En début de siècle, l'écossais Lewis Spence penche pour l'existence de deux Atlantides: celle de Platon et une autre, située non loin de l'actuelle mer des Sargasses...
Les archéologues allemands Schulten, Herman, Henning et Jessen identifient l'Atlantide â la fameuse Tartessos, île placée à l'embouchure du Guadalquivir.
Les français Butavand et Jolleaud - rejoignant Berlioux et Borchard - situent l'Atlantide en Afrique du Nord et la font déboucher dans le golfe de Gabès.
Des savants russes la localisent en mer Caspienne ou en Crimée. Des savants espagnols en Espagne. Des allemands en Allemagne. Des irlandais en Irlande. Des suédois en Suède. Des vénézuéliens au Vénézuela...
L'explorateur Léo Frobénius identifie les Atlantes aux guerriers Yoruba (Nigeria) qui sévissaient aux environs de 16000 ans avant JC dans une contrée dont Solon nous dit... qu'elle était recouverte d'une végétation luxuriante, que des plantes chargées de fruits fournissaient nourriture, boisson et médicaments, qu'elle produisait «l'arbre au fruit vite corrompu » (la banane) et d'agréables épices (le poivre), qu'on y trouvait des éléphants, que le pays produisait du cuivre et que les habitants portaient des vêtements d'un bleu profond...
Jürgen Spanuth situe l'Atlantide dans l'île d'Héligoland, en mer du Nord, tandis que Galanopoulos et Bacon la voient à Santorin (Crète). Convenons que ces deux hypothèses non conformistes sont extrêmement séduisantes. Héligoland - appelée par les grecs Electris à cause de ses riches gisements d'ambre - signifie Terre Sainte . Elle joua dans l'Antiquité un rôle commercial non négligeable et connut une série de tremblements de terre dont le plus important eut lieu vers 1500 ans avant JC. Elle ne put remplir le rôle d'intermédiaire - généralement attribué à l'Atlantide - entre les civilisations sud-américaines et méditerranéennes. Elle ne fut, semble-t-il, qu'une colonie atlante. Idem pour Santorin, en mer Égée. Sa destruction brutale, en 1500 avant JC, a le mérite d'expliquer l'étrange disparition, au milieu du deuxième millénaire avant notre ère, des civilisations crétoise et mycénienne. Mais rien d'autre.
Par contre, l'Atlantide Atlantique défendue par Paul Le Cour et ses continuateurs (responsables et membres d'Atlantis) correspond à la localisation donnée par Platon et par la Tradition. Signalons au passage qu'Atlantide et Atlantique possèdent une racine identique et renferment les consonnes tl que l'on retrouve dans Quetzalcoatl, Popocatépetl, Toltèque, Aztlan, Atlas - noms historiques ou géographiques toujours .en usage de part et d'autre de l'Atlantique.
Quant aux arguments scientifiques et archéologiques favorables à cette hypothèse, ils ne manquent pas. La disparition de l'Atlantide - 9500 ans avant notre ère -- correspond au recul de glaciation enregistré lors de la naissance du Gulf Stream. Ensuite, il existe une chaîne dorsale su milieu de l'Atlantique. Et celle-ci réserve â ses explorateurs bien des surprises. C'est ce que rappelle Immanuel Vélikovsky dans ses Grands Bouleversements terrestres. Le professeur M. Ewing, de l'université de Columbia, a publié en automne 1949 le rapport d'une expédition faite dans l'océan Atlantique, et dont les explorations portèrent spécialement sur la région de la crête médiane de l'Atlantique, cette chaîne montagneuse orientée du nord au sud au fond de l'océan, dont elle suit le dessin général. La crête, ainsi que les parties du fond océanique situées à sa droite et à sa gauche, révéla aux membres de l'expédition une série de faits qui constituent de nouvelles énigmes scientifiques.
L'une d'elles fut la découverte de sable de plage préhistorique... sable remonté, dans un cas, d'une profondeur de 3200 mètres, et, dans l'autre cas, d'une profondeur de 5600 mètres, loin de tout endroit où des plages existent actuellement.
Normalement, comme le souligne Vélikovsky: il ne devrait pas y avoir de sable grossier sur les fonds éloignés des côtes, car le sable se forme sur les terres et sur le socle continental, qui constitue le rebord littoral de l'océan et de ses mers.
