Bonjour à tous, amis joueurs (et non joueurs d'ailleurs, ne soyons pas sectaires), j'espère que tout se passe bien pour vous en ce début de mois de septembre !

Cela faisait maintenant quelque temps que je n'avais plus rien écrit sur mon blog, et il est aujourd'hui temps d'y remédier. Non pas que je n'avais rien à dire, au contraire. J'ai tout au contraire pas mal de choses à raconter, mais ma flemme légendaire me poursuit. Il me faut donc lutter contre.

Ces dernières semaines, j'ai passé pas mal de temps à jouer aux jeux vidéo, oui, on peut le dire, j'ai pas mal bourlingué sur mes consoles Nintendo ! Autant le dire tout de suite : je suis dans une période où j'essaye d'avancer et de terminer mes jeux, aussi, si vous suivez mon blog, vous savez déjà qu'il y a quelques semaines j'avais terminé Super Mario Sunshin, puis Megaman X Command Mission. Je ne me suis pas arrêté là.



Tout d'abord, je dois vous parler de Geist, le FPS scientifico-mystique développé en exclusivité sur notre magnifique Game Cube. En fait, bien qu'à l'époque de sa sortie j'étais moyennement intéressé par ce jeu, à la mi-août, j'ai trouvé le jeu neuf pour 12 € sur Paris. J'ai donc sauté sur l'occasion et acquis ce jeu. Et je l'ai maintenant terminé.



Alors que dire de Geist ? Tout d'abord, il me faut commencer ainsi : je suis mauvais sur les FPS Game Cube, car j'ai le plus grand mal à utiliser les deux sticks de la manette en même temps... Autant vous dire qu'au début avec ce jeu, j'ai souffert pour m'en sortir avec les commandes ! Beaucoup disaient que les commandes n'étaient pas mauvaises, à après l'achat du jeu, je ne ressentais pas du tout cela... Mais je dois bien avouer que pour peu qu'on soit à l'aise avec les jeux de ce genre via Game Cube, effectivement on ne peut pas reprocher grand chose à ce niveau. Ce point étant posé, parlons du reste !
Geist... Ah Geist... Un bon petit jeu ! Un jeu qui en fait tient avant tout à une chose : son ambiance. L'idée de diriger un fantôme qui peut prendre possession des ennemis est en effet très originale, et permet de nombreuses variantes dans les deux grandes phases de gameplay du jeu : les énigmes sous forme spectrale, et le FPS lorsque l'on possède un hôte. Certaines phases sont vraiment bien trouvées, comme celle de la fuite en moto... Je ne vous en dirais pas plus...
Au niveau FPS en lui-même, bon, avouons-le tout de suite : c'est limité. Chaque hôte ne possède qu'une arme à la fois, et bien que certaines aient deux possibilités d'action (par exemple mitrailler ou lancer une grenade), cela reste bien maigre. Bon, cela encore, passons. L'autre point, vraiment regrettable, c'est l'IA : les ennemis ne sont pas très futés, il n'y a que vers la fin du jeu qu'ils pourront vous donner un peu de fil à retordre (et encore, ce n'est même pas dit, puisque vous posséderez une fantastique armure lors du dernier chapitre, qui vous permet d'accélérer vos mouvements (de fait, l'environnement autour de vous est ralenti, ce qui équivaut à un bullet time). De toutes façons, et à part quelques boss qui peuvent mener la vie dure, la partie FPS n'est pas la plus intéressante du titre. C'est plutôt la partie énigme en tant que fantôme qui mérite le détour : les moyens utilisés par John Raimi (le héros du jeu) afin d'effrayer ses victimes sont assez tordus, Raimi devenant rapidement un professionnel du Poltergeist. Ajoutez à cela le fait que non content de posséder les hommes, vous devrez également posséder certains animaux, et le plaisir n'en est que plus grand. Oui c'est assez dégradant d'être dans la peau d'un rat, mais honnêtement, j'ai trouvé ces petits passages assez rigolos. En fait, le plus gros défaut de la partie énigmes, c'est qu'il n'y a toujours qu'une seule façon d'avancer : tout est scrypté. Combien de fois me suis-je demandé mais pourquoi puis-je seulement posséder un ou deux objets éparses par scènes, et pas d'autres ?. Le concept n'a pas été poussé à bout, pour des raisons techniques évidentes, mais cela chagrine un peu quand même !
Bien, cela étant dit, je me dois d'évoquer le scénario... Mais, pourquoi le scénario est-il aussi incohérent ? Maintenant que j'y repense, bon, il n'est pas forcément mauvais ou inintéressant, mais j'ai surtout l'impression que ce n'était qu'une ébauche, voire un prétexte rapidement bâclé pour se faire succéder différentes phases de jeux. Pourtant, on rencontre quelques personnages intéressants, et les cinématiques sont bien présentes. Non à ce niveau-là, quelque chose me bloque...
Enfin quelques mots sur le mode multijoueur : bien qu'assez anecdotique de part la petitesse des maps, et le faible nombre d'arbres, il permet quelques parties rigolotes, d'autant plus qu'on peut jouer jusqu'à 8 (avec des bots), former des équipes, et que 3 modes de jeux sont possibles, tous reprenant la dualité fantôme / hôte.
Enfin sur le plan esthétique du jeu : si les graphismes ne sont pas exceptionnels, ils ne sont pas vilains pour autant, certains effets sont même tout particulièrement réussis. Quant aux musiques, certaines arrivent réellement à nous mettre dans l'ambiance, particulièrement contre certains boss.
En bref, je ne suis pas mécontent d'avoir acheté Geist. Le jeu est à essayer je pense, ne serait-ce que pour voir certaines trouvailles des développeurs, et tester la variété des différentes séquences de jeu. C'est une expérience à tenter, surtout si l'on arrive à le trouver à petit prix ! D'autant plus que l'on manque de jeux de ce genre sur la console, alors ne nous plaignons pas trop !
Et puis merde, de toutes façons, je suis content, bien que le jeu ne soit qu'en partie FPS, c'est la première fois que je termine un FPS sur la Game Cube, c'est vrai quoi ! Ca fait plaisir !





