
Le roi Heenok est au rap Francophone ce que Van Damme est au cinéma : un paradigme qui défie l'entendement commun. Chacune de ses interventions et facéties valent bien plus que sa discographie complète. Comme Van Damme, il a redéfini l'idée même qu'on se faisait de la francophonie. Il a créé un slang unique et des tournure idiomatiques qui frayent allègrement avec l'amérique. Mais le Canadien va bien plus loin que son homologue Belge. Là où Van Damme est resté aware, Heenok a créé sa propre mythologie et un folklore où se téléscopent Queensbridge, Jacques Chirac, Mobb Deep, gangsterisme, pacotilles, brille-brille, coke, putes, esprit messianique et prophéties baroques.
Plus encore que son stock d'armes, la découverte de la rive sud et ses leçons de slang, c'est sa vision du monde qui fait de ce DVD une oeuvre incontournable. Une grille de lecture nécéssaire pour comprendre le monde contemporain depuis l'éffondrement des Twin Towers. Heenok est à l'analyse politique ce que Kermit était au Muppet Show, un narrateur de premier ordre qui dévoyait Miss Piggy, Fozzie, Gonzo et les autres. Heenok fait de même avec les grands de ce monde. Il est le seul a prétendre inviter à sa table Ben Laden, Bush, Village People, Big Noyd et Sarkozy.
Ce DVD propose une immersion abyssale dans le monde de Heenok et son collectif Gangtser et Gentleman. Et subsidiairement de répondre à quelques questions, non moins essentielles pour la survie du hip-hop et le bien être de l'espèce humaine. Le roi Heenok a-t-il vraiment gagné son premier million à l'age de 18 ans ? Est-il un vrai-faux gangster ou un faux-vrai MC ?
Et finalement le Roi Heenok est-il vraiment roi ?
Documentaire réalisé par Romain Gavras et Mohamed Mazouz.
Durée 1h30
Son Dolby 2.0
Un conseil:Courez l'achté!!Bande de fanatiques!
et tout le monde tombe dans le piège apparament ^^
en tout cas fullbat, tu prend a coeur ta petite manipulation des ignorant
(bon en même temps, peut-être que je me trompe sur toute la ligne, mais je pense que j'ai vu juste, j'espere) mais je pense pas que j'aurais de réponse de ta part.
Le grand gastronome romain Lucullus est le premier à en avoir parlé. Selon la légende il aurait rapporté la « perle rouge » à Rome au retour de sa campagne contre le roi du Pont Mithridate VI (vers 70 av. J.-C.). Considérant que certaines variétés de cerise moderne sont originaires d'Asie mineure, cela peut être vraisemblable. Par ailleurs, le nom italien de la cerise, ciliegia rappelle effectivement le nom de la région de Cilicie, en Asie mineure. Cependant le cerisier était déjà connu des Grecs qui le nommaient kerasion, d'après la ville aujourd'hui appelée Giresun ou Cerasonte.
En turc on désigne la cerise par le mot "kiraz" qui vient du nom antique de la ville "kerasous". En français cerise, en anglais cherry, en espagnol cereza viennent également de ce nom antique de la ville.
Jules Verne, dans un ouvrage peu connu "Kéraban-le-Têtu", fait passer ses héros le long de la mer Noire en direction d'Istanbul, ils traversent une ville nommée Kérésoum où « le cerisier abonde ». Il mentionne que le bois de ces arbres est aussi utilisé pour faire des pipes (
En France, il fut cultivé pour le commerce dès le haut moyen-âge, ses fruits délicats et sucrés étaient appréciés, mais aussi son bois, à la texture et à la finesse délicate. Cependant c'est à Louis XV, qui aimait beaucoup ce fruit, que l'on doit l'optimisation et la culture intensive du cerisier moderne. Il existe de nombreuses variétés de cerises réparties en deux catégories, les douces et les acides. Plus de deux cents variétés de cerises sont vendues sur les marchés en Europe, auxquelles il faut ajouter autant de variétés très locales, génétiquement différenciées au cours du temps, en fonction de l'acidité des sols et des divers essais de greffons.
Parmi les douces, (les cerises proprement dites) on trouve les bigarreaux qui sont des fruits doux fermes et sucrés, avec une infinité de variétés (burlat, napoléon, cerise de Céret, noire de Méched, Guillaume, Reverchon, summit, hedelfingen.Belge de VENASQUE).
Parmi les acides, on trouve les guignes à la chair molle, les griottes particulièrement acidulées, les merises, et les cerises sauvages, au nombre de trois variétés :
Les amarelles, essentiellement la cerise de Montmorency
Les griottes, dont la plus connue est la griotte du Nord
La cerise anglaise, peu consommée car très aigre