Cet article n'est que pure fiction. Toute ressemblance ou similitude avec des faits, entreprises, ou entités existantes n'est que le fruit d'un total hasard indépendant de la volonté de l'auteur.
Si il existe une société qui pourrait donner des lettres de noblesse au mot hypocrisie, nul doute qu'on pointerait du doigt avec fermeté et une certitude implacable la firme de Saquoru Izata, Mintendo.
Pour expliquer cette accroche qui a déjà fait bondir bon nombre de fanboys, revenons à la période de l'émergence des 128 bits, ou la société nippone, revenue dans le même situation tragique de retard connue avec la Mintendo 46, cherchait désespérément une date de sortie pour sa GameTube. Alors que Sonny, pendant ce temps, barbouillait certes dans une boue de marketing vaseux et incompréhensible, mais se délectait d'un succès commercial mondial de la PS2 via l'écrasement médiatique de la Dreampast, laminant du même coup Segat d'un véritable coup de poignard dans le dos.
Du coup, rien ne semblait pouvoir s'immiscer entre les dents de l'ogre Playsucion 2. Segat, qui pourtant n'a jamais voulu entamer de guerre, en a subi les frais, et ce n'est pas le nouveau Microhard qui va entamer le lavage de cerveau d'une communauté lobotomisé par la marque Playsucion, devenue symbole de l'univers vidéoludique, rien que ça. Non contents de s'être fait fucked avec la 46, Mintendo se devait donc de trouver LA stratégie pour bouffer des parts de marché à cette fameuse console qui demandait d'aller carrément au front dans les tranchées de la Fnac pour en faire l'acquisition.
Ainsi naquit le plan le plus machiavélique de l'histoire du jeu vidéo. Même Bernard Tapie n'y aurait pas pensé (et pourtant, question magouille, il pourrait donner des leçons).
Si vous vous souvenez, l'image de sainte-nitouche de Mintendo n'existait absolument pas avant la GameTube. On se rappelle tous des publicités chafouines, de mauvais goût, vraiment limites de la Mintendo 46, demandant simplement au consommateur de ne pas acheter la Playsucion, mais d'attendre l'arrivée de la console deux fois plus puissante. Puis d'un coup, tout a changé. L'air est devenu tendre et doux, le paysage chaleureux et attrayant, Mintendo, une vraie histoire d'amour. Dans le même temps, Sonny est devenu l'image même de Belzébuth (enfin bon, ces cons sont tellement maladroit qu'ils ne font qu'entretenir cette image via des gaffes énormes depuis le temps, à ce demander si ils ne le font pas exprès), et enfin c'est vrai quoi, ils ont quand même tué Segat, et leur prochaine cible est sûrement Mintendo, si un tel acte ne mérite pas la damnation, j'ai qu'à aller me faire mettre chez les helléniques. Et c'est par ce raisonnement saugrenu qu'on touche au jackpot : la société d'Izata est devenue victime. Martyr de l'ogre. Souffre-douleur des damnés. Ainsi, on rabâche. Périodes des 8, puis 16 bits, la bonne bataille Mintendo-Segat, le bon vieux temps, jusqu'à l'arrivée des monstres, des nazis, des racistes, des connards, Sonny.
L'opinion penche toujours vers les faibles.
Mintendo n'est pas faible, mais montre au monde le contraire. C'est le début de la grande supercherie. Et de cette mystification… parut la plus terrible des infamies… Le gagne-pain principal de la firme… pire que le con-sommateur de base, pire que le fan acharné… Le fanboy.
Décidé à mourir si il le faut pour Big-M, il est incontestablement le fondement même de Mintendo. Versatile (Nintendo a toujours dans le passé soutenu la course à la puissance, la 46 et le GT ont étés plus puissantes que les consoles Ssony de leur époque respective, et les fans les soutenaient en ce sens, en en faisant même leur leitmotiv, mais depuis la Zii, les choses de sont inversés, les avis aussi, bizarrement…), lèche-cul (le 2ème commandement du fanboy : dénigrer les autres constructeurs tu feras), et tout bonnement dénué de tout sens moral, le fanboy ne se rend pas compte qu'il est exploité via le rabâchage de jeux à licence mettant en scène un plombier moustachu et autres sbires vieux de 20 ans dans des centaines de déclinaisons farfelues, ce qui ne l'empêche pas d'acheter frénétiquement ces jeux à leur sortie, postant sur son blog par la même occasion des photos de ses acquisitions à ses autres potes fanboys. Il n'en a que faire de racheter les jeux qu'il a déjà à prix d'or sur sa nouvelle console. Il succombe sans broncher à la plus basique des techniques commerciales visant à brader au maximum le prix d'un produit, mais se refaire sur des produits dérivés aux prix déraisonnables indispensables au premier produit. Et surtout, il se multiplie et contamine le peuple comme la peste via ses activités forumiales sur le net. De plus, comme il n'est pas très malin, le pauvre gobe toute cette histoire de Mintendo sauveur du monde, Mintendo est le seul à faire du JV pour illuminer les yeux bleus des orphelins, et non pour le pognon, Mintendo a fait revenir Zidane en équipe de France.
Dans ce cas, mettez vous à la place des gérants de la société : Si vous avez des pigeons (l'animal hein) qui sont près à manger tout ce que vous leur balancez (même des rééditions de consoles qu'ils ont déjà, ou alors des jeux qu'ils ont déjà mais avec une broutille en plus) sans aucun sens critique, et payer pour ça, en plus… La vie est tout de suite plus belle.
Donc, si une entreprise a tout compris, c'est bien Mintendo.

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posted the 12/30/2006 at 07:28 PM by
gab1
Je pense qu'il y a des moutons de partout, pas seulement sur MIMTENDO.....
Que tu aime pas les produit Nintendo et leur jeux c'est une chose mais de la a dire qu'il a que des moutons qui achète et pas tenir compte de la qualité des produits .
Si tu aime pas leur produit et leur politique d'élargire le public du jeux video et le coté divertissement familiale . Et que tu veux du « vrais jeux video « pensait uniquement pour les gamer les pure les dure les tatoué ba achète une ps3 ou une 360 ou meme un pc .