Le petit monde de Poey : Musique

Bonjour, c'est votre membre préféré !

Cowboy Bebop, j'espère que ça vous parle. Je ne suis pas du genre à aimer l'animation japonaise en règle générale. Naruto, Dragon Ball et compagnie n'ont jamais su captiver mon attention. Peut-être à cause de leur univers convenu, leur mise en scène sans prise de risque ou la profondeur des dialogues qui pouvaient être aussi intéressants qu'une conversation avec Carole Quintaine. Veillez m'excuser, je m'emporte.

Mais concernant la série des studios Sunrise, c'était tout autre chose, avec son univers au potentiel infini, ses personnages principaux charismatiques et son ambiance globale plutôt mature pour l'époque, cette série est tout simplement un petit chef d'oeuvre que je vous conseil si vous n'avez pas encore eu l'occasion de la regarder, mais il n'est pas trop tard pour rattraper tout ce temps perdu. Bien sûr, âgée de presque 20 ans, la série de Shin'ichiro Watanabe a vieilli sur certains aspects comme l'animation, le doublage français irrégulier dans la qualité ou la présence de certains clichés propre à l'animation japonaise même s'ils restent négligeables.



J'aimerai surtout aujourd'hui m'attarder sur un point essentiel de cette série. A savoir la bande originale composée par la génialissime Yoko Kanno. Autant être direct avec vous, pour beaucoup de monde, il s'agit de la meilleurs OST d'animé de tous les temps et je suis entièrement d'accord avec. S'inspirant de la culture américaine des années 40 à 60, les compositions se révèlent toujours inspirées et s'inscrivent à la perfection avec l'univers de la série, mais également avec l'action du moment. Sachant que je n'ai (encore une fois) aucune inspiration pour écrire un pavé sur cette bande originale et sur l'impact qu'elle a sur mon émotionnel, je vais directement vous partager certaines musiques de la série.

L'opening de la série










Sachez que la bande originale comporte plus de 80 musiques et chansons, n'hésitez franchement pas à vous attarder sur cette oeuvre quasi-parfaite.

Merci de m'avoir lu

Aujourd'hui je vais vous parler musique. Dans l'univers fascinant qu'est le jeu vidéo la musique détient une place importante dans l'appreciation globale d'une oeuvre.

Dans les Zelda par exemple, elle est au centre de la machine puisque c'est elle, qui décrit en détail l'action qui se déroule devant les yeux émerveillés des joueurs. Elle va même plus loin, puisqu'elle raconte à elle toute seule, une histoire ou énumèrent différentes émotions que peuvent éprouver les personnages au cours de leurs aventures.

Placer une ambiance sonore au coeur d'une histoire est devenu rare à notre époque. Tout est raconté par le biais de dialogues avec de nombreuses lignes d'écritures ne laissant plus vraiment de place à l'imaginaire.

Mais encore heureux, il existe tout de même de nombreuses oeuvres qui accordent beaucoup d'importance à la musique en espérant marquer le joueur avec de nombreuses compositions. Je pourrais parler pendant des heures de Nier ou de Journey. Mais aujourd'hui c'est une oeuvre totalement différente que j'aimerai aborder. C'est Donkey Kong Country Tropical Freeze dont les musiques sont signées David Wise.

Je ne vais pas écrire un article sur cette oeuvre que je considère comme magistrale, car je suis fatigué et je n'ai guère d'inspiration ce soir pour rédiger un pavé, mais j'aimerai vous partager un thème que je trouve somptueux, marquant et incroyable. Bien sûr, la quasi totalité de cet OST est fantastique (plus de 70 musiques !) mais cette musique eu un effet particulier sur moi. Je l'écoute régulièrement en ressentant toujours un peu de mélancolie, de nostalgie et d'espoir, il s'agit de Seashore War par David Wise.




Franchement n'hésitez pas à écouter cette bande originale, un tel niveau dans un jeu de plateforme est tellement rare.

Peu importe ce que vous pensez, ou ce que moi je pense réellement, cet article, sans être inoubliable, reste passionnant. Que signifie tout ce bordel ? C'est ce que vous êtes en train de vous dire, n'est-ce pas ? Ne mentez pas, ça ne sert à rien d'être gentils avec moi, n'hésitez pas à l'écrire, n'ayez pas peur des mots.

