rien ne vous force à lire hein

...*
Suite à mon
précédent article qui a suscité pas mal de réactions, j'ai décidé de continuer sur ma lignée et renforcer encore plus mon rôle de
paranoPsychopatheFouALier ^^
Ce qui suivra sera certainement très mal pris par beaucoup de lecteurs et suscitera sans doute pas mal de remarques/insultes/"feintes originales à mon sujet" etc...
Bref des réactions assez prévisibles et pas originales ^^
Je suis parfaitement conscient que je risque fortement de passer pour la personne la plus paranoïaque (ou alors qui fait bien semblant ^^) que vous ayez jamais vu (/lu) mais pourquoi ne pas l'être un peu de temps en temps, ça peut toujours être utile (si, si on se fait moins facilement manipuler .. enfin ... [me voilà qui revendique la paranoïa xD]).
*Ce qui va suivre n'est que mon humble avis de parano' ^^*
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Les femmes gagnent généralement moins que les hommes, argument éternel féministe pour se victimiser, il s'agit pour moi en gros de la "carotte qui fait avancer l'âne", de ce qui "fait vivre le féminisme"; en effet sans ça, que resterait-il à revendiquer ?
Et si le féminisme, en prétendant défendre une
noble cause, se jouait de nous (hommes comme femmes) ?
Et si ce mouvement avait des visées
gynarques à long terme (à noter que parmi les premières à avoir lancé le mouvement féministe, nombre d'entre-elles étaient gynarques) ?
Et s'il ne s'agissait que d'une étape pour d'habord se débarasser des hommes, puis ensuite des femmes hétérosexuelles et ainsi établir la
gynarchie absolue (=domination lesbienne) ? *quand j'ai dit que c'était un euphémisme que dire que j'étais parano ^^*
Bref, pour en revenir au sujet de départ (non, non pas la paranoïa, le "salaire" xD), les féministes ont
heureusement sû compenser cet INCONVENIENT MAJEUR par de nombreuses mesures d'importance variable allant jusqu'à des lois discriminatoires et des "quotas"...
En parlant de ces "quotas", on remarque qu'ils ne s'appliquent que pour les femmes, et en politique/sciences, leur permettant d'accéder directement à certains postes en fonction de leur genre ("sexe" si vous préférez) et non de leurs compétences...
Par contre y a-t-il ce genre de quotas chez les éboueurs, ou autres métiers "dégradants" ou "à risques" (je ne dis pas qu'
éboueur est un métier à risques hein

ne déformez pas mes propos...).
Bien sûr que non ... pourquoi (si le but visé est "l'égalité") ?
Principales réponses possibles :
-
Quel intérêt de mettre des quotas "d'éboueuses", elles ne seront certainement pas plus efficaces pour autant.

On pourrait alors dire la même chose des quotas en politique/sciences... Ah non, c'est vrai, là y'a un intérêt !.. ... pour ELLES ... le pouvoir ! ^^
-
Encore faudrait-il qu'il y en ait qui se présentent pour le poste...

Idéologie gynarque oblige, ce métier n'est pas digne d'elles (des vraies gynarques insisteraient : "surtout pour les Lesbiennes" xD) elles sont trop ... "supérieures (?)" pour se "salir les mains" ?
*A noter qu'elles sont aussi moins nombreuses à se présenter pour les postes en politique non ?*
-
Bah !.. Que veux-tu ? On est constitués différemment après tout : il ne sera jamais possible d'établir une "égalité parfaite", autant plutôt se contenter d'une relation d'entre-aide, de "complémentarité" (alors que "l'EGALITE" impliquerait une RIVALITE).

Alors à quoi sert le féminisme ?.. A moins que le véritable but recherché soit autre...
*Remarque, une fois, je suis tombé sur un article montrant des lois [je sais, là : parano^100] féministes, et à chaque fois, elles défendaient non-seulement les droits des femmes (ce qui est normal), mais aussi ceux des homosexuels (ce qui m'a plus choqué) ; or, dans l'idéologie gynarque, le pouvoir est exercé par des LESBIENNES...*
Bref tout ça pour dire :
Etape 1 : Victimisation ==> Prise de pouvoir ==> Hierarchisation
Vous est-il jamais arrivé d'entendre dire ou insinuer que
les hommes n'éprouvent pas réellement de sentiments, agissent comme des animaux, alors que les femmes, elles, sont véritablement sensibles ?
On baigne dedans ! Misandrie ambiante oblige ^^
Etape 2 : Déshumanisation
Enfin avez vous déjà entendu parler de ces groupes, clubs (...) en TOUS GENRES uniquement réservé aux femmes (je sais j'ai fait une antithèse) et par conséquent interdits aux hommes (et maintenant voilà un pléonasme xD ...T_T) alors que le CONTRAIRE serait INIMAGINABLE