Le professeur Ewing se trouva donc devant un dilemme: ou la terre s'était abaissée de 3200 à 4800 mètres, ou la mer avait jadis été de 3200 à 4800 mètres plus basse qu'aujourd'hui. Il s'interrogea: Si la mer fut jadis 3200 mètres plus bas, où toute l'eau supplémentaire a-t-elle pu se rendre? > . Car, comme le rappelle Vélikovsky: On considère comme une vérité admise en géologie que les mers n'ont pas changé leurs fonds, sauf quand des eaux peu profondes ont envahi des régions continentales basses. Il était donc difficile d'accepter cette surprenante constatation, que le fond de l'océan eût jadis fait partie de la terre ferme.
Autre sujet d'étonnement: on admettait communément que le fond de l'océan fût recouvert d'une épaisse couche de sédiment, puisque celui-ci était censé s'y accumuler depuis des temps immémoriaux. Or, sur les bassins flanquant la crête médiane de l'Atlantique, Ewing s'aperçut que la couche sédimentaire avait moins de trente mètres d'épaisseur. Elle était notamment composée de poussières volcaniques, de poussières continentales apportées par le vent, de cendres de météorites brûlées et de < poussières cosmiques venant de l'espace extra-atmosphérique et se répandant incessamment sur le globe. L'expédition remonta également des roches de type igné (c'est-à-dire ayant subi l'action du feu) des flancs et des sommets de la crête, ce qui signifie que des volcans sous-marins et des flots de lave s'y sont manifeste. Il y avait aussi, à 1100 mètres de profondeur, du granit et des roches sédimentaires de types qui durent, à l'origine, avoir fait partie d'un continent.
Ainsi, le très sérieux professeur Ewing admettait l'existence d'un continent en plein océan atlantique! Mais, soucieux de ne point passer pour hérétique aux yeux de ses pairs, il s'empressait d'ajouter: Il n'y a pas lieu de croire que cette puissante masse montagneuse sous-marine ait le moindre rapport avec la légendaire Atlantide perdue, que Platon décrit comme s'étant engloutie sous les vagues.
Un continent: soit ! Mais pas l'Atlantide. Surtout pas l'Atlantide !
Pourtant, les indices permettant de croire en l'existence de l'Atlantide sont légion: quasi absence de sédiments épais sur les bassins jouxtant la crête médiane de l'Atlantique, présence de roches ignées, de sable préhistorique, de granit et de roches sédimentaires de types qui durent à l'origine avoir fait partie d'un continent , découverte du mur cyclopéen de Bimini avec ses racines de manglier fossilisées, présence de tachylite (lave basaltique qui se vitrifie à l'air libre) près des Açores, nombreuses analogies entre les civilisations sud-américaines et africaines (pyramides, emploi du bronze, momification) ne pouvant s'expliquer que par l'existence d'une terre intermédiaire, mentions de mystérieux civilisateurs venus de l'Est pour les anciennes civilisations d'Amérique du Sud, et de l'Ouest pour les Égyptiens. Autant de constatations confirmant les dires de Platon, et permettant de croire en l'hypothèse de l'Atlantide. Une Atlantide que ne contrarie nullement la théorie dite de la dérive des continents de Wagener. Une Atlantide qui - en vingt-quatre heures - fut expédiée brutalement au fond des eaux.
Elle ne fut pas la seule. Ma-Noa, ville d'or bâtie sur une île, que chercha en vain Marcel Homet, fut engloutie au milieu d'un lac de la Serra do Pari-Ma. Héliké fut submergée, dans le golfe de Corinthe, lors d'un tremblement de terre. Elle resta visible des siècles durant à la grande joie des touristes romains qui venaient contempler la statue de Zeus se détachant dans l'eau claire. En Inde, les ruines d'une cité immergée gisent au large de Mahabalipuram, dans la province de Madras. Idem dans le golfe du Mexique, près de Cozumel. En France, il est question de la ville d'Ys engloutie près des côtes bretonnes. En U.R.S.S., les ruines d'une cité antique ont été découvertes dans la baie de Bankou.
En mer Égée, près de Mélos, un archéologue qui cherchait les bras de la Vénus de Milo, a trouvé incidemment une ville gisant par 120 mètres de fond. Une ville a également été découverte au large des côtes péruviennes. On parle d'une cité couvrant 4 hectares de fonds marins au nord de Cuba. Des sondages sous-marins effectués au large du Vénézuéla ont permis de localiser un mur de plus de 150 km de long. Un mur dix fois plus petit a été détecté, de la même façon, au large du cap de Hatteras. Sans parler du mur de Bimini découvert dans le fameux triangle des Bermudes. Quant â la célèbre Tartessos, que cherchèrent en vain les professeurs Schulten, Jessen, Herman et Henning, on pense qu'elle gît actuellement quelque part à l'embouchure du Guadalquivir.
