The transcendance : c'est un génie de l'informatique prêt un recréer DIEU, un homme dévoué a une cause, celle d'un monde parfait. A sa mort l'homme transfère, décuple sa conscience dans un ordi et l'univers tout entier bascule. Un cerveau humain a la tête de l'hyper-connectivité et c'est la porte ouverte a toutes les inventions ! Les terroristes anti-web tentent une révolte contre la machine protégée par une femme aimante. Passionnant de prime abord, un synopsis intéressant qui doit faire rire les fans de K.Dick et isamov, le film s'enlise, peine et tire en longueur ce qu'il reste de substances potable, ennuie parfois mais reste un divertissement agréable lorsqu'il pleut et que la télévision française n'offre rien d'autre que des séries de merde.
Ma note : 6/10 c'est toujours mieux que les experts!
Zéro theorem : Terry Gilliam a un peu près autant de gout en direction artistique que Valérie damidot en deco. Ca pique la rétine tellement ce film est cheap, laid et foutrement mal inspiré. Waltz, chauve, vit dans monde debile et surfait, ou l'homme est une machine dévoué a son travail. Informaticien son boss lui offre l'opportunité de travailler chez lui en qualité de génie philosophe prêt a découvrir le stupide théorème zéro : le big bang est une erreur et tout ce qui en découle aussi.
Moche et réalisé avec le pied, cet étron met en scène des personnages loufoques et risible. Seule Mélanie Thierry, sublimée pour l'occasion, sexy également, tire son épingle du jeu. Un film a oublié malgré son coté taquin et moqueur.
Ma note : 2/10 Mélanie Thierry et rien d'autre !
Under the skin : LA VACHE, j'ai vu des films specs dans ma vie mais la chapeau. Une extra-terrestre débarque a ÉDIMBOURG et sillonne la ville (façon Michel fourniret) dans une camionnette a la recherche d'homme a appâter. Sitôt pris dans les filets, les amants éconduits sombrent dans un marasme psychédélique entre film d'epouvante et rituel satanique. Des séquences effrayantes interprété a merveille par la délicieuse Scarlett Johansson, tantôt belle tantôt laide qu'on contemple, sans bouder son plaisir, nu face a son image découvrant son corps humain. C'est vraiment spécial ce film, glacial, on suit cette femme a travers l'ecosse lorsqu'elle rencontre la vie, la mort la peur, les petits rien, les sentiments pour toujours plus d'humanité. Long, lent, dérangeant, noir, du frisson dans le dos a la gene ambiante cet OVNI du cinéma glace le sang tant la tension et froideur nous laisse de marbre.
Ma note : 7,5/10 vraiment atypique

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posted the 07/11/2014 at 09:42 PM by
minchou
comme le cinéma de Terrence malick, gaspard Noé ou leos carax
je post mais ca apparait pas sur la page d'accueil ca apparait que sur mon blog