Il y a des titres qui restent dans les mémoires, des franchises qui ont véritablement marqué l'histoire du jeu vidéo, des indispensables que l'on fait découvrir aux plus jeunes, bref des jeux qui se présentent finalement comme les plus belles réussites de l'industrie, de Mario à Sonic en passant par Kirby. Mais s'il y en a une qui restera à jamais gravée, c'est bien Donkey Kong, un jeu de plateformes qui, malgré les années, près de 30 ans aujourd'hui, aura su conserver toute la magie de ses débuts. 15 ans après la sortie de Donkey Kong Country sur SNES, le singe mythique de Nintendo fait donc son grand retour dans un épisode Wii tout simplement baptisé Donkey Kong Country Returns, confié pour l'occasion à Retro Studios, principalement connu pour son travail sur la franchise Metroid. Accompagné de son éternel ami Diddy Kong, le roi des Kong a-t-il parfaitement conservé la forme de ses débuts ?

Paisiblement installé sur sa petite île, Donkey Kong voit brusquement son coin de paradis sombrer dans le chaos suite à l'éruption du volcan qui la domine. A défaut de lave, c'est une armée de créatures maléfiques qui jaillit des profondeurs de la terre, envoutant sans le moindre scrupule tous les animaux de la forêt, à l'exception d'un seul. Particulièrement énerve par cette irruption soudaine dans son intimité, Donkey Kong fera tout son possible pour ramener un semblant d'harmonie, tout en prenant bien soin de récupérer les précieuses bananes dont il raffole tant. L'aventure débute logiquement dans l'habitat naturel de Donkey Kong, la jungle, une région tropicale des plus classiques, et se poursuit à travers des mondes plus bluffant les uns que les autres. Bien que situés sur une seule et même île, les environnements varient en fonction du territoire traversé, et parfois même en plein cœur du monde visité. Un simple niveau couché de soleil viendra tout simplement nous décrocher la mâchoire, à l'image du stage tsunami ou l'objectif et de traverser la côte en évitant à tout prix de se faire frapper de plein fouet par les vagues venant de l'arrière plan, un vrai régal. L'on retrouve bien évidement une large sélection de stages plus traditionnels, dont plusieurs spécialement dédiés à l'univers de la mine et son célèbre wagon, agrémentés des nombreuses trouvailles de l'équipe en charge du jeu.



Oui, si Donkey Kong Country Returns surprend par la diversité de ses environnements, il étonne encore plus par son contenu. Chaque niveau regorge de nouvelles choses à découvrir, de passages secrets, de pièces, de lettres et d'éléments pouvant totalement modifier l'apparence du lieu exploré. Il s'avère en effet bien plus difficile que prévu de mettre la main sur toutes les pièces d'un puzzle, la plupart étant situées sous le sol, à l'abri des regards, derrière un amas de feuilles, ou tout simplement dans un coffre secret uniquement débloquable en terminant dans un temps imparti la zone bonus du niveau en question. Tout comme avec les lettres KONG, il sera nécessaire de recommencer plusieurs fois le même niveau afin de compléter sa collection, une chose relativement compliquée lorsque que le stage en question nous en fait baver. Le jeu en vaudra toutefois la chandelle, puisqu'une fois toutes les pièces d'un niveau obtenues, un élément du mode bonus sera débloqué, tandis que les lettres KONG permettent, à quelques occasions, d'accéder à un niveau secret. De plus, une sorte de boutique propose également de faire l'acquisition de vies supplémentaires, de cœurs, de potions, et d'une clé en or permettant d'accéder à un lieu original, tout cela en échange des pièces dorées ramassées à travers les niveaux.

