Grâce au récent spectacle de Fabrice Luchini au théâtre de l’atelier, à Paris, le « grand public » découvre ou redécouvre la prose du regretté
Philippe Muray. Pourfendeur de
l’homo festivus, ou du « tout festif », anti-moderne par excellence, l’essayiste français savait, avec un style ciselé bien que maniéré parfois, un peu tricoteur sur les bords dans ses développements, s’attaquer aux vaches sacrées de son temps. La gauche incapable de régler les vrais problèmes économiques, les politiciens de face comme Ségolène Royal, la misère amoureuse de nos contemporaines, etc.
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posted the 03/29/2011 at 09:26 AM by
alfouxlf