C’est vrai qu’au bréviaire on ne cite pas vraiment de poètes. Je tenais donc à réparer cette faute en en mettant un en avant aujourd’hui. Illustre bonhomme, nébuleux car le réel et le mythe se mêlent jusqu’à la confusion lorsqu’on cherche à le saisir, je parle bien sûr de
Rutebeuf. Chanté par Léo Ferré, la poésie de Rutebeuf a quelque chose de magique. Non pas mystique ou onirique, elle nous touche par son efficacité, sa langue si marquée et son envie de se frotter un peu à d’autres sujets que la religion, dominante dans le domaine de la création à son époque.
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http://breviairedesvaincus.blogspot.com/2011/05/extrait-rutebeuf-et-la-pauvrete.html
posted the 05/05/2011 at 02:13 PM by
alfouxlf