La prise en main reste quant à elle relativement simpliste, manette tenue à l'horizontale avec les flèches directionnelles pour se déplacer, le bouton 2 pour sauter et le 1 pour s'agripper aux lianes et s'emparer des tonneaux. Fort heureusement, Donkey Kong dispose d'une poignée d'aptitudes additionnelles, secouer la Wiimote de haut en bas lui permettant de taper sur le sol, d'assommer ses ennemis, ou de casser des blocs, tandis qu'il faut combiner cette fonctionnalité avec une direction pour effectuer une roulade, ou tout simplement souffler en appuyant vers le bas. Diddy Kong, personnage indispensable du mode deux joueurs, mais également compère pour l'aventure en solitaire, est quant à lui uniquement disponible par le biais de tonneaux disposés à des points stratégies. Positionné en tout temps sur le dos de son acolyte, il nous fait profiter d'une fusée accrochée derrière lui et donc de quelques secondes supplémentaires en apesanteur, un petit plus indispensable à de multiples occasions. Car Donkey Kong Country Returns n'est pas aussi simple qu'il en a l'air, cela malgré un premier monde que l'on peut qualifier de 'remise à niveau'. En plus de boss bien souvent redoutables, les prises de têtes sont fréquentes et il n'est pas impossible de gaspiller des dizaines de vies sur un seul et même secteur. Heureusement, Nintendo a pensé à tout en intégrant, comme dans la plupart de ses jeux actuels, une soluce in-game terminant à notre place le niveau en cours, un élément qui, de façon étonnante, pourra s'avérer véritablement utile, même pour les joueurs confirmés.



Difficile de trouver un défaut à ce Donkey Kong Country Returns qui s'en sort à la perfection, aussi bien au niveau de sa bande son, combinant les remix des musiques mémorables des précédents opus avec certaines créations inédites, que sur le plan des graphismes. Bien plus agréable visuellement que bien des jeux sortis sur la Wii, cette production s'avère être au point en ce qui concerne les animations. De la petite feuille à la cascade d'eau en passant par tous les décors situés en arrière-plan, rien n'est mis de côté en ce qui concerne l'animation. En effet, alors que certains tonneaux nous conduisent sur des plateformes placées en second plan, de gros interrupteurs, qu'il faut enclencher en frappant sur le sol à de multiples reprises, modifient totalement l'architecture du niveau, jusqu'à en avoir, à quelques occasions, le souffle coupé.

Grandiose en de nombreux points, Donkey Kong Country Returns s'offre le luxe d'épater, aussi bien lors des premières minutes de jeu, qu'après plusieurs heures. Proposant une durée de vie à la hauteur des espérances, frôlant la dizaine d'heures pour ceux ne souhaitant pas aller plus loin, très certainement bien plus pour les plus accrocs, Donkey Kong Country Returns regorge de petits secrets, à l'image du Rhinocéros, toujours parfaitement planqué bien qu'indispensable pour obtenir les pièces manquantes, des fleurs soigneusement disposées au sol qu'il faut souffler afin qu'elles s'envolent et libèrent un trésor, ou de tout un tas d'autres plantes tropicales. Au final, pour une grande première, Retro Studios pourrait bien nous avoir concocté le meilleur jeu de la Wii à ce jour, toute une performance.

En attente d’un Ace Combat depuis maintenant plus de 3 ans, les amateurs de batailles aériennes avaient jeté leur dévolu sur une toute nouvelle franchise signée Ubisoft, Tom Clancy’s HAWX. Après un premier épisode plutôt satisfaisant sorti en 2009, la série faisait son grand retour sur les plateformes HD et sur PC en 2010 dans un volet intitulé simplement Tom Clancy’s HAWX 2. Une nouvelle fois confié à Ubisoft Roumanie, le titre pourra-t-il rivaliser avec son prédécesseur, tout en profitant de quelques améliorations indispensables ?

