Sérieux j'ai jamais vu une console aussi bidon.
Les jeux c'est les mêmes que sur GC, sauf que faut faire le singe devant la TV mtn.
La honteeeeeeeeeeeeeeeeeeee je plains les possesseurs de cette daube infâme !

tags :
posted the 06/03/2007 at 03:35 PM by
sylar
Au bout de ce temps, Hélios, ému, lui apprit le nom du ravisseur. Pour se venger, Déméter quitta l'Olympe et cessa de faire fructifier la terre. Inquiet alors sur le sort des mortels, Zeus envoya Hermès dans le monde des Enfers pour y chercher Perséphone et la ramener à sa mère, à la seule condition que, durant son séjour dans le monde souterrain, elle n'eût rien mangé. Hadès, devinant la ruse de Zeus, donna à son épouse des grains de grenade. Ainsi, pensait-il, il pourrait garder Perséphone. Pourtant, le dieu fut obligé d'accepter un compromis. Perséphone ne resterait auprès de lui que six mois et demeurerait l'autre moitié de l'année auprès de Déméter.
La légende de cette divinité est facile à interpréter : Perséphone, enfermée dans les Enfers, n'est autre que les grains de blé, ensevelis sous terre durant l'automne et l'hiver. Au retour du printemps et durant l'été, à la germination des plantes correspond le retour de Perséphone auprès de sa mère, dont les mystères d'Éleusis symbolisent le caractère sacré. D'une manière générale, Perséphone demeure avant tout le femme d'Hadès, la majestueuse reine des Ombres, la mère des terribles Érinyes. Dans les oeuvres d'art, elle atteste ce caractère redoutable que lui ont attribué les écrivains grecs. Sévère et grande, assise sur un trône à côté de son époux, elle tient un flambeau et parfois un pavot, dont les vertus soporifiques symbolisent le sommeil annuel -- si proche de la mort -- de la terre.
LEGRAND 1972.
Biography
"One Aim, One God, One Destiny"
L’histoire du rastafarisme commence avec Marcus Mosiah Garvey, prophète noir qui acquit une certaine popularité dans le Harlem des années 20. Le culte de cette figure légendaire n’a pas cessé d’être célébré depuis par tous les reggaemen. Burning Spear lui consacra même deux albums entiers. Peter Tosh fait référence à l’homme sur le morceau The Prophets (Album Bush Doctor, Rolling Stones Records, 197
Né en Jamaïque en 1887, Marcus Garvey émigra aux Etats-Unis en 1916 et, l’année suivante, il fonda l’Association universelle pour l’amélioration de la condition noire (Universal Negro Improvement Association, UNIA, toujours en activité). Sous son impulsion, cette organisation devint le principal défenseur de " la rédemption par le rapatriement" (redemption trough repatriation), avec la bénédiction du Ku Klux Klan. La classe moyenne noire et les libéraux blancs étaient effrayés par de telles positions, pensant que la solution des problèmes raciaux reposait sur la cohabitation intelligente des différentes communautés. Le Klan, en revanche, approuvait tout à fait cette purification ethnique par un départ volontaire. Pour aider le mouvement, le Klan alla jusqu’à participer à certains meetings de l’UNIA, à l’invite de son leader. Très actif, Marcus Garvey créa son propre journal, The Negro World, à New York. Le slogan nationaliste de Garvey " One Aim, One God, One Destiny " en devint la devise.
Première personne douée de capacités spéciales à être contacté par le Professeur Chandra Suresh, il est le « patient zéro ». Gabriel était horloger jusqu'au jour où il découvrit son pouvoir. Les premiers tests effectués semblent démontrer qu'il n'a pas de pouvoir, mais en fait, il a la capacité de voir ce qui « dysfonctionne » dans les systèmes (et par extension chez une personne, c’est-à-dire justement ce qui fait d'elle un super-héros). Il prend le nom de Sylar d'après une marque de montres, lors de sa rencontre avec Brian Davis. C'est un meurtrier redoutable qui n'a pour but que d'obtenir plus de pouvoir.
Il sait reconnaître et acquérir des capacités d'autres personnes. Pour se faire il observe la zone du cerveau qui permet d'obtenir telle ou telle capacité afin de pouvoir l'assimiler. Il tue la personne en lui découpant le crâne afin de prélever son cerveau et acquérir le nouveau pouvoir (ce qu'il fait du cerveau pour acquérir le pouvoir n'est pas montré, mais serait révélé dans la prochaine saison de la série).
Le pouvoir dont il se sert le plus souvent est la télékinésie qu'il a acquis en tout premier et dont il semble user pour découper le crâne en pointant l'index à distance sur ses victimes. Il a également des déformations de la voix qui interviennent parfois lors de son utilisation de la télékinésie: pouvoir à part entière dissimulé par la télékinésie ou conséquence de cette dernière, impossible à dire.
Sylar prend le pouvoir de Ted Sprague dans le 22e épisode. Hésitant face au options que lui premet ce nouveau pouvoir, il rend visite à sa mère qui a toujours voulu qu'il devienne quelqu'un de « spécial ». La rencontre tourne mal et se termine par la mort accidentelle de la mère de Sylar. Peu après, on voit Sylar sur le toit d'un immeuble, essayant son nouveau pouvoir et contemplant New York en disant « Boum ! ». Il retourne ensuite dans le loft d'Isaac Mendez et peint sa vision d'un face à face avec Peter Petrelli.
Lors du face à face final avec Peter Petrelli, qu'il semble prêt de tuer, Sylar est attaqué par Matt Parkman, Niki Sanders, puis il est transpercé d'un coup de sabre par Hiro Nakamura. Avant de mourir, il repousse Hiro, qui dispârait.
Les pouvoirs qu'il a acquis à la fin de la saison 1 sont :
Télékinésie (pouvoir de Brian Davis)
Cryogénisation
Manipulation moléculaire (pouvoir de Zane Taylor)
Ouïe sur-développée (pouvoir de Dale Smither)
Mémoire phénoménale (pouvoir de Charlene Andrews)
Précognition (pouvoir de Isaac Mendez)
Emission d'énergie (pouvoir de Ted Sprague)
Lorsqu'Hiro Nakamura va dans le futur 5 ans plus tard, Sylar se fait passer pour Nathan Petrelli en tant que Président des Etats-Unis et se bat contre Peter Petrelli en utilisant ses pouvoirs. Dans ce futur possible, il a donc acquis en plus :
Vol (pouvoir de Nathan Petrelli)
Illusion (pouvoir de Candice Wilmer)
Passe-muraille (pouvoir de D.L. Hawkins)
Régénération instantanée (on le voit tuer Claire Bennet dans l'épisode 20).
(peut-etre la honte qui sait...)