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    tags : capitalisme obélix vaincus alexis bréviaire hassler
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    jumpman, xxxxxxxx
    posted the 04/04/2013 at 07:45 PM by alfouxlf
    comments (9)
    galneryus posted the 04/04/2013 at 08:00 PM
    Pourquoi faire toute une réfléxion sur un fait aussi logique? Même un enfant de 10 ans aurait compris ça (avec ses propres mots).
    C'est le reproche que je fais aux philosophes et autres intellectuels. Ils pensent et écrivent trop pour dire des choses tout à fait simples!
    galneryus posted the 04/04/2013 at 08:02 PM
    Je salue tout de même ton sens de la rédaction!
    ripley posted the 04/04/2013 at 10:08 PM
    Je comprend le but d'écrire des pavets pour avoir 2 commentaires
    jeanouillz posted the 04/04/2013 at 10:54 PM
    Il faut réfléchir c'est pour ça, ça vous dépasse les gars
    denim posted the 04/05/2013 at 10:38 AM
    "La Demande est forte, l'Offre suit. Seulement, l'Offre étant trop importante pour Obélix seul, il va employer d'autres habitants du village pour chasser pour lui ou tailler des menhirs. "

    Tu veux plutôt dire que la forte demande oblige Obelix a employer. Si l'offre est trop important, Obelix n'est pas obliger de produire plus. D'ailleurs, si l'offre devient plus important que la demande, il finira par dépenser de l'argent et non pas en gagner. Il a seulement besoin de produire plus au moment que les villageois arrêtent d’acheter parce que le produit est trop chers. Apres, la notion des chutes. Les cours chutent, pas parce que l'offre ne satisfait pas la demande, mais le contraire: la demande ne satisfait pas l'offre. Donc l’entrepreneur ne vend pas, et l'entreprise ferme.

    "S'il y a un enseignement à tirer, c'est que la force réside dans le groupe et que les dissensions offrent une route royale au libéralisme économique. C'est en divisant le village gaulois en entreprises concurrentielles, en groupes sociaux divergents, que le pouvoir romain gagne momentanément sa bataille."

    mouais...je vois pas en quoi le libéralisme interdit la notion de groupe ou de syndicat. Si deux ou plusieurs se regroupe pour faire et investir dans un projet, on est dans un model libéral. De plus, la concurrence évite le monopole et la centralisation. Sans concurrence, il n'y a ni évolution, ni de liberté. Et me venez pas avec l'histoire des réglementations, ou d’État stratège. Les législateurs favoriseront tj leurs propres intérêts. Pour les syndicats, on voit bien le problème: le syndicalisme centralisé amènent des combats idéologiques, en lieu de protéger le syndiquer.

    "Qu'importe l'étiquette du moment que l'on s'indigne du système tentaculaire Goldman Sachs, que l'on décide de punir les grands groupes pratiquant l'évasion fiscale (comme Amazon) en favorisant le libraire indépendant de sa ville, de demander et d'aider des coopératives agricoles pour dynamiser un tissu économique local (et sain d'un point de vue sanitaire) au détriment de l'industrie agro-alimentaire, etc."

    c'est exactement ça le libéralisme. Les libéraux de l’École autrichienne stipule que le marche est régis par les actions économiques (travail, consommation, ect...) de chaque individu. Le libéralisme permet a chaque individu a faire des choix. D'un point de vue marxiste, comme tu dis, si les consommateurs (la base) décident d’arrêter sur amazon (la structure), celle-ci fait faillite. De la même façon qu'on voit aujourd'hui que le bio est devenu une structure de la société, parce que bcp plus d'individus achètent de ces produits. Et c'est la meme chose pour GS et les banques. Si elles ont prit tellement d'importance, c'est parce que les individus leurs ont donne de l'importance (avec le crédit facile, ne pas faire attention sur ou ils investissaient, ect...)
    alfouxlf posted the 04/15/2013 at 06:36 PM
    Sacré Chinomamida, tu es très drôle...enfin j'espère que tu fais de l'humour parce que sinon je m'inquiète.

    Kratospheric, tu écris peut-être (je n'en sais rien mais je m'en fous) pour avoir deux commentaires. J'écris pour diffuser une réflexion. Je ne suis pas dans la récolte de commentaires mais l'essaimage.

    Ce que je préconise Denim, c'est un retour à un système stable, sain et plus modeste. Pourquoi s'endetter avec des crédits ? Etc...Je pense que l'on peut retrouver dans un mode de vie plus simple un mode de vie plus sain déjouant les effets pervers des grands groupes et d'un libéralisme pleinement débridé.

    Sinon, je ne dis pas que le libéralisme interdit le groupe mais il amène à de la division. Au début, le village est soudé (contre l'Empereur), avec la société de consommation, il est divisé car on a introduit dans le groupe la notion de concurrence (des entreprises). Le libéralisme prône le clivage car le clivage divise le groupe originel et favorise l'imposition d'une stratégie globale.