Comme bien souvent dans un Tom Clancy, l’histoire s’amorce alors qu’un conflit imaginaire éclate au Moyen-Orient. Un groupe terroriste pour l’heure méconnu s’est récemment emparé de quelques ogives Russes et désire faire porter le chapeau aux membres de l’OTAN, histoire de voir les géants de ce monde se lancer dans une guerre qui s’annonce sans merci. Bien que Tom Clancy’s HAWX 2 ne s’en sorte pas particulièrement bien grâce à son scénario légèrement tiré par les cheveux, celui-ci réalise un petit coup de maître en proposant de vivre les nombreux événements qui entourent ce conflit dans la peau d’un pilote de l’armée américaine, russe et écossaise. Un petit plus qui ne fait malheureusement pas oublier une mise en scène manquant cruellement de pep’s, notamment à l’approche d’une mission cruciale.

Des missions qui s’avèrent particulièrement plaisantes par leur intensité, puisqu’offrants des objectifs divers et variés et de nombreux rebondissements pouvant parfois intervenir en plein milieu d’un affrontement. En plus d’opérations offensives ou il nous faut, entre autres, venir à bout d’un escadron en plein vol, détruire une base ennemie ou tout simplement exterminer un convoi bien planqué en montagne, Tom Clancy’s HAWX 2 offre un large choix de missions originales, principalement défensives et furtives, mais également d’observation. En effet, le pilotage n’est pas la seule et unique tâche qui nous est confiée dans cet épisode, grâce notamment à la présence de missions d’espionnage dans lesquelles le but est tout simplement de prendre des clichés précis afin de repérer une cible, mais aussi d’opérations de sauvetage ou l’objectif consiste à permettre à une unité au sol de fuir la zone en bombardant littéralement à partir d’un point surélevé toutes les installations ennemies, des tourelles aux convois en passant par une partie de sa flotte. Bien entendu, d’autres missions plus légères sont proposées tout au long de Tom Clancy’s HAWX 2, à commencer par l’indispensable ravitaillement en plus vol nécessitant une grande précision et une gestion de la vitesse.



Facile à prendre en main, Tom Clancy’s HAWX 2 risque de décevoir bon nombre de joueurs expérimentés en calquant le système de contrôle de son prédécesseur, apportant notamment une aide pas forcément toujours nécessaire au niveau du pilotage, principalement lors des combats. Les joueurs débutants seront quant à eux ravis de découvrir un petit tutoriel permettant de maîtriser les bases, d’esquiver certaines attaques et bien sur d’attaquer à la mitraillette, comme aux missiles. Bonne nouvelle cependant, Ubisoft Bucarest a eu la brillante idée d’ajouter des séquences de décollages et d’atterrissages à ce second volet, histoire de pimenter un peu plus l’aventure et de rendre celle-ci bien plus réelle. Alors que la plupart des décollages s’avèrent bien trop simplistes, qu’ils se déroulent sur la terre ferme ou sur un porte avion, les atterrissages nécessitent quant à eux bien plus de concentration, une gestion de la vitesse, du positionnement de l’appareil et bien entendu obligent à ne pas oublier de sortir un élément indispensable, le train d’atterrissage … un crash étant si vite arrivé.

Techniquement, le titre d’Ubisoft s’en sort plutôt bien, que ce soit au niveau des graphismes que des animations, cela malgré certains environnements bâcles, des détails mis de côté et de légers ralentissements. Tom Clancy’s HAWX 2 nous fait donc voyager un peu partout à travers le globe, de nuit comme de jour, au milieu des montagnes enneigées, des vastes plaines verdoyantes, mais aussi au dessus de l’océan à de nombreuses occasion. Les appareils, reproduits à l’identique, combleront également les passionnés belles carlingues, ces mêmes mordus qui auront également la chance de découvrir des appareils jamais vus auparavant, sortis de l’imagination débordante des développeurs.

Intéressant sans toutefois atteindre la perfection, Tom Clancy’s HAWX 2 offre de bonnes sensations, aussi bien au niveau du pilotage que de l’immersion en plein cœur du conflit. Offrant une prise en main relativement simple, peut être même trop, Tom Clancy’s HAWX 2 s’en sort remarquablement par ses missions diverses et variées et ses vastes environnements à couper le souffle.