Non mais imaginez le SCANDALEUH pareille discrimination, pareil retour en arrière serait inacceptable aux yeux de l'opinion publique... (et ça ne ferait pas long feu)
Enfin bref :
Etape 3 : Exclusion
... ... ... ... ...
A QUAND L'ETAPE 4 ? ([parano^1000])
Sur ce, je vous laisse sur un extrait de
Quand la femme vine au pouvoir, ouvrage féministe
Sabine Dacier avait procédé elle-même à l'organisation des Camps Spéciaux d'Internement. Aussi était-elle particulièrement fière quand elle fit visiter celui de Tours, sa ville natale, à Marie-Pierre Horin, avec qui, par ailleurs, elle venait de se mettre en ménage, le mari de celle-ci, depuis quelques jours arboraient avec fierté son insigne triangulaire d'Auxilaire Masculin Privilégié.
La porte du Camp s'ouvrit devant les deux Ministres pour leur offrir dès l'entrée un spectacle inattendu. Apparemment, aucune présence masculine. Seules, quelques gardiennes en uniforme de cuir noir déambulaient dans l'enceinte fortifiée du camp. Elles étaient élégantes et particulièrement excitantes dans leur tenue officielle créée par Amanda Kred, la ministre de l'Industrie, et confectionnée par ses propres mâles. A part leur pistolet réglementaire pendant contre leur hanche, les jeunes femmes n'avaient comme arme qu'un petit boîtier de télécommande à la main.
En s'avançant Marie-Pierre constata que le sol qui semblait vitrifié était en fait constitué par de grande plaques de verre très épais sur lesquelles avançaient les gardiennes grâce à des chaussures à semelles caouchoutées.
- Mais, Sabine, demanda la Première Ministre, où sont donc les mâles rebelles ?
- Regarde par terre, chérie.
Baissant les yeux, Marie-Pierre eut un sursaut de surprise en découvrant sous elle, dans d'étroites petites cellules fermées simplement en haut par les épaisses dalles de verre rivetées, des hommes complètement nus, un par cellule, assis, couchés ou debout selon la largeur de celle-ci.
- Mais ils voient mes fesses ! s'exclama-t'elle en plaquant sa jupe sur ses cuisses. Quelle horreur !
- Laisse donc. Ils n'ont que ça à voir jusqu'à leur mort. Et la plupart d'entre eux ne sont plus des êtres humains depuis longtemps. Regarde les gardiennes ! Elles s'en fichent bien, elles !
Effectivement les jeunes-femmes ne semblaient pas s'inquiéter du spectacle qu'elles offraient aux habitants du sous-sol. Parfois, l'une d'entre elles, paraîssant découvrir quelque chose sous ses pieds, utilisait quelques secondes sa télécommande, constatait les conséquences de son geste puis reprenait tranquillement sa promenade.
- Que fait-elle ? demanda Marie-Pierre.
- Son boîtier de télécommande lui permet, d'en haut, de gérer totalement la vie des prisonniers d'en bas. Elle doit d'abord composer le code d'accès de la cellule qui l'intéresse. Elle a alors le choix entre cinq fonctions différentes. D'abord l'ouverture de la. trappe de verre (quand un nouveau prisonnier est amené). La distribution de nourriture (qui se fait par un système de conduits pneumatiques). Le lavage (un jet d'eau puissant nettoie le sol, les murs et l'occupant de la cellule). L'évacuation (l'eau, les restes et les excréments sont emportés vers les égouts). Et l'élargissement ou le rétrécissement des cloisons latérales.
- C'est vrai. Ils n'ont pas droit tous à la même surface vitale ?
- Non, ma chérie, continua d'expliquer Sabine. Cela dépend de leur comportement et de l'importance de ce qui leur est reproché. Les gardiennes sont seules juges. Elles peuvent accorder les deux mètres carrés maximum (un mètre sur deux) qui leur permettent de s'allonger par terre s'ils le désirent ou rétrécir la surface au sol pour qu'ils ne puissent se tenir qu'assis ou debout.
- Celui-ci qui nous regarde d'un drôle d'air ne peut même pas bouger !
- Gardienne !
- Oui, Madame la Ministre ?
- Qu'a fait cet homme ?
- Oh, celui-ci ! fit la jeune-femme en uniforme en désignant du pied le visage tendu vers elles. C'est un râleur. Jamais content ! Il n'en a plus pour très longtemps, de toute façon. Chaque jour, je rapproche les cloisons de sa cellule d'un centimètre.
- Il va finir par être étouffé ? demanda Marie-Pierre intéressée par le supplice de l'homme dont le regard ne quittait pas ses dessous. Cela fait-il longtemps qu'il est dans cette position ?
- Plus d'une semaine, Madame la Première Ministre. Mais croyez-bien que, pour lui, cette semaine représente une véritable année ! Quant à étouffer, je ne sais pas. Certains meurent effectivement par étouffement mais d'autres attendent d'être complètement écrasés avant de rendre l'âme !
- Les cloisons, en effet, peuvent se rapprocher jusqu'à se toucher, expliqua Sabine plus en détails. Ainsi les prisonniers sont réduits en une bouillie sanglante qu'il ne nous reste plus qu'à évacuer par les égouts, comme leurs excréments...
- Quelle horreur !
- Mais non. Ce ne sont que des rebelles machistes !
En BONUS : quelques petits extraits de témoignages et autres docs en rapport avec la seconde guerre mondiale :
Pourquoi les Alliés n'ont-ils pas bombardé Auschwitz?
Ils savaient mais n'y croyaient pas. Les organisations juives elles-mêmes préféraient ne pas rendre publiques les nouvelles de massacres par gaz et de cadavres brûlés dans des crématoires, pour ne pas créer de panique. Parce que les responsables juifs, comme les autres, n'arrivaient pas à imaginer la disparition de tout un peuple.
(...)
Car à l'époque, personne ne voulait les croire ! Ça paraissait impossible. Mais au fil du temps il a bien fallu se rendre à l'évidence : l'être humain avait été capable de "ça".
(...)
La plupart des juifs ignoraient ou demeuraient sceptiques devant ces "rumeurs", mais comment auraient-ils imaginé l'inimaginable ?
(...)
Les nazis comptaient sur la dimension inimaginable de leur crime pour se dédouaner vis-à-vis de l'avenir