Comme on l'a appris récemment, le nombre de voitures de GT5 a officiellement dépassé les 1000. Mais malgré la durée du développement, toutes ne seront pas à égalité face à la gestion des dégâts. Ce garage de 1000 voitures est donc scindé en deux parties : les 800 voitures Standard, c'est à dire le catalogue des précédents Gran Turismo mis au niveau graphique de GT5, souffriront d'une détérioration visuelle, comme la salissure (il sera possible de passer au car-wash) et les éraflures. Les collisions les plus fortes engendreront bien des tonneaux spectaculaires, mais ces 800 voitures ne se verront pas partir en miettes. La déformation du véhicule est réservée aux 200 élues de la catégorie Premium. En plus de ça, ces véhicules ont été complètement modélisés de l'intérieur avec un souci du détail jamais atteint dans un jeu vidéo (un comparatif avec la réalité est disponible sur cette page). Les Premium sont aussi les seules à bénéficier des pleins phares. Toutefois, les dégâts de performance affectent bien la totalité du catalogue, et pas seulement les Premiums. Un taux de dégâts trop élevé pourra influencer et déteriorer la conduite, la voiture devenant instable en ligne droite et dans les virages.

Résumé simplement :

- Voitures Standard (800) : dégâts de performance et dégâts de surface (éraflure, bosselure, poussière).
- Voitures Premium (200) : la même chose, mais avec la déformation et la dislocation du véhicule en plus.

Ce chapitre étant maintenant clair, reste à contempler cet énorme flot de visuels, avec notamment les nouveaux circuits de Curso del Sol à Madrid, celui de Rome ou de Toscane. En bonus, la vidéo ci-dessous en remet une couche sur le degré visuel atteint par le jeu dans ses courses de nuit (la poussière soulevée par la voiture est colorée par les feux arrières) et sur la violence des accidents.

Ne reste plus qu'à attendre une date de... oh pardon, Gran Turismo 5 sort le 2 novembre