Note finale : 7.3/10

Près de 10 ans après la sortie de Kirby : The Crystal Shards sur Nintendo 64, la série Kirby, marquée entre temps par un épisode GameCube tombé aux oubliettes et une flopée de volets portatifs, profite enfin d’un titre original, le premier jeu de la Wii à mettre à l’honneur la petite boule rose, si l’on met de côté les nombreux opus Console Virtuelle disponibles à ce jour. Développé par les créateurs de Wario Land : The Shake Dimension et le studio Good-Feel, Kirby’s Epic Yarn profite toutefois des connaissances de certains employés de HAL Laboratory, des maîtres en la matière.

En raison de son appétit féroce le poussant à dévorer tout et n’importe quoi, Kirby se retrouve transporté dans un monde étonnant, le Pays de la Courtepointe, un univers dirigé par le redoutable Maillalenvers, dans lequel il fait la rencontre de PonPon, un personnage unique en son genre dont l’aide s’avérera extrêmement précieuse. Désormais uniquement composé de fils de laine, Kirby ne pourra plus compter sur son souffle pour venir à bout de ses ennemis et profitera d’un simple fil étoilé, qui s’avèrera bien plus utile que prévu, afin de mener sa quête jusqu’à son terme. Bien entendu, Kirby n’est pas le seul composé de ce nouveau matériel pouvant être dé-zippé, déboutonné, mais également modifié de bien des façons.

Après un tutoriel expliquant brièvement les possibilités offertes à notre personnage, Kirby’s Epic Yarn nous plonge dans une sorte de map monde représentée par une petite ville et ses alentours ou sont disposées différentes portes menant vers les multiples niveaux de cette aventure. Quelques bestioles viendront pimenter timidement la traversée d’un niveau, bien que la principale attraction reste l’exploration et la découverte de certains passages secrets regorgeant de perles indispensables pour la suite de l’aventure. En effet, difficile de se perdre, d’oublier un élément, ou tout simplement de mourir dans ce Kirby’s Epic Yarn qui offre un niveau de difficulté qui ravira sans aucun doute les plus jeunes et les moins expérimentés, mais qui risque bien vite de fatiguer les joueurs les plus doués. Étonnamment, point de vie ni de mort, seules les perles obtenues à travers le niveau en cours s’éparpillent aux pieds de la petite boule rose lorsque celle-ci se fait toucher.



Jouable avec la Wiimote positionnée à la verticale, et seulement deux boutons mis à profit, le titre reste donc accessible à tous, puisque seuls quelques boss pourront parfois poser des soucis aux moins habitués. Malgré tout, les nombreuses transformations de Kirby, en tank, en planche de surf ou en sous-marin, apportent un petit coup de boost au gameplay en obligeant le joueur à s’adapter rapidement à une situation bien souvent cocasse. De plus, un mode de jeu en coopération à deux joueurs est mis à disposition, rendant le titre encore plus facile, mais bien plus fun, les deux compères ayant la possibilité de réaliser quelques petites actions disponibles uniquement en duo, notamment lors des transformations ou chacun contrôlera une partie du mécanisme. Fort heureusement, la durée de vie du titre s’allonge grâce à la récolte d’objets et de perles servants à embellir l’appartement de Kirby, mais permettant également de débloquer des stages additionnels et des quêtes secondaires.

Toutefois, Good-Feel s’en sort particulièrement bien sur un plan plus technique, au niveau des animations et des graphismes. D’une fluidité surprenante, Kirby’s Epic Yarn ne faiblit jamais, sous la surface ou dans les airs, en pleine séquence de déboutonnage ou de reconstruction, cet épisode éblouit par sa fraicheur et son univers coloré. Difficile au final de se perdre dans ce monde ou tout semble réalisable, dirigé par un scénario bien ficelé, tout droit sorti des livres de notre enfance, et quelques cinématiques parfaitement réalisées.

