Par le vote de son bureau national en faveur du traité de Lisbonne, le Parti socialiste a pris la très grave responsabilité de faire adopter la nouvelle mouture de la Constitution européenne par le Parlement.
En effet, il avait la possibilité (qu’il s’interdit désormais) d’empêcher le gouvernement d’obtenir la majorité des trois cinquièmes lors du vote de révision constitutionnelle au Congrès. Le rejet de cette révision aurait obligé le président de la République à organiser un référendum. Or, tout au long de sa campagne présidentielle, Ségolène Royal s’était prononcée sans ambiguïté en faveur d’un référendum.
Le parti socialiste se renie.
« On ne peut pas lâcher le peuple », proteste Arnaud Montebourg.
La preuve que si. Quand on est socialiste.

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posted the 11/07/2007 at 07:36 PM by
maitre
Tu sembles être rempli de haine.
Tu ne connais pas les idées du FN et quand on ne sait pas de quoi on parle, on la ferme.