Rien de bien extraordinaire, cette conférence a était l'occasion pour la firme d'annoncer officiellement le développement de Soul Calibur V (oh surprise) :


de présenter le nouveau Dragon Ball Game Project Age 2011 :
Le trailer cependant ne cultive pas l'esprit de nouveauté en nous présentant un énième combat Goku/Vegeta avec les même technique et qui en révèle bien peu sur le jeu.


d'annoncer et de présenter les premiers visuel de Tekken Blood Vengeance, film d'animation en image de synthése et en 3d sur la célébre franchise de jeu de combat (sortie été 2011)


de présenter ses résultat financiers pour l'année fiscale (1er avril 2011 – 31 mars 2011), voyant ses revenus remonté dans le vert (15,4 millions de bénéfice).

et enfin de préciser que le développement du cross over Tekken X Street Fighter n'avait simplement pas encore débuté, la date de sortie reste prévu pour 2012, autant compter sur la période de Noël si celui ci n'est pas repoussé d'ici la.

Le dernier projet de Michel Hazanavicius (OSS 117) a de quoi laisser perplexe.
Et pour cause, après la réussite des deux volets d'OSS 117 rendant hommage au film d'espionnage des années 60, le réalisateur reforme le duo du Caire Nid d'Espion (Jean Dujardin, Berenice Bejo) pour cette fois ci rendre hommage au cinéma muet, le tout bien sur sans aucune parole.
Initialement prévu pour être présenté hors compétition, The Artist vient grossir les rang de la sélection officielle a la dernière minute.

Au programme la traditionnelle cérémonie d'ouverture effectué cette année par Mélanie Laurent (actrice Française), suivi de la présentation du Jury de la sélection officielle comptant dans ses rangs Olivier Assayas (réalisateur français), Martina Gusman (actrice / productrice Argentines), Mahamat Saleh Haroun (réalisateur Tchadiens), Jude Law (acteur Anglais), Nansun Shi (productrice Chinoise), Uma Thurman (actrice / scénariste / productrice Américaine), Johnnie To (réalisateur / producteur Chinois), Linn Ullmann (critique / écrivain Norvégienne), le tout présidé par Robert De Niro (acteur, réalisateur, producteur Américain).



C'est donc parti pour 12 jours de festivité.

Figure emblématique de l'univers Marvel, il faut bien avoué que Thor était l'une des adaptation les plus risqué.

Et pour cause, la ou les autres héros s'inscrive dans la réalité, Thor vient d'un autre univers peuplé de figure mythologique scandinave et régis par la magie.
Au vu du comics, dur de ne pas tomber dans le kitch, et difficile rendre harmonieuse l'histoire de Thor avec celle de ses futurs camarade Iron Man et Captain America qu'il rejoindra en 2012 dans The Avengers.

Il fallait au moins le talent d'un Kenneth Branagh, plus habitué au adaptation Shakespearienne qu'au grands spectacle, et à sa passion pour le héros pour faire de ce défi particulièrement casse gueule une réussite total.
Thor s'inscrit dans la même veine qu'un Iron Man, film a gros budget plaisant a regarder, servi par un casting convaincant et renfermant une certaine richesse scénariste.

Comme annoncé dans le synopsis, Thor se voit bannir sur terre alors qu'Asgard connait des heures sombres. Le film évolue donc sur deux plan Asgard, et la terre.
La partie Asgardienne est tout ce qu'il y a de plus réussi. Architecturalement, le réalisateur a su modernisé la cité et lui donner le prestige nécessaire a son rang. Les scène d'action s'y déroulant sont très convaincante, rythmé a souhait, la puissance de chaque guerrier étant bien retranscrite. Asgard est aussi un lieu de conspiration en l'absence du prince, et son déroulement est tout ce qu'il a de plus intéressant a suivre.
La partie Terrienne hélas n'est pas à ce niveau. Là ou Asgard sert l'histoire, la Terre sert de décompression aux enjeux dramatique, rythmé par des situation humoristique et de nombreux clin d'œil au projet Avengers. Sans pour autant être mauvaise (et certes nécessaire), on ne peux que regretter que cette partie ne nous passionne pas autant que celle du royaume nordique.

Par delà les univers, c'est donc un combat fracticide auquel les spectateurs vont assister, servie par un méchant bien loin des stéréotype du genre, magnifiquement interpréter par Tom Hiddleston (Loki) jusqu'alors inconnu au bataillon, qui arrive a rendre le combat intérieur du personnages a merveille.
L'interprétation de Chris Hemsworth (Thor) est elle aussi à salué, arrivant a capter l'essence de Thor, un guerrier vaniteux sans pour autant en devenir insupportable, ayant des difficulté a s'accommoder au comportement terrien.
Anthony Hopkins toujours aussi charismatique colle parfaitement au personnages d'Odin. Le groupe de Thor (Sif, Volstagg, Hogun, Fandral) bien que secondaire sont assez convaincant pour être attachant. Heimdall est interpréter avec charisme et Natalie Portman quant a elle est bien fade, la faute à un rôle vide malgré une romance légère et touchante.

