Déjà, l'interview de Benoit Poelvoorde dans le Nouvel Obs quelques mois plus tôt laissait présager du pire. Il évoquait une ambiance déplorable sur le tournage et un réalisateur qui ne raisonnait qu'en chiffres. Compte tenu du matraquage publicitaire effectué, c'était prévisible que ce serait un produit formaté. Dans l'émission spéciale des enfants de la télé consacrée à Astérix, on sentait bien, la gueule que tirait le très mauvais et trop présent Clovis Cornillac, tout simplement ridicule en Astérix (tout comme Clavier qui faisait Jacquouille bis), alors le film est un Poelvoorde show comme le deuxième qui était un Jamel show avec l'humour raté des nuls, plus la verve d'entant, le Alain Chabat. Un autre Alain, Delon cette fois-ci, a accepté de refaire un film après 10 ans, il s'auto parodie de façon nullissime. Ce n'est qu'une gigantesque pub à la gloire, où toutes les stars du moment vont se montrer. Il n'y a bien entendu pas du tout l'humour et le talent de Goscinny...



Une immonde bouse comme le premier, comme le deuxième et maintenant le troisième. Qui marchera à coup sûr grâce à un marketing bien huilé.



Paix à son âme, il méritait mieux.

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Uderzo massacre la licence...