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Il y a dans tes yeux ce que nul homme ne peut expliquer.
Comment écrit-on les déceptions, déjà?
Il existe un pays où les arbres sont bleus et où les gens s'aiment.
Il existe un pays qui a d'autres lois que les nôtres.
Il existe un endroit où l'anarchie est de règle.
J'aimerais voir plus loin, mais les obsessions sont toutes les mêmes: elles limitent nos sens et notre perception à une seule et unique chose.
Ce n'est pas une princesse c'est un samouraï.
Ce n'est pas une fleur c'est un regard.
En écriture, je fixe mes propres règles. Je pense plus vite que la plume. C'est un diamant éxédentaire; les exédents sont gâchés par encore la réalité. Par lenteur.
Oublier, enfouir, retrouver sa fierté. Pour lui, lui était l'humanité.
Il me désespère de ne jamais oser et lamenter l'absence d'amour que j'inspire car j'en inspire et je le rend; mais jamais à ceux qui m'en inspirent en premier sans me le rendre tout à fait. Ils le font miroiter pour que jamais je ne renonce; et l'espoir le plus fou plaide aux causes irrationnelles.
Je réfléchis trop car je surestime le monde.
Et par ennui, trous à remplir; un jour un homme découvre que les pierres sont de couleurs grises; mais si encore aujourd'hui il respire, c'est que le temps détruit les plus durs lentement et les plus faibles en sursauts succins.
Je dénonce mon manque de chance évident!
Car c'est cette feinte indifférence qui me plaît tant, l'instrument de ma torture la plus infâme est aussi la raison de mon amour si fort. Freud a raison: les femmes sont masochistes.
Et totalement irrationnelles: j'aime ce que je hais le plus dans celui que j'aime; et le désespoir qui vient après n'est que le fils qu'engendre l'indifférence; l'indifférence, ma torture ultime, mon aversion infinie, mariée à tout le reste.
Mais voilà qu'ayant trompé assez l'ennui et la réalité (un jour je connaitrais la différence: enfin deux espoirs quand ils sont si peu nourris ne valent pas très chers), je tombe d'une fatigue physique.
J'aimerais juste l'entre'apercevoir, à peine le sentir davantage qu'un miroitement. Ce que je cherche à expliquer, ce n'est rien d'autre qu'un amour passionel et enragé; pour le calmer il aurait suffit d'être partagé, mais alors il aurait perdu toute sa fureur; qu'importe, qu'importe, qu'importe! Pourquoi ai-je donné la mort à celui que j'aimais? Parce que sa mort a permis une parcelle de vérité d'amour! Parce que je pouvais pleurer son absence sur son lit de mort, comme une vraie amoureuse, en oubliant de dissimuler l'ampleur de mes expressions.
Dévaler la pente sans aucune retenue, ça ça m'aurait plu!
Je n'ai pu t'écrire en musique...je t'écris en mots.

Well I heard there was a secret chord
that David played and it pleased the Lord
But you don't really care for music, do you?
Well it goes like this:
The fourth, the fifth, the minor fall and the major lift
The baffled king composing Hallelujah

Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah

Well your faith was strong but you needed proof
You saw her bathing on the roof
Her beauty and the moonlight overthrew you
She tied you to her kitchen chair
She broke your throne and she cut your hair
And from your lips she drew the Hallelujah

Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah

Well Baby I've been here before
I've seen this room and i've walked this floor,
I used to live alone before I knew you
And I've seen your flag on the marble arch
But love is not a victory march
It's a cold and it's a broken Hallelujah

Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah

Well there was a time when you let me know
What's really going on below
But now you never show that to me do you
But remember when I moved in you
And the holy dove was moving too
And every breath we drew was Hallelujah

Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah

Maybe there is a God above
But all I've ever learned from love
Was how to shoot somebody who outdrew you
And it's not a cry that you hear at night
It's not somebody who's seen the light
It's a cold and it's a broken Hallelujah
Hallelujah Hallelujah Hallelujah Hallelujah