Comme souligner précédemment, les effets spéciaux sont tous ce qu'il y a de plus convaincant, particulièrement le travail effectué sur d'Asgard. Les costumes servent d'autant plus l'immersion dans la cité, bien loin du kitch du comics original. La bande son quand à elle sert bien l'action, sans marqué les esprits pour autant.

Concernant les version, la VF est plutôt convaincante, quant à la 3D elle n'a aucun intérêt (certaines scène n'ayant même pas était converties).

Soyons tout de suite clair, oui Thor : Dieu du Tonnerre est un mauvais jeu, comme on pouvait s'y attendre.
Cependant, il n'est pas aussi mauvais qu'on aurais pu le croire.

En effet, le jeu montre de bon coté, c'est un beat'em all certe classique mais proposant une bonne pléiade de coup, une grande diversité de combo et d'action fidèle au personnages et qui au niveau du plaisir de jeu immédiat peut sembler correct.

Seulement voilà sur cette petite liste de qualité, il y a une montagne de défaut.
Avec son système de jeu, Thor aurait pu être un bon défouloir, mais, et c'est la son plus grand défaut, le jeu souffre d'une répétitivité insupportable.
Le joueur répète sans cesse les même action dans des décors vide, au graphismes dépassés (alors que les trailers se gargarisés d'utiliser l'Unreal Engine).
Rajouté à ça un scénario catastrophique, l'equipe de Red Flys Studio ayant préféré ne pas suivre la trame scénaristique du film, jusque la pas de problème, sauf que, au lieu de nous offrir une quête inédite venant en complément du film, l'histoire ne s'inscrit en aucun cas dans sa continuité. Simple prétexte a la baston, elle n'a aucun intérêt !

Bref malgré un système de jeu sympathique, le jeu ne sort jamais la tête de l'eau a cause d'un manque total d'ambition et de sérieux.
Alors qu'au premier abord un amateur du film ou du comics pense pouvoir y trouver son compte, la répétitivité et tel qu'après deux heures de jeu, il devient terriblement ennuyeux de poursuivre la partie.
Fort heureusement, le développeur a su limiter la durée de vie à 8 heures, semblant pourtant bien longue.

Lego Pirates des Caraïbes le Jeux Vidéo reprends l'intégralité de la saga Pirates des Caraïbes incluant même le dernier volet La Fontaine de Jouvence.
Il est appréciable de noté que l'éditeur ne refait pas la même erreur qu'avec le premier Lego Indiana Jones qui n'intégrait pas la dernière aventure (au vu de ça qualité, on peut certes ce demander si c'était bien nécessaire).

Concernant la formule, on ne change pas une équipe qui gagne, au commande d'une ribambelle de protagoniste de l'histoire (du grand Jack Sparrow au garde de seconde zone venu gonfler les rangs), vous parcourez les 4 films profitant des aptitudes de chacun pour vous sortir de gentil casse tête se réglant a coup de brique.
Scènette humoristique, maniabilité simpliste, de nombreux bonus a débloqué, pas de doute nous somme dans un Lego tout ce qu'il y a de plus basique.
En acceptant ce postulat de départ, il est indéniable que LPdC est sympathique comme l'était ses prédécesseur.

On ne peut dès lors que regretter la frilosité de Traveller's Tales qui a tendance a nous resservir toujours le même plat, défaut d'autant plus notable que les sorties de Lego Star Wars III et LPdC ne sont espacé que d'un mois.

Le developpeur remplit cependant son cahier des charges offrant un jeu fidèle a la saga, parsemé de l'humour Lego et de contenu à débloqué qui ravira les fans.
Graphiquement le jeu est plutôt jolie, la durée de vie varie entre les 10h et le double voir le triple pour qui voudrait débloqué tous les bonus ce qui est plus que correct.
Il n'y a pas lieu de s'exalter pour autant, d'un point de vu purement vidéo-ludique l'action et pauvre, répétitif au possible, la maniabilité simpliste bref un jeu Lego comme tous les autres qui souffre de son manque de prise de risque et de nouveauté.

Et bien voilà.

Le projet de tenir un blog actu occupais mes pensés depuis quelques temps déjà, et c'est en ce début de mâtinée que l'aventure commence.

Rien de bien extraordinaire rassurez vous, un énième blog sur l'actualité jeux vidéo-ludique et cinématographique que j'essaierais de parsemé de test et d'avis.

Mais j'espère que la qualité me permettra de tirez mon épingle du jeu et de comptez de nombreux lecteurs.

Quoi qu'il en soit, je ne vais pas monologuer plus longtemps, en temps normal, un article annonçant l'ouverture d'un blog n'est pas bien passionnant, alors quant en plus il est 6h30 du matin, ça devient carrément barbant.

Je n'est donc qu'à vous souhaiter une bonne journée et vous dire à bientôt sur Gamekyo.