Prometteur au premier abord, Kirby’s Epic Yarn souffre toutefois d’un niveau de difficulté et d’une durée de vie qui risquent de marquer les mémoires. Extrêmement simpliste, le titre parvient toutefois à nous faire voyager à travers un monde coloré, habité de personnages attachants et de créatures amusantes, de quoi combler les parents souhaitant faire découvrir la série aux plus jeunes enfants.

Note finale : 7/10

A l'occasion de la sortie nord-américaine du périphérique Kinect, la presse canadienne était invitée mercredi dernier au club La Mouche pour une soirée VIP et la découverte, la seconde pour ma part, des premiers jeux compatibles Kinect. Quatre jeux étaient mis en avant par l'équipe en charge de l'animation, Kinect Sports, Kinect Adventures, Dance Central et enfin Your Shape Fitness Evolved d'Ubisoft.

'Notre boutique Montréalaise spécialement dédiée à Kinect attire plus de 4.000 personnes par jour,' déclarait l'un des employés, tandis que le responsable de Xbox au Canada nous affirmait qu'il sera difficile de trouver un exemplaire de Kinect dans les heures qui suivront le lancement. 'Les rumeurs concernant les stocks limités sont fausses. À l'approche de Thanksgiving et de Noël, Microsoft ne peut se permettre une telle approche.'

Poursuivons notre petit tour du stand Microsoft avec maintenant des images de l’un des blockbusters de cette fin d’année, le très attendu jeu de rôles du studio Lionhead, un titre connu sous le nom de Fable III. Exclusif à la Xbox 360 bien que prévu sur PC à une date indéterminée, Fable III reprendra les grandes lignes des précédents opus tout en prenant place dans un univers plus mature et plus complexe. Disposant également d’un mode de jeu en coopération bien plus poussé, Fable III devrait sans aucun doute possible ravir les fans de la franchise.

Montré au cours de la conférence de presse de Microsoft, Child of Eden, le prochain jeu de Testuya Mizuguchi, le fondateur du studio Q Entertainment, se dévoile davantage au travers d’une nouvelle salve d’images. Programmé pour 2011 et édité par Ubisoft, Child of Eden s’affirme comme un titre dans la lignée de Rez, à l’exception que celui-ci sera compatible PlayStation Move et Kinect.

Ubisoft profite à son tour du Tokyo Game Show pour nous présenter le mode solo de Assassin’s Creed Brotherhood, le troisième épisode de la franchise, le second mettant à l’honneur le personnage d’Ezio. Prévu pour le 18 novembre en Europe sur Xbox 360 et PlayStation 3, pour 2011 sur PC, Assassin’s Creed Brotherhood sera le premier opus à offrir une option de jeu en multijoueur.

Comme beaucoup le savent, Nintendo annoncera le 29 septembre prochain la date de sortie japonaise de la Nintendo 3DS, ainsi que son prix. Aujourd’hui, le journal nippon Asahi Shinbun (second plus gros tirage de l’archipel) consacre plusieurs de ses pages aux 25 ans de Mario, tout en annonçant qu’un nouveau Paper Mario, celui en préparation sur Nintendo 3DS, sera commercialisé cette année au Pays du Soleil Levant. Une information qui semble confirmer d’autres rumeurs affirmant que la Nintendo 3DS sera disponible courant novembre au Japon.

Ubisoft a donc profité de la Penny Arcade Expo pour nous livrer les premières informations sur Outland, un jeu de plateforme au style graphique prometteur qui devrait ravir les fans de jeux de plateforme. En effet, Outland peut être décrit comme le croisement entre un ancien jeu de plateforme, comme Prince of Persia, et sur le plan de l'ambiance comme certains shoot’em up tels que Ikaruga. Vous contrôlez un jeune garçon très habile tandis qu’il explore une jungle danse et luxuriante dans un monde en 2D, bien qu’un effet de profondeur soit visible grâce aux multiples décors en arrière plan. Sortie prévue sur le Xbox Live et le PlayStation Network à une date indéterminée.