Road To Leipzig > [part 3 :Le salon]
Je vais être franc, je ne sais pas vraiment par quoi commencer dans cette troisème partie. Il y a tellement de choses à raconter et à la fois… rien du tout.
Il faut bien se lancer, alors voilà : en un mot, la Game Convention, c’est cool. A peine une demi heure de transport pour y accéder d’où nous étions, un site gigantesque, des babes avec des stands Coca Cola ou la boisson en question est gratuite et illimitée, une organisation simple et efficace… et pas mal de jeux à tester. Nous nous sommes pas mal amusés en général, et nous avons essayé quelques jeux très interessants comme WiiFit, qui nous a laissé une bonne impression.
Les goodies étaient aussi présents en masse, je ne peux même pas énumérer tout ce que nous avons rapporté à nous cinq, ils sont plus ou moins intéressants, allant du simple pin’s au t-shirt Lapins Crétins.
Il y avait aussi un stand rétro, comme celui de la Japan Expo, ou nous avons passé pas mal de temps, sur Super Mario Kart ou encore le Wario du Virtual Boy.
On a aussi rencontré un gars totalement chtarbé, qui nous a engueulé en Anglais en nous répétant : »NEVER USE THE PLUTONIUM IN YOUR HEAD ! NEVER ! ». Il nous a soulés pendant un bon quart d'heure. Heuu… Ouais, on va y aller là, il à l’air agressif.
La soirée de débauche qui suivit fut hors du commun. Nous avions repéré une boite de nuit spéciale années 80, le « Night Fever ». Il fallait absolument y aller : recalés. Bon. On s’est retrouvés quelques heures plus tard à une soirée PS3, avec musique techno assourdissante très mauvaise en fond et des types d’une cinquantaine d’année qui tentaient de draguer. Horrible. Puis nous avons rencontré un Français, fort sympathique, qui nous a aidés à rentrer dans une autre boite de nuit dont j’ai oublié le nom. Rap Allemand et drogués comateux sur canapés étant de mise, nous sommes restés cinq minutes, histoire de rentabiliser (ou pas) les cinq euros de frais d’entrée.
Bon, on va rentrer à l’hôtel maintenant. Cette « soirée » était vraiment pourrie…
Heu, oui, mais… A cette heure là, le tram n’est plus en service. Va falloir rentrer à pieds.
Je vous épargne les envies de meurtre qui se sont passées dans ma tête durant les cinq bons kilomètres que nous avons parcouru à pieds, à 3 heures du matin, complètement crevés, dans les rues de Leipzig.
M’enfin bon, nos soirées étaient tout de même assez cool, nous mangions au petit grec du coin et nous traînions avec une bande de types bien sympathiques, dont le leader ressemblait étrangement à Sayid dans Lost, pour ceux qui connaissent

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A suivre : Road To Leipzig > [Part 4 : La Fin…]