je vous avait prévenus! je vous offre un merveilleu cadeau, encore un texte indigeste, con et inintéressant de ma création...ceci étant le sujet traité est un sujet grave et d'actualité. vous verrez
Bon au boulot. Enfin façon de parler, vu que si je voulais vraiment me mettre au boulot je rouvrirai mon labo de physique pour le finir mais j’ai une putain de flemme qui m’empêche de faire quoi que ce soit. Sauf d’écrire des conneries, bien sur. Mais je vais tenter de faire mieux qu’écrire des conneries, exercice qui est à la portée du premier con venu, mais je vais écrire strictement rien. Rien d’intéressant du moins. Bon, par quoi je commence, l’historie complète en 32 chapitres de mon brossage de dents, ou bien le récit passionnant du rangement de ma chambre ? Bon d’accord, d’accord, je vais écrire des conneries…sauf que la je suis face a un dilemme. Mon inspiration qui était prête a ne rien écrire, se bloque quand il s’agit d’écrire des conneries. Peut être suis-je en train de devenir moins con ???.............................

vous y avez cru hein…
Plus sérieusement, je vient a vous avec une question a la fois simple et compliquée. Une question aux implications philosophiques et technologiques importantes. Le thème de cette interrogation profonde et subtile m’est venu hier midi. Alors que mes amis et moi-même allions en sautillant gaiement vers la liberté du temps de midi. Nous profitions pleinement de ce soleil merveilleux. The sun was shinning, the birds were birding. Et nous voici déjà arrivés a la sandwicherie. A ce point j’aimerais m’interrompre une minute. Et je tient à m’excuser de faire traîner ce texte en longueur, mais bon je me voit dans l’obligation indiscutable de prolonger ce texte (et par la même occasion votre indescriptible calvaire) le plus possible, et ceci au mépris profond de votre amusement et de la joie de votre lecture. Bon, comme je le disait précédemment avant de m’interrompre pour vous expliquer ce que je vous ai expliqué, nous voici arrivés devant la sandwicherie. Notre intention première étant bien évidemment d’acheter puis de déguster un sandwich, nous entrâmes plein de gaietés dans le temple du sandwich. Après avoir commandé et rémunérer le dur labeur de la sandwicheuse, nous voici repartis, la tête déjà ailleurs, vers des horizons et des magasins de jeux vidéos lointains. Nous flânons quelques minutes, avant d’être pris en traître par le problème dont je vous parlais précédemment et que j’ai mis tout ce temps à introduire. En effet, arrivés au terme de nos sandwichs (pour ma part un double hamburger sauce cocktail avec oignons et frites) nous avons observé un phénomène étrange, inévitable, récurant et incroyablement chiant. Il est en effet impossible de finir son sandwich sans s’en mettre la moitié sur les doigts. Le dernier morceau e sandwich résiste encore plus, comme la dernière citadelle, il tente de résister a l’assaut répété de nos mâchoires. Fuyant sous les coups, la farce (comprenez le contenu du sandwich) se fait la malle et refuse de se laisser bouffer. Après quelques minutes, on en a marre de jouer au chat et à la souris, et on finit par engloutir le sandwich d’un coup. Ce qui remplis toute la cavité buccale, empêche tout dialogue et donne un air vraiment très con. Si one se décide pas a faire ce sacrifice, il est possible que la farce se carapate et prenne la poudre d’escampette. Comprenez par la qu’elle quitte le sandwich pour être expulsé au loin. Ce problème existe aussi pour les sandwichs aux frites (communément appelés mitraillettes). Le nom mitraillette est d’ailleurs bien porté. Je me rappellerai toujours de cet épisode de l’année passée, ou l’un de mes amis avaient, à la fin de sa mitraillette, expulser involontairement une frite pleine de sauce directement dans le chemisier d’une pauvre jeune fille, entre ses seins.
La question est donc la suivante : pourquoi aucun ingénieur, aucun mathématicien ne s’est pencher sur la question ? Pourquoi n’existe-t-il pas une marque de sandwich garantis sans risques ? Un grand slogan ‘’ne déborde pas et ne menace pas le chemisier des filles’’. Pourquoi aucun moine bouddhiste n’a-t-il écrit un livre de 500 pages sur comment manger son sandwich ? Cela démontre un désintérêt total, et voulu du problème international des sandwichs. Car riches, pauvres, malades ou en bonne santé, personne n’est à l’abris de ce terrible fléau.
voila voilu, c'est fini pour aujourd'hui. désolé, pas de poèmes ce soir, vu que je n'ai pas eu d'heures détudes aujourd'hui (normal on est samedi...)