Les écoles de commerce françaises ont le vent en poupe. Alors que les universités et autres écoles françaises peinent à s'imposer sur la scène mondiale, six écoles de commerce françaises se classent parmi les dix meilleurs masters en management en Europe, selon le Financial Times. En tête, et ce, pour la troisième année consécutive, l'école HEC, suivie par le master en management international du Cems et par la London School of Economics, qui gagne six places en un an.
Autres écoles françaises à se classer en haut de tableau, l'ESCP-EAP (4e), l'Essec (5e), l'EM Lyon (6e), la Grenoble Graduate School of Business (7e), et Audencia (8e). Seule surprise, l'Edhec, qui perd cinq places cette année et se classe à la 12e place. En cause notamment, le salaire des diplômés par rapport au coût des études. Alors qu'un élève d'HEC paie son master 16.000 euros pour gagner en moyenne, trois ans après son diplôme presque 58.000 euros par an, un élève de l'Edhec débourse 17.100 euros pour ne gagner que 41.696 euros en moyenne.
L'ouverture à l'international
Parmi les autres critères retenus par le Financial Times, la diversité des étudiants (la part des femmes et des étudiants étrangers, mais pas celle des boursiers), l'ouverture de l'école vers l'international ainsi que le pourcentage des élèves qui ont trouvé un emploi trois mois seulement après leur diplôme. 87% des nouveaux diplômés sont dans cette situation à HEC, contre 93% à l'ESCP-EAP, et même 100% à l'Essec. Reste que ces informations sont données par les écoles elles-mêmes, qui ne sont pas en mesure de les fournir pour l'ensemble de leurs étudiants.
En tout, ce sont quarante masters en management que le Financial Times a classées. Treize écoles françaises en font partie, dont l'ICN de Nancy et l'ESCEM de Tours-Poitiers, qui font leur entrée cette année dans le classement.

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posted the 09/17/2007 at 12:37 PM by
hekt0r
Ma soeur est à l'Essec, ça a pas l'air gégé ce qu'ils font (pour l'instant en tout cas)
wi wi wi point journaldunet.com/management/0509/0509102mba point shtml
bon ok elle fait parti du top 10 mondial et c'est assez dur d'y entrer mais qui ne tente rien n'a rien et je compte bien tenter ma chance d'ici 2 ans en EMBA, car il faut au minimum 5 ans d'experiences professionnelles (à ne pas confondre avec le MBA), non pas pour le salaire car je ne gagnerais pas forcément beaucoup plus mais plutôt pour booster ma carrière professionnelle et mon carnet d'adresse si le besoin s'en fait sentir. Toujours est il que le retour sur investissement d'un MBA est toujours plus favorable. Débourser 60 000 euros pour en gagner 140 000 ensuite, même si l'on fait un prêt celui ci est vite remboursé par la suite.