Un anti-sony original puisque son objectif est de promouvoir la 360, alors que le plus souvent l'antisonysme s'exprime chez les fanatiques de Nintendo.
C'est bizarre mais je n'y crois meme pas au pro 360, ca me fait trop penser a Wailand. Alros est-ce que l'on aurait une seule et meme personne qui fait des blog pro ceci anti cela pour décrédibiliser ???
Disons que ce qui est toujours suspect chez ce genre de personnes, c'est qu'à peine arrivées elles postent des trucs de boulet. Je me mets à la place de l'anti-sony/nintendo/microsoft normal, pour ne pas dire honnête, c'est-à-dire qui y croit vraiment, et je me dis que si j'étais de ce genre je ne m'inscrirais pas pour poster immédiatement sur mon blog des trucs de boulet, je me ferais d'abord une place dans les commentaires et d'ailleurs c'est le dialogue avec les autres qui serait susceptible de m'enfoncer dans ma position. Donc je crois plutôt au fake, ou
pardon fausse manip, je crois plutôt au fake parce que c'est étrange de s'inscrire pour poster immédiatement des débillités en sachant très bien qu'on va se faire lyncher.
Bah force et de reconnaitre que GT5 sera encore une nouvelle fois une des meilleures simulations de course parmis tout ce que les concurrents propose ! Maintenant y a un jolie PGR 4 qui m'a l'air vraiment prometteur mais il n'empèche que les GT place la barre très haute car il ya tous les styles de conduite possible de la voiture de tourisme à celle de course ou encore de rally !!!
Les populations européennes connaissaient et consommaient depuis au moins le IVe millénaire av. J.-C., une variété de cerise autochtone, celle du merisier sauvage. La sélection permettant peu à peu de sélectionner ceux aux fruits les plus gros et les plus sucrés, les plus précoces ou les plus succulents.
Le grand gastronome romain Lucullus est le premier à en avoir parlé. Selon la légende il aurait rapporté la « perle rouge » à Rome au retour de sa campagne contre le roi du Pont Mithridate VI (vers 70 av. J.-C.). Considérant que certaines variétés de cerise moderne sont originaires d'Asie mineure, cela peut être vraisemblable. Par ailleurs le nom italien de la cerise, ciliegia rappelle effectivement le nom de la région de Cilicie, en Asie mineure. Cependant le cerisier était déjà connu des Grecs qui le nommaient kerasion, d'après Kérésoum.
Une autre explication est donnée par Jules Verne dans un ouvrage peu connu "Kéraban-le-Têtu". Alors que ses héros longent la mer Noire en direction d'Istanbul, ils passent par une ville nommée Kérésoum où « le cerisier abonde ». Il mentionne que le bois de ces arbres est aussi utilisé pour faire des pipes. C'est de cette région, ajoute-t-il, que Lucullus envoya les premiers cerisiers à Rome pour qu'ils y soient acclimatés.
En France, il fut cultivé pour le commerce dès le haut moyen-âge, ses fruits délicats et sucrés étaient appréciés, mais aussi son bois, à la texture et à la finesse délicate. Cependant c'est à Louis XV, qui aimait beaucoup ce fruit, que l'on doit l'optimisation et la culture intensive du cerisier moderne.
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commentaires (16)
rarararararraarrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!!! ouaf ouaf !!!!
Le grand gastronome romain Lucullus est le premier à en avoir parlé. Selon la légende il aurait rapporté la « perle rouge » à Rome au retour de sa campagne contre le roi du Pont Mithridate VI (vers 70 av. J.-C.). Considérant que certaines variétés de cerise moderne sont originaires d'Asie mineure, cela peut être vraisemblable. Par ailleurs le nom italien de la cerise, ciliegia rappelle effectivement le nom de la région de Cilicie, en Asie mineure. Cependant le cerisier était déjà connu des Grecs qui le nommaient kerasion, d'après Kérésoum.
Une autre explication est donnée par Jules Verne dans un ouvrage peu connu "Kéraban-le-Têtu". Alors que ses héros longent la mer Noire en direction d'Istanbul, ils passent par une ville nommée Kérésoum où « le cerisier abonde ». Il mentionne que le bois de ces arbres est aussi utilisé pour faire des pipes. C'est de cette région, ajoute-t-il, que Lucullus envoya les premiers cerisiers à Rome pour qu'ils y soient acclimatés.
En France, il fut cultivé pour le commerce dès le haut moyen-âge, ses fruits délicats et sucrés étaient appréciés, mais aussi son bois, à la texture et à la finesse délicate. Cependant c'est à Louis XV, qui aimait beaucoup ce fruit, que l'on doit l'optimisation et la culture intensive du cerisier moderne.