Alors que la
PlayStation est en pleine période de gloire, « Namco » lance en décembre 1996 le premier
Versus Fighting à l’arme blanche. Intitulé
Soul Edge au pays du soleil levant, puis traduit en
Soul Blade en mai 1997 pour son arrivée en Europe, le soft connaît un succès immédiat qui est à la mesure de son ingéniosité.
Un déplacement en 3D libre au possible, des endings interactives, un mode « Quest » énorme permettant de bloquer de nombreux armes,
Soul Blade devient rapidement le soft à posséder à tout prix, avant de devenir l’un des fer de lance de la firme. Des personnages charismatiques comme Mitsurugi ou encore Siegfried donnent un cachet particulier au jeu, en plus de proposer pour chacun un style de combat qui lui est propre.
Par la suite, la force de la série sera entre autres l’évolution de ses personnages ainsi que leurs relations entre eux, créant par la même un réel scénario pour chacun. Ainsi, chaque personnage de cette série désormais phare de « Namco » possède sa propre histoire, ses propres craintes et ennemis.
Suite à cet énorme succès,
Soul Edge connaîtra à ce jour 3 suites. Tout d’abord
Soul Calibur sur
DreamCast,
Soul Calibur II sur les 3 consoles phares du moment et qui aura la bonne idée d’offrir un perso exclusif à chaque version (Link de
The Legend Of Zelda pour la version
GameCube, Spawn du comics éponyme pour la version
XBox, et enfin le controversé Heihachi Mishima de la saga des
Tekken pour la version
PlayStation 2), puis enfin
Soul Calibur III sur
PlayStation 2.
Nombreux sont ceux qui attendent un nouvel opus de la saga, d’autant plus après l’annonce d’une version
PSP ainsi que d’un
Beat Them All du nom de
Soul Calibur Legends exclusif à la next-gen de « Nintendo », la
Wii.
Sans plus attendre, cette intro qui m’a tellement marqué à l’époque, à tel point que je la laissais à chaque fois que je lançais le soft ^^
Thana13, du point de vue puissance graphique pure, ça n'a rien d'impressionnant, n'importe quelle console a le potentiel de jouer une vidéo. Cette intro m'a marqué par sa mise en scène, son dynamisme, et ce "je ne sais quoi" qui donne envie de la revoir encore et encore.