Après tout, la déstructuration est contraire à la logique et la cohérence. Il est tout à fait normal d'appréhender cet article avec scepticisme voire même étonnement. Je comprends votre réaction, moi même je me rends compte que ce papier est envahit par la confusion et l'incompréhension.

De toute manière, à quoi bon se ranger vers la normalité quand l'inéluctable Mort attend le bon moment pour nous emporter. Je déteste le conformisme et pourtant ce serait malhonnête de dire que je ne le suis pas. De toute façon qui l'est ? Ceux qui le crient sur les toits pour se donner un genre ? Je ne pense pas et puis je n'en sais rien, peut-être avez-vous une réponse ? Non en faite, je m'en cogne complètement

Bref, je voulais juste écrire cet article pour vous dire que l'histoire, selon moi, dans un jeu vidéo, n'est pas nécessaire pour ressentir moults émotions. Ce n'est qu'une facette de ce média qui peut aider à ressentir quelque chose, mais réduire ce format à ça, est malheureux. C'est pour cela que je suis de plus en plus déçu par la direction que prend le JV ces dernières années, ce besoin de se rapprocher du cinéma, pourquoi ? Ce média est-il voué à perdre son identité. Un Zelda serait-il émotionnellement plus fort avec plus de cinématiques, de dialogues et doublages ? Auriez-vous ressenti autant de frissons si Journey n'avez-eu ne serait-ce qu'une ligne de script ? Qu'en pensez-vous ?

Quoi ? Les paragraphes au dessus ? Ah non, c'est n'importe quoi, il fallait bien combler ce torchon pour qu'il ne paraisse pas ridicule. J'ai juste écrit des mots bout à bout pour faire des phrases, c'est magique non ?
Même si ça n'a aucun sens !

PS : Oui ça manque d'images, je sais, mais je suis sur ma tablette, et c'est tout simplement chiant d'en ajouter sans que ça rame, donc bah vous ferez sans et c'est tout.

Le petit monde de Poey,
Rubrique cinéma.

Je me lève tôt demain matin, et pourtant je n'arrive pas à dormir. Peut-etre à cause de cette chaleur anormale qui fait rage en plein mois de Février, ou alors parceque ma supériorité me donne cet avantage de ne pas avoir besoin de beaucoup de sommeil pour bénéficier d'une forme exemplaire. Bref, c'est une question interessante sur laquelle je devrais y consacrer quelques heures de ma vie prochainement.

Quoiqu'il en soit, avant de commencer mes articles sur le cinema, j'aimerai bien connaître votre personnalité cinéphile. Bah oui, êtes-vous un simple geek qui a pour seule et unique référence Star Wars ou plutôt plus un intellectuel pour qui les oeuvres d'Ingmar Bergman rime avec excellence.

Ou alors, vous êtes tout simplement un amateur du plaisir charnel, seul le cinema erotique vous offre entière satisfaction.

(D'ailleurs vu la taille de ma ****, j'aurai pu devenir acteur ****** stop on va s'arrêter là.)

Bref, n'hésitez pas à donner votre profil cinématographique, je suis vraiment intéressé.

Merci d'avoir pris le temps de me lire.
Votre idole,
Poey

Bonjour à tous,

Article assez court pour introduire mon blog sur ce site. Comme vous le savez je suis Poey, un bel homme, classe et intelligent prêt à tout pour partager mes nombreuses connaissances avec le monde.



A partir de cette belle soirée étoilée, je vais commencer à écrire régulièrement des articles de qualité sur ce blog que j'ai soigneusement appelé "Le petit monde de Poey". Mes différents papiers seront dédiés au cinéma (ma passion), mais aussi à la littérature et la musique.

Dans les prochains jours, je publierai ma critique sur Spotlight de Tom McCarthy avec Batman, pardon Michael Keaton et Mark Ruffalo.

Bien évidemment, j'espère vous voir nombreux dans les commentaires, espérant pouvoir lire vos avis concernant les différentes œuvres que je traiterai.

Enfin, avant toutes choses, sachez que derrière mon caractère de sale gosse prétentieux, se cache un aventurier prêt à tout pour découvrir le maximum de chose sur notre monde. Néanmoins, je reste tout de même le plus beau sur ce site.

A bientôt pour de nouvelles aventures Poeyenne. Je vous aime ! Sauf Gat