(Attention, mongolitos collégiens incapables de lire plus de 3 lignes sans crier leur mère, la petite croix rouge en haut à droite n’attend que vous)
Au cas ou vous l’ignoriez, Sony, entreprise japonaise née précisément le 7 Juin 1946, est le fruit d’une coalition entre Akio Morita (membre de la résistance nippone), Masaru Ibuka (partisan effréné du Hô-Du-Shu), le bras droit caché d’Adolf Hitler (dont je ne peut vous dévoiler l’identité sous peine d’être grillé vif), et des fonds monétaires français d’entreprises comme Justin Bridou ou les préservatif Durex. Ayant pour seul but de venger l’axe de sa cuisante défaite de la seconde guerre mondiale, la société prendra ses racines aux fins fonds des quartiers délabrés de Tokyo, ou, par la propagande et l’oppression, elle conditionnera les badeaux à sa sanglante cause.
C’est justement ici, à Tokyo, que le destin de Ken Kuturagi, étant à peine un nouveau-né, prendra son tragique cours, sa destiné l’obligeant à devenir le 2ème Führer qu’est connu la multinationale. C’est donc en effectuant une forte ellipse que nous arrivons en 1975, année terrible ou Kuturagi arriva chez Sony, l’esprit malsainement bourré d’intentions diabolique.
Notre analyste professionnel, qui tient à garder l’anonymat (vous pouvez néanmoins jeter un œil à
son blog ), découvrira même par les plus irréfutable des preuves, que Sony et Kuturagi sont au monde ce que Belzébuth est à l’éden. En effet, selon lui, les chiffres parlent d’eux-mêmes :
Sony : 4 lettres
Kuturagi : 8 lettres
Additionnés, on arrive à 12 lettres, en y ajoutant le nombre de scènes ou apparaît Chewbaca dans Star Wars, puis en divisant par 5, multipliant par 2 et en retenant 459, on arrive à 11. 11 lettres soit exactement le même nombre que dans Adolf Hitler. Saisissant non ?
Bref, revenons au dictateur Kuturagi, qui, une fois le monde ravaudé des sévices du Disco, tenta de dominer le monde d’une manière originale, du moins en apparence. Car il ne fit pas dans la violence pure, ni dans la manipulation de grande volée, mais par le conditionnement par les jeux vidéo. Ses aptitudes à toujours copier (preuve, la playstation à un bouton power, pareil que chez Nintendo !! Quelle Honte !), à utiliser des propos scandaleux et racistes (la PS2 est noire > discrimination raciale), et à s’auto flageller en public l’ont vite propulsé en haut de la hiérarchie vidéoludique, entraînant derrière lui toute son armée de moutons, prêts à dévaliser VOS maisons, VOS foyers, prêts à violer VOS amis ! C’est la guerre !
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Demain nous vous conterons la merveilleuse épopée de l’entreprise humanitaire Nintendo, toujours au secours de la veuve et de l’orphelin dans un élan de bonté inaccoutumé.
Morale de l’histoire :
Ben, vous êtes pas un peu ridicule vous tous à lancer des accusations stupides et disproportionés sur une société dont vous ne savez absolument rien mis à part ce que vous lisez sur vos écrans ?