Aller, assez de Geist pour aujourd'hui, changeons radicalement d'univers ! En effet, alors que de mon côté j'avais acheté Geist, mon frère est revenu de vacances les bras chargés de deux nouveaux jeux : Pokémon Diamant, et surtout Kirby : Les Souris Attaquent (quel nom à chier, quelle est cette nouvelle mode de traduire les titres de jeux vidéo en français ? On pourrait s'amuser ainsi : par exemple on peut jouer à La Légende de Zelda : Le réveil de Link, ou alors à Au Dela du Bien et du Mal, et pourquoi pas Au Rayon de Soleil du Super Mario ? Bref, passons...). En bon Kirbymaniaque (pour ne pas dire Kirbysexuel) que je suis, je me suis donc empressé d'emprunter Kirby à mon frère qui de toutes façons l'avait déjà terminé à 100%.



Bon, autant le dire tout de suite, ce Kirby : Squeak Squad (purée ça passe mieux en anglais, ouf) est vraiment très facile, et bien sûr moi aussi en quelques jours j'avais terminé le jeu à 100%. Mais même s'il était sans doute l'un des jeux de la saga les plus bâclés (tu m'étonnes, 6 mois de développement), tous les éléments d'un Kirby classique étaient réunis, et je me suis bien amusé. Ca fait fichtrement du bien de temps à autre un jeu facile dans lequel on avance sans encombre, surtout avec un été pourri, alors que Kirby possède une ambiance si rafraichissantes (Kirby, c'est les vacances dans ta DS ! Hey ouais mon pote !), et que les grands classiques des musiques de la série étaient présents. Bref un bon petit maman, bien évidemment réservé soit aux plus jeunes, pour commencer en douceur les jeux de plate-forme avec notre bon ami Kirby (KIRBY JE T'AIME) soit aux Kirbysexuels comme moi (n'ayons plus peur des mots).






Kirby, Kirby, Kirby, rien que de parler de lui me met de bonne humeur ! Terrible le pouvoir de ce petit personnage ! Surtout que je n'en ai pas encore fini avec lui. Puisqu'hier soir j'ai terminé Geist, de retour d'un petit séjour à Nice, hey bien j'en ai profité pour ressortir Kirby: Le Pinceau de Pouvoir (euh... Power Paintbrush (non... Canvas Curse (hey merde, vive les jeux aux noms multiples...))). Il faut dire que si j'avais pas trop accroché à ce jeu, j'étais quasiment arrivé à la fin. Non pas que le jeu soit mauvais, au contraire, il est même bon et sacrément original, aujourd'hui encore, aucun autre jeu ne l'a imité sur NDS je crois -le seul jeu auquel on pourrait le rapprocher serait Yoshi Touch and Go, et encore- mais pour ma part, je trouve que l'esprit de la série n'était plus vraiment là. Enfin je me suis fait un peu violence, et donc j'ai terminé le scénario du jeu. Et finalement c'est une bonne chose, car cela m'a permis d'affronter un boss comme j'en avais plus vu depuis longtemps, pas forcément très difficile, mais vraiment original et intéressant : l'âme de Crayona, la méchante sorcière qui a (oh mon dieu !) osé transformé Kirby en simple balle rose. Vraiment, je suis encore sous le charme de ce boss, à l'esthétisme très réussie ! Bon, comme je n'accroche pas plus que ça, il y a plein de pièces cachées que j'ai laissé de côté dans à peu près tous les mondes du jeu, mais ce n'est pas grave, le principal est fait ! Et puis si l'on compare les deux Kirbys dont je viens de parler, Power Paintbrush est quand même beaucoup plus travaillé à tous les niveaux, c'est indéniable.





Alors, après Geist, après l'ami Kirby, quelle sera la suite des opérations vidéoludiques ? Ben... avec le mois de septembre, c'est la rentrée qui frappe à nos portes, et d'ici quelques jours, j'aurais beaucoup moins de temps pour jouer... Toutefois, il me reste encore à reprendre Fire Emblem : Path of Radiance, auquel j'avais aussi avancé dans les chapitres le mois dernier, puis Metroid Prime : Echoes, car sa suite se profile à l'horizon du mois de novembre, pas si lointain mes amis, le temps passe plus vite qu'on ne le pense !
Ah et en prime le 14 septembre sortira Super Paper Mario sur la Wii... J'espère que j'aurais la possibilité de me le procurer, ce serait tellement dommage de passer à côté du nouvel opus des Paper Mario, dont je suis fan !
Quand je pense qu'à côté de ça il y a encore tant de jeux qui m'intéresseraient... Y'a pas à dire, on est pas à plaindre dans l'univers du jeu vidéo, il y a toujours de quoi faire !

Voilà, ce sera tout pour le moment. Merci à ceux qui auront eu la patience de lire ce nouvel article fleuve, et à très bientôt !

Et surtout, bon courage pour la rentrée, à toutes et à tous ! Et à bientôt pour de nouvelles aventures vidéoludiques (ou réelles ).

By Arti, éternel insatisfait, qui trouve que la partie de l'article sur Geist est complètement foireuse.