Les hommes de Laurent Blanc entament cette rencontre par le bon bout, se créant quelques opportunités intéressantes, et c'est assez logiquement que Cavani, bien servi par Digne, ouvre le score au quart d'heure de jeu, sur une bonne tête piquée (1-0, 14e). En face, Bordeaux a du mal à réagir, et peine à inquiéter Nicolas Douchez. Il faut dire que Paris est bien en place, et maîtrise les débats. C'est donc logiquement que juste après la demi-heure de jeu, Paris double la mise. Cavani sert bien Lavezzi qui bute sur Carrasso, mais Pastore, qui a bien suivi, est là pour inscrire le but du break (2-0, 33e). Paris continue de dérouler, et il faut un bon Carrasso pour que Cavani ne corse pas l'addition (37e). A la pause, le PSG a un pied en huitième de finale de l'épreuve, et on voit mal comment Bordeaux pourrait sortir la tête de l'eau, face à une formation parisienne qui domine son sujet.

Et pourtant... dès le retour des vestiaires, sur leur première incursion dans le camp parisien, c'est Rolan, qui d'une frappe enroulée du gauche réduit la marque (2-1, 46e). Ce même Rolan, idéalement lancé par Sertic, tergiverse trop, et laisse passer l'occasion d'égaliser quelques minutes plus tard. Cette équipe de Bordeaux se montre plus entreprenante, et le PSG a tendance à reculer. Les coéquipiers de Thiago Silva tiennent cependant le choc. Blanc remplace Lavezzi par Lucas pour dynamiser l'attaque parisienne. Mais c'est en défense que le PSG craque. Zoumana Camara, qui écope de son deuxième carton jaune à la 83e minute, laisse ses coéquipiers à dix pour la fin de match. Bordeaux jette toutes ses forces dans la bataille, mais le PSG résiste, et valide son billet pour les huitièmes de finale de la Coupe de France. Rendez-vous jeudi soir, pour connaître le prochain adversaire des Parisiens.
L'entraineur fait lui aussi des erreurs, dans la stratégie, ou les changements opérés .
Mais ce n'est pas lui qui joue .
Ou alors, on fait sortir FERGUSON de sa retraite, pour remettre les choses en place .
Lui il ne tournerait pas autour du pot
Quand aux joueurs, oui mais pas tous jouent les starlettes non plus. Malheureusement, c'est aussi la faute de l'entraineur si on a de l'autogestion sur un seul schéma tactique, un manque au niveau de l'intensité et du pressing qui doit se travailler à l'entrainement. Tous les grands entraineurs ont au moins deux schémas...Le responsable du rectangle vert reste l'entraineur qu'on le veuille ou non. C'est lui qui paye le prix.
Mais se sont des humains sur le terrain, pas des persos de BABYFOOT, donc ils ont une certaine marge de manoeuvre .
Pour moi c'est du 50/50, c'est facile de tout coller sur le dos de l'entraineur, mais si les mecs, ne se bougent pas sur le terrain, manquent leurs passes, ou ne se crées pas d'occasion, a cause d'un manque d'envie et de percussion .
L'entraineur pourra faire tous les changement ou ajustements qu'il veut, ce n'est pas a lui de mettre les buts .
Quand tu laisses une certaine latitude aux joueurs, et que cela fonctionne, on parle de responsabilisation des joueurs, et quand ça foire on parle d'autogestion, par manque de fermeté ou rigueur de l'entraineur
Virer le coach peut fonctionner, mais c'est la solution de facilité .
A BARCELONE bis repetita, BLANC a foiré son coaching
On est d'accord pour avoir une grande équipe, il faut un grand entraîneur, ce que n'a pas le PSG .
Je suis persuadé que monsieur JOSE ou sir ALEX, feraient mieux que cela, avec le même effectif .
Sinon pour le coach, c'est clair qu'il n'est pas à sa place et qu'actuellement Nasser doit chercher quelqu'un d'autre. Il y a des rumeurs sur Simeone. Quelqu'un qui revitalise le mental des joueurs et propose de l'intensité, ce serait top à mon sens.