Un vieux poême à moua...
Les filles
D’une beauté rare et
D’une sagesse sans égale
C’est un fait aussi vrai
Que la douceur du sable
Elles sont aussi douces
Qu’une jeune pousse
Qui, magnifique, fleurit
Au milieu d’une terre sans vie
Leur cœur n’est pas de pierre
Et elle sont seul sur cette terre
A ressentir la vraie douleur
Des guerres sans valeur
Leurs puretés d’esprit
Fait penser a un paradis
Blanc de nuage
Et magnifique de paysage
La plus belle création
Du monde dont
Il doit être
Le plus fier
La déesse réincarnée
Est difficile à distinguer
Car devant tant
de perfection et d’émerveillement
On reste de pierre
Même face au vents déchaînés de la mer.
Elles nous sont indispensables
Et indissociable
La vie sans elles
C’est comme une vie sans querelle
On ne pourrai pas
Et c’est tant mieux comme ça !

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publié le 30/04/2006 à 19:47 par
imagine