Liserais, liserais, m'entends-tu, si près, j'ai peur de toi
Blancheur, blancheur, cristal fin et fragile, comme la pureté qu'on oublie
Les jours ne sont plus que le néant, je pleure le temps, car je te vois
Si près de moi, barrières de larmes, je pleure car je ne t'atteinds pas.
Cerisiers de verre parsemés et détruits, deumerez encore mon coeur
Je ne suis que l'esclave de ton âme et de mon tant attendu bonheur
Désir que la nuit noire rends plus douloureux et particulier
L'innocence qu'on a tuée, le soleil du desert me laisse te vénerer
Sèche comme mes lèvres quand tous les jours, je me mets à t'aimer
Le charisme du lendemain devient certain; tant qu'il est entre tes mains
Larmes qu'on verse pour toi, s'il te plaît, libère-moi
Je hais être enfermée; les ténèbres sont trop profondes
Carnage, carnage, carnage des fleurs de verre blond
Admire toujours mon cadavre, car il porte en lui la passion
De ta chair, de tes entrailles, tu n'es rien d'autre qu'un être humain
Alors, si l'envie te prends, fouille et refoule ma charogne
Trouve à travers le sang coagulé, mon triste coeur
Que tu as su dévorer sans pour autant
L'aimer un seul instant.
...

je vous renvoe le compliment puissance 10