    Oui, je voulais dire que la forte demande oblige Obélix à employer.
    denim posted the 04/15/2013 at 08:13 PM
    Ce que je préconise Denim, c'est un retour à un système stable, sain et plus modeste. Pourquoi s'endetter avec des crédits ?"

    Je suis en rien d'accord avec le système du crédit. Je dis juste que le problème ne vient pas du système, mais de la base qui fait vivre le système. Je le signe: je préfère mourir locataire plutôt que d'emprunter. Le problème du système que t'appelle libéralisme (ce qui pour moi, ne l'est pas), comme tout système, est un problème d'anthropoligie. Et le système de crédit existe uniquement grâce a l'Etat. Si l'Etat n'applique pas de politique inflationniste, le marche n'a pas un surplus de liquidité et donc les banques ne peuvent pas faire du crédit au bon vouloir du citoyen

    "Au début, le village est soudé (contre l'Empereur), avec la société de consommation, il est divisé car on a introduit dans le groupe la notion de concurrence (des entreprises)."

    La concurrence (a mes yeux) est nécessaire pour faire avancer l’humanité. S'il n'y avait pas de concurrence, je ne penses pas qu'il y aurait de gens qui s'emmerderait a faire avancer la société. Apres, c'est comme la discussion de l’œuf et de la poule, on aura jamais une réponse définitif. Mais d’après ce que j'ai lu, vu et vécu, je préfère avoir une société avec une notion de concurrence non violente, plutôt qu'une société base sur le partage. En portugais, il y a un proverbe qui dit "Quem parte e reparte e não fica com a melhor parte ou é tolo ou não tem arte". En gros, ça veut dire "qui partage et ne reste pas avec le meilleur morceau, soit il est con, soit il n'a pas la 'manière' " (difficile a traduire). Celui qui partage reste souvent avec le meilleur morceau. Le partage équitable (tout comme la société sois-disant égalitaire) n'existe pas: il y a tj qql qui se fait couillonner (et généralement le plus pauvre)

    "Le libéralisme prône le clivage car le clivage divise le groupe originel et favorise l'imposition d'une stratégie globale."

    Ce n'est pas le système qui prône. Vu que le système est la conséquence des actes de la base (individus). Tu peux avoir une penser libérale et anti-état, mais estimer qu'avec l'argent que tu as gagner, tu va construire une école. Dans un système libéral, personne ne va te l'interdire. Tant que dans un système etatique religieux, communiste ou fasciste, on va te mettre énormément de bâton dans les roues.
    denim posted the 04/15/2013 at 08:25 PM
    d'ailleurs, pour continuer dans cette notion d'anthropologie, le prix d'un bien est définit par le coût de production, le bénéfice a faire, mais aussi le montant d'argent que la population est dispose a dépenser pour acquérir ce bien (sans oublier l'inflation). Par exemple si un objet coûte 500€ et ne ce vend pas, l'entreprise baissera son coût. Ce qui pourra incite le consommateur a acheter, si celui-ci estime que le prix est raisonnable. Mais bien évidement, le consommateur doit aussi jouer le jeu, et comprendre que l'entreprise doit faire du bénéfice.
    alfouxlf posted the 04/25/2013 at 08:48 PM
    Ta vision est un peu courte sur l'Etat. S'il y a inflation de l'Etat c'est aussi parce qu'il y a pression des banques. Un exemple, la fameuse dette des états. On sait tous que tout cela est virtuel et, pour le dire vite, de la connerie. La Goldman Sachs, par exemple, a spéculé sur la dette grecque. Du coup, l'Etat mène une politique d'austérité (chômage + inflation...), on critique l'Etat mais encore une fois la critique est un peu rapide. Ce que je veux dire, si on s'intéresse à l'économie, c'est que les pays acceptent un modèle économique libéral, fondé sur la segmentation des crédits, etc...Je ne dédouane pas l'Etat, je dis juste qu'il ne faut pas oublier qu'un pays s'inscrit dans un système économique modelé par des trusts financiers.

    Sur la question du partage, en effet on va arriver sur un os : l'homme. Je suis pessimiste mais je pense qu'il est possible de fonctionner sur un modèle d'échange et de travaux collectifs (certaines tâches peuvent être accomplis par un grand nombre). Mais, car il y a un "mais", à petite échelle. La concurrence n'est pas mauvaise en soi, elle est stimulatrice, jusqu'à un certain point. Car elle peut entraîner une course à la baisse de prix (donc à la baisse de qualité), etc.

    Bref, sur le libéralisme ma thèse est valide. Le libéralisme veut la circulation des capitaux et des hommes, sans entraves. Mobiliser l'attention sur autre chose, comme une petite question sociétale, c'est une bonne tactique.