Comme on pouvait s’y attendre, le « Grenelle de l’environnement » a débouché sur un... discours.
Une fois de plus sont faites des promesses, qui n’engagent que ceux à qui elles sont faites. Et la plupart de ces promesses n’avaient assurément pas besoin d’une telle mise en scène pour être énoncées.
La présence tutélaire d’Al Gore ne peut que provoquer un malaise. La France n’a pas besoin d’un chaperon, comme par hasard américain, qui donne son satisfecit au nom d’une quelconque autorité morale, fût-elle celle d’un prix Nobel, d’ailleurs controversé.

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posted the 11/01/2007 at 11:26 AM by
maitre