Avant tous, bonsoir, voila fort longtemps que Je n'ai pu venir, espérant que vous allez bien depuis le temps.
Concernant l'article,
GOOGLE finance des projets biotechnologiques,
cherchant à repousser les limites du corps humain, précisément à faire reculer la mort voir atteindre l’immortalité.
Calico, une filiale spécialisée dans ses recherche dont leur but est de lutter contre le vieillissement,
ne plus craindre le cancer, voir même vivre plus de mille ans. Un an après son lancement, elle a annoncé un premier investissement avec le géant pharmaceutique
AbbVie de 400 millions d'euros pouvant aller jusqu'a 1,2 milliard d'euros pour développer de nouveaux traitements contre les maladies liées à l’âge, dont la
neurodégénérescence et le
cancer.
Mais aussi ils ont annoncés sa collaboration avec le centre médical universitaire
Southwestern,
pour développer des molécules capables de restaurer les capacités cognitives altérées par le vieillissement.
Larry Page, cofondateur de GOOGLE expliqué :
«
Si on guérit le cancer, on ajoute environ trois ans à l’espérance de vie moyenne. On imagine que vaincre le cancer changerait le monde. Mais globalement, ce ne serait pas une si grande avancée »
Sachant que sa véritable ambition est bien plus grande :
L'immortalité.
Google X Life Sciences, une division de ce laboratoire,
s’intéresse plus particulièrement à la santé et au progrès médical.
En janvier, cette entité a dévoilé un projet de lentilles de contact équipées de micro-capteurs pour mesurer en temps réel le taux de sucre dans le sang des diabétiques. Avec un budget de recherche de 6,5 milliards d’euros (2013)
Dernière nouveauté annoncé par
GOOGLE :
Un programme de recherche dont le but est d’utiliser des nanoparticules de l’ordre du milliardième de mètre,
pour diagnostiquer des cancers. éradiquer la mort.
Selon ce spécialiste, l’immortalité est pour 2045, date à laquelle on pourra télécharger notre conscience sur un ordinateur.
Entre 1750 et aujourd’hui,
celle des femmes est déjà passée de 25 à plus de 85 ans.
«
Si la tendance se prolonge, elle atteindra 110 ans en 2100 »,
prévoit
Jean-Marie Robine, de l’Institut national de la santé et de la recherche médical (Inserm).
Un scénario qui ne prend même pas en compte les progrès récents.
D’après le docteur
Laurent Alexandre du laboratoire belge DNAVision :
«
L’évolution des nanotechnologies, les biotechnologies, l’intelligence artificielle et les sciences cognitives vont bouleverser la médecine. L’homme qui vivra mille ans est peut-être déjà né »
Une prise de sang chez une femme enceinte permettra bientôt,
de détecter certaines maladies génétiques du futur bébé dont le cancer, ce qui mettra un terme à ces maladies.
Pour information, un certain
Rex, est le premier homme bionique fonctionnel,
dévoilé en 2013 par une équipe britannique. Composé de 28 prothèses robotisées et organes artificiels
(cœur, pancréas, poumons, rate, reins, trachée…),
il peut marcher, s’asseoir, parler et respirer. Il a un visage, possède un système de circulation sanguine,
l’ouïe et la vue grâce des implants électroniques. Il ne lui manque qu’un cerveau, un foie,
un système digestif et de la peau… L’homme bionique n’est plus de la science-fiction.
L’immortalité nichée dans une protéine ?
Stopper purement et simplement le vieillissement.
Un fantasme qui pourrait se concrétiser dans les prochaines décennies grâce à une protéine :
la télomérase.
Les télomères sont des structures situées aux extrémités des chromosomes, qui les protègent de la dégradation. Mais, à chaque division cellulaire, ils raccourcissent, jusqu’à ce que la cellule ne puisse plus se diviser.
«
C’est ce qu’on appelle la sénescence, qui cause le vieillissement de l’organisme et les dysfonctionnements des organes», précise
Véronique Gire, du Centre de recherche de biochimie macromoléculaire (Hérault).
En 1985, des chercheurs ont pourtant découvert une protéine, la télomérase, qui empêche les fameux télomères de rétrécir.
Seulement les effets secondaires sont potentiellement mortels :
«
En principe, il suffirait d’injecter de la télomérase pour que les cellules,
donc les êtres humains arrêteront de vieillir »
Cette protéine n’assurerait donc rien moins que l’immortalité…
Alors qu’on en est encore qu’au stade des premières recherches, il existe un bémol de taille.
La télomérase est présente principalement dans les cellules-souches et les cellules cancéreuses !
Jérôme Dejardin, spécialiste du sujet à l’Institut de génétique humaine :
«
quand on modifie les télomères, le danger est de provoquer des cancers.
En immortalisant les cellules, on prend le risque d’augmenter la fréquence des tumeurs ».
Je vous souhaite une très bonne soirée.