Au musée national de Madrid, un ancien livre maya baptisé Codex Cortesianus, relate la disparition brutale du continent Mû alors situé dans le Pacifique: Par son bras puissant Homen causa un tremblement de terre qui eut lieu au coucher du soleil et pendant la nuit, Mû, le pays des collines de terre, fut submergé. (...) A deux reprises, Mû sauta de ses fondations; il fut alors sacrifié par le feu. Il explosa, secoué violemment de haut en bas par des tremblements de terre. Et le document de Lhassa, découvert par Schliemann dans un vieux temple bouddhique de la ville de Lhassa, au Tibet, et qui, d’après le colonel James Churchward, précise : Quand l'étoile de Bal (météorite) tomba sur le lieu qui n'est maintenant que ciel et mer, les sept villes avec leurs portes d'or et leurs temples transparents frémirent, et furent secouées. comme des feuilles dans la tempête; et un déluge de feu et de fumée s'éleva des palais. (...) La terre (de Mû) et tous ses habitants furent mis en pièces et engloutis dans les flots. .
Descriptions qui nous rappellent étrangement le texte de Platon selon lequel, en l'espace d'un jour et d'une nuit terrible, des secousses telluriques violentes, des cataclysmes ravagèrent l'île Atlantide et la firent disparaître dans la mer.
Une Atlantide embrasée par le feu du ciel puis noyée dans l'eau de la terre.
Donnelly est le premier à défendre la théorie selon laquelle l'Atlantide aurait été le berceau de notre civilisation actuelle, exposant l'idée que les Atlantes furent les créateurs de nos arts et de nos sciences. Donnelly souligne avant tout les ressemblances entre les cultures du Nouveau Monde et de l'Ancien pour conclure que la civilisation est née en Atlantide. Après avoir étudié les légendes du Déluge communes aux cultures de tous les peuples, Donnelly nie catégoriquement la possibilité d'une ressemblance liée au hasard. Une tradition si universelle n'offre qu'une seule explication possible: une origine unique - l'Atlantide.
En 1927, des fouilles archéologiques effectuées par Wooley en Chaldée (Irak) ont permis de trouver des plaquettes et un coffret (sur lequel était gravé des bijoux) sur lesquelles étaient inscrits des textes indiquant que les bijoux sont des talismans précieux venus des Atlantes qui les tenaient eux-mêmes d'êtres se disant humains, frères éloignées des étoiles. Ceux-ci les visitèrent un jour, étant venus des profondeurs intersidérales sur un navire volant. Cela confirmait les dires de Platon.
Beaucoup de gens pense alors au extraterrestres ( ce qui est possible mes peu probable, pour moi la these des extraterrestres est absurde et pas crédible )
Je pense plutot à cette these plus que probable qui est que les Atlantes serait une civilisation tres avancé bien plus avancée que la nôtre, possédant la maîtrise parfaite de l'énergie électrique.
Apres le déluge d'importants groupes de survivants atteignirent les rivages d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, ainsi que d'Afrique du Nord; un autre groupe, mal assimilé en raison de son isolement, a survécu dans le Pays basque.

A l'apogée de leur civilisation, les habitants de l'Atlantide connaissait la télépathie, utilisaient le courant électrique, maîtrisaient la propulsion mécanique de vaisseaux maritimes et aériens, possédaient un système de communications par ondes courtes, et avaient considérablement allongé leur espérance de vie grâce à une médecine très sophistiquée semblable à la notre.
Pour nous actuellement il est impossible de pensez que dans le passé il y a eu une civilisation bien plus avancé que la notre alors quelle n'existe que depuis 2000 ans et quelle à énormément progressé en 1 siecle.
Peut etre comme je le disais sur mon blog que l'inconscient collectif refuse-t-il le fait qu'une civilisation avancée technologiquement puisse disparaître complètement de la surface de la Terre, de peur qu'un cataclysme semblable puisse détruire celle des hommes actuels.
Le faite qu'ils savaient volé ( avions ) expliquerai peut etre aussi les ruines de Nazca qui son visible seulement du ciel ?
Pour ceux qui n'ont pas lu le premier dossier sur mon blog c'est ici
A plus pour un nouveau dossier 

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posted the 12/17/2007 at 10:31 PM by
trez
Nmariodk : oui jai lus en entier mais bon je ne pense pas que une civilisation autant avancé n'est pas laisser de trace de cette evolution (vaisseau volant , ectect)