Encore une fois, Nintendo prouve le support étroit des éditeurs tiers à l'égard de leur console portable. C'est ainsi que Capcom se retrouve une fois de plus, à développer/concevoir un tout nouveau jeu, une toute nouvelle aventure à notre valeureux petit homme aux oreilles pointues.
Après les deux derniers essaies sur Game Boy Colors, qui ont mené aux deux épisodes, The Legends of Zelda : Oracle of Ages/Seasons, Capcom remet son génie à l'oeuvre dans une histoire épique, au déroulement attendu, c'est-à-dire que Link devra une fois de plus sauver la princesse Zelda.
Que la légende continue..
Il y a longtemps, très longtemps lorsque le royaume entier était sur le point d'être ravagé par l'ombre des ténèbres.. de miniscules petites créatures apparuent du ciel, apportant les secrets qui poururrent reforger la lame. C'est avec sagesse et courage que le héros fut conduit hors de l'obscurité. À la toute fin, lorsque les démons et les créatures diaboliques furent repoussés dans les ténèbres, le peuple d'Hyrule retrouva la paisible harmonie de vivre dans la paix et la joie.
Notre petit lutin vert se fait invité au festival annuel, la fête des picoris, par la très belle princesse, Zelda.Histoire d'amour dès le départ? Tout marche sur des roulettes jusqu'à ce qu'un imprévu vient chambraler ce festival en l'honneur de ces petites bestioles, les Minishs, Vaati brisa l'épée et par le fait même relachat toutes les créatures les plus démoniaques que dangereuses dans le royaume d'Hyrule. Au même moment, il changea la princesse en pierre et disparu laissant la fête à sa perte...
Graphique : Nintendo aime bien rentabiliser ses oeuvres, par le fait même ses moteurs graphiques. Peut-on penser qu'ils ont passer le mot à Capcom? Chose certaine The Legends of Zelda : The Minish's Cap s'expose à cette théorie en empruntant plusieurs éléments d'épisodes précédants, notament Four Swords parrut derrièrement sur console de salon.
Son : Une symphonie qui est toujours aussi magistrale mais qui reste encore une fois restreinte au trame sonore de la lignée précédente. En ce qui traite aux bruitages, nous en avons pour notre argent, dumoins pour ce que la console peut nous offrir.
Jouabilité : Petit bémol, les boutons L et R sous-utilisés ce qui cause grand problème lorsqu'il faut utiliser rapidement des objets de manière continue en phase de combat. Aurons nous droit à des combots ultérieurement ? Possible, mais pour cet épisode il s'agit de choisir quels objets à mettre dans chacuns des boutons A et B. Ensuite, il y a les flèches pour se diriger, le bouton R pour faire des pirouettes, le bouton START pour accèder à l'inventaire, voir la carte, regarder là où nous en sommes. Une fois perdu, il s'agit d'appuyer sur SELECT pour demander de l'aide à notre valereux chapeau.
Durée de vie : Une quête principalement courte, qui m'a menée à pas loin d'une quinzaine d'heures de jeu, ce qui franchement correct. Ajouté à ceci une dizaine d'heures pour accomplir toutes les quêtes secondaires, à noté que bien que les Fragments de Bonheur rallongent la durée du jeu, ils ne sont pas indispensables pour agrémenter le bonheur de jouer à cet épisode.
Conclusion : Ce jeu représente un must sur console portable, un jeu qui a du grand potentil et qui mérite sa place dans les incontourables, ou si vous préférez, dans les jeux à ne pas manquer. Riche de nouveaux éléments, le monde des picoris, et d'anciens éléments d'épisodes précédants, ce Zelda se classe facilement parmis les meilleurs de la saga.

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publié le 12/10/2005 à 